Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Raul de la Fuente et Damian Nenow, qui cosignent le film, ont choisi un traitement original : mélange d’animation et d’images réelles, le plus souvent des archives. Et le résultat est remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par La Rédaction
Mêlant 3D, motion captures et prises de vues réelles, ce film essentiel plonge au cœur de l'horreur de la guerre et interroge sur les limites du métier.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Baptiste Roux
Le régime pluriel des images, porté par la volonté de faire entrer en collision les perspectives et de privilégier la vitesse du récit pour raconter un état de confusion permanente, compose le tableau sidérant et halluciné du chaos, né du suicide collectif qu'engendre toute guerre civile.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Il aura fallu dix ans de travail, une coproduction entre cinq pays et un duo de réalisateur hispano-polonais pour parvenir à ce résultat passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Ce beau film se termine sur un bateau échoué au nom évocateur — le Karl Marx — et sur le visage d’une superbe combattante qu’il ne faudra pas oublier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un témoignage historique, saisissant et sans concession, qui use d’une animation soignée pour affirmer les affres d’une guerre terrible en Angola.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par François-Xavier Taboni
En combinant animation et captation documentaire, les cinéastes Raúl de la Fuente et Damian Nenow réalisent une adaptation émouvante du récit de Ryszard Kapuściński, "D’une guerre l’autre".
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Rien ne nous est épargné, et l’animation, très soignée, peine à atténuer les horreurs ponctuant ce récit douloureux mais passionnant. Les témoignages et images d’archives nuisent parfois à la fluidité de l’ensemble.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Mêlant animation et prises de vues réelles, le film adapte le livre de Kapuscinski qui relate la guerre civile angolaise en 1975. Malgré des inégalités concernant la structure de sa réalisation, ce documentaire remémore une page de l’Histoire captivante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Au-delà de son inutilité – les fragments documentaires ne font que répéter, de façon moins percutante, ce que le spectateur vient de voir par la fiction –, ce choix soulève l’étrange paradoxe d’un film qui, pour raconter l’éclosion d’un art (la littérature), ne semble faire qu’à moitié confiance au sien (l’animation).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sophie Benamon
Le graphisme, qui n’est pas sans rappeler le trait de Moebius, vient ajouter tantôt du réalisme, tantôt du surréalisme à ce conflit dans lequel s’enfonce le héros. Et tout cela se marie parfaitement avec les témoignages en prise de vues réelles de témoins que Richard a croisés sur sa route.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
par Vincent Ostria
Romancé et émaillé de séquences documentaires, d’interviews d’acteurs sur le terrain, le film illustre la confusion permanente de ce conflit-guérilla. Mais les scènes d’action et les séquences psychédéliques ont beau se succéder brillamment, elles ne donnent qu’une idée succincte de la vie trépidante de cet Indiana Jones du reportage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
On retrouvera le rappel d'un épisode paroxystique des derniers temps de la guerre froide, mais la richesse de l'écriture de Kapucsinksi, la réalité charnelle qu'il rapportait de ses rencontres est réduite à un théâtre d'ombres.
Libération
par Célian Macé
Le film d’animation s’inspire du récit du célèbre reporter polonais sur la guerre civile qui ravagea le pays. Mais élude toute question sur la véracité des faits rapportés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
Raul de la Fuente et Damian Nenow, qui cosignent le film, ont choisi un traitement original : mélange d’animation et d’images réelles, le plus souvent des archives. Et le résultat est remarquable.
Le Figaro
Mêlant 3D, motion captures et prises de vues réelles, ce film essentiel plonge au cœur de l'horreur de la guerre et interroge sur les limites du métier.
Positif
Le régime pluriel des images, porté par la volonté de faire entrer en collision les perspectives et de privilégier la vitesse du récit pour raconter un état de confusion permanente, compose le tableau sidérant et halluciné du chaos, né du suicide collectif qu'engendre toute guerre civile.
Sud Ouest
Il aura fallu dix ans de travail, une coproduction entre cinq pays et un duo de réalisateur hispano-polonais pour parvenir à ce résultat passionnant.
Télérama
Ce beau film se termine sur un bateau échoué au nom évocateur — le Karl Marx — et sur le visage d’une superbe combattante qu’il ne faudra pas oublier.
aVoir-aLire.com
Un témoignage historique, saisissant et sans concession, qui use d’une animation soignée pour affirmer les affres d’une guerre terrible en Angola.
Bande à part
En combinant animation et captation documentaire, les cinéastes Raúl de la Fuente et Damian Nenow réalisent une adaptation émouvante du récit de Ryszard Kapuściński, "D’une guerre l’autre".
Le Journal du Dimanche
Rien ne nous est épargné, et l’animation, très soignée, peine à atténuer les horreurs ponctuant ce récit douloureux mais passionnant. Les témoignages et images d’archives nuisent parfois à la fluidité de l’ensemble.
Les Fiches du Cinéma
Mêlant animation et prises de vues réelles, le film adapte le livre de Kapuscinski qui relate la guerre civile angolaise en 1975. Malgré des inégalités concernant la structure de sa réalisation, ce documentaire remémore une page de l’Histoire captivante.
Les Inrockuptibles
Au-delà de son inutilité – les fragments documentaires ne font que répéter, de façon moins percutante, ce que le spectateur vient de voir par la fiction –, ce choix soulève l’étrange paradoxe d’un film qui, pour raconter l’éclosion d’un art (la littérature), ne semble faire qu’à moitié confiance au sien (l’animation).
Première
Le graphisme, qui n’est pas sans rappeler le trait de Moebius, vient ajouter tantôt du réalisme, tantôt du surréalisme à ce conflit dans lequel s’enfonce le héros. Et tout cela se marie parfaitement avec les témoignages en prise de vues réelles de témoins que Richard a croisés sur sa route.
L'Humanité
Romancé et émaillé de séquences documentaires, d’interviews d’acteurs sur le terrain, le film illustre la confusion permanente de ce conflit-guérilla. Mais les scènes d’action et les séquences psychédéliques ont beau se succéder brillamment, elles ne donnent qu’une idée succincte de la vie trépidante de cet Indiana Jones du reportage.
Le Monde
On retrouvera le rappel d'un épisode paroxystique des derniers temps de la guerre froide, mais la richesse de l'écriture de Kapucsinksi, la réalité charnelle qu'il rapportait de ses rencontres est réduite à un théâtre d'ombres.
Libération
Le film d’animation s’inspire du récit du célèbre reporter polonais sur la guerre civile qui ravagea le pays. Mais élude toute question sur la véracité des faits rapportés.