Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
"The Strangers" s’impose comme un film total, une proposition de cinéma profondément généreuse dans sa folie.
Ecran Large
par Simon Riaux
Na Hong-jin nous met enfin K.O. à la faveur d'un film impitoyable et féroce, une déroutante descente aux enfers.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Kwak Do-Wong rythme avec dextérité son film sur ses 2h36, sans jamais mollir, ni éroder l'attention ou la tension. Un chef-d'œuvre du genre, déjà un classique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un thriller angoissant, où la figure du Mal s’inscrit comme une ombre maléfique tout au long d’un récit virtuose, à la fois déroutant et éprouvant. Un vrai choc.
Libération
par Olivier Lamm
Thriller horrifique, épouvante villageoise, le film fait bien plus que glisser avec son héros (...) vers l’horreur pure et la tragédie - il invente un nouveau genre dans le cinéma de genre, remarquablement souple et efficient, qu’il fait convulser à chaque retournement de situation d’un récit qui, en 2 h 30, a tout loisir d’en secouer des dizaines.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
"L'Exorciste" du nouveau siècle. Carrément.
Première
par Yal Sadat
(...) NJH prouve que l'horreur foutraque venue de Corée peut encore ressembler à une enquête trop folle, trop dense, trop coriace pour nos petites épaules.
Voici
par Jérôme Saunier
Une claque visuelle et narrative.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Barré, diaboliquement iconoclaste, le dernier Na Hong Jin réinvente le cinéma d’horreur et se pose en chef d’oeuvre, étourdissant et insaisissable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
(Un) cauchemar intense présenté hors compétition au dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Atmosphère brumeuse et inquiétante, mise en scène virtuose, séance chamanique surpuissante, clé de l’intrigue scellée jusqu’à la toute fin : ce thriller surnaturel est une indéniable réussite.
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
(Un) très bon film fantastique, manipulateur et violent, porté par une mise en image sublime, une musique quasi parfaite et des acteurs campant des personnages réalistes et attachants.
L'Obs
par François Forestier
L’enchaînement des scènes est souvent étrange, le jeu des acteurs inhabituel, et le film, dans son ensemble, est trop long. Mais ce pays sous la pluie, cette ambiance de fantastique larvé, ce démon qui rôde dans la forêt, voilà qui ravira les amateurs de magie noire, tendance Guillermo del Toro. La fin, en particulier, est glaçante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Bien qu’un peu longue, cette fable inclassable sidère par des instants d’une intensité rare, notamment une séquence d’exorcisme à faire pâlir de jalousie William Friedkin.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Traversé de pointes d’humour grotesque et grossier, le film de Na Hong-jin dresse le décor d’un carnaval nihiliste, d’un théâtre de la cruauté dont il faudrait percevoir la nature désespérée par une sensation épidermique qui va s’imposer face à toute rationalisation narrative et discursive.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Il existe pléthore de films bien fabriqués mais peu habités. Plus rares sont les films hantés qui semblent exprimer toute la moelle de leur auteur : "The Strangers" en fait indiscutablement partie.
Metro
par Mehdi Omaïs
Avec souplesse et aplomb, le cinéaste conjugue merveilleusement son scénario surprenant, qui essaime les mystères comme les cailloux du Petit Poucet, et sa mise en scène picturale.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Répartis dans des bols fumants, les ingrédients de ce thriller surnaturel sont à prendre avec des baguettes si vous voulez comprendre ce que vous dévorez des yeux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Samuel Douhaire
Comme d'habitude, Na Hong-jin fait un peu trop durer le plaisir, au point de proposer deux épilogues pour le prix d'un. Mais il termine par le plus fort, le plus « raccord », aussi, avec la noirceur croissante du film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Damien Bonelli
Malgré sa formidable vélocité, le film ne cesse de tanguer, tel un convive en surrégime au sortir d’un banquet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Sur des bases de thriller noir, Na Hong-jin livre une œuvre qui hybride peut-être trop les genres mais se révèle éminemment politique.
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
Le film est beaucoup trop long. Et c'est très énervant parce qu'un très bon polar, étrange, gore, noir, y est présent.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Il n’est pas certain que le cinéma coréen trouvera un regain d’inspiration dans la surenchère coutumière à Na Hong-jin.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Certains adorent cette descente progressive en enfer, qui s’embrouille et noircit au fur et à mesure qu’elle avance, pour culminer avec une délirante scène d’exorcisme. Charmant tout ça, mais on n’en sait guère plus à la fin du film qu’au début.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
CinemaTeaser
"The Strangers" s’impose comme un film total, une proposition de cinéma profondément généreuse dans sa folie.
Ecran Large
Na Hong-jin nous met enfin K.O. à la faveur d'un film impitoyable et féroce, une déroutante descente aux enfers.
Franceinfo Culture
Kwak Do-Wong rythme avec dextérité son film sur ses 2h36, sans jamais mollir, ni éroder l'attention ou la tension. Un chef-d'œuvre du genre, déjà un classique.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller angoissant, où la figure du Mal s’inscrit comme une ombre maléfique tout au long d’un récit virtuose, à la fois déroutant et éprouvant. Un vrai choc.
Libération
Thriller horrifique, épouvante villageoise, le film fait bien plus que glisser avec son héros (...) vers l’horreur pure et la tragédie - il invente un nouveau genre dans le cinéma de genre, remarquablement souple et efficient, qu’il fait convulser à chaque retournement de situation d’un récit qui, en 2 h 30, a tout loisir d’en secouer des dizaines.
Mad Movies
"L'Exorciste" du nouveau siècle. Carrément.
Première
(...) NJH prouve que l'horreur foutraque venue de Corée peut encore ressembler à une enquête trop folle, trop dense, trop coriace pour nos petites épaules.
Voici
Une claque visuelle et narrative.
aVoir-aLire.com
Barré, diaboliquement iconoclaste, le dernier Na Hong Jin réinvente le cinéma d’horreur et se pose en chef d’oeuvre, étourdissant et insaisissable.
20 Minutes
(Un) cauchemar intense présenté hors compétition au dernier Festival de Cannes.
CNews
Atmosphère brumeuse et inquiétante, mise en scène virtuose, séance chamanique surpuissante, clé de l’intrigue scellée jusqu’à la toute fin : ce thriller surnaturel est une indéniable réussite.
L'Ecran Fantastique
(Un) très bon film fantastique, manipulateur et violent, porté par une mise en image sublime, une musique quasi parfaite et des acteurs campant des personnages réalistes et attachants.
L'Obs
L’enchaînement des scènes est souvent étrange, le jeu des acteurs inhabituel, et le film, dans son ensemble, est trop long. Mais ce pays sous la pluie, cette ambiance de fantastique larvé, ce démon qui rôde dans la forêt, voilà qui ravira les amateurs de magie noire, tendance Guillermo del Toro. La fin, en particulier, est glaçante.
Le Journal du Dimanche
Bien qu’un peu longue, cette fable inclassable sidère par des instants d’une intensité rare, notamment une séquence d’exorcisme à faire pâlir de jalousie William Friedkin.
Le Monde
Traversé de pointes d’humour grotesque et grossier, le film de Na Hong-jin dresse le décor d’un carnaval nihiliste, d’un théâtre de la cruauté dont il faudrait percevoir la nature désespérée par une sensation épidermique qui va s’imposer face à toute rationalisation narrative et discursive.
Les Inrockuptibles
Il existe pléthore de films bien fabriqués mais peu habités. Plus rares sont les films hantés qui semblent exprimer toute la moelle de leur auteur : "The Strangers" en fait indiscutablement partie.
Metro
Avec souplesse et aplomb, le cinéaste conjugue merveilleusement son scénario surprenant, qui essaime les mystères comme les cailloux du Petit Poucet, et sa mise en scène picturale.
Paris Match
Répartis dans des bols fumants, les ingrédients de ce thriller surnaturel sont à prendre avec des baguettes si vous voulez comprendre ce que vous dévorez des yeux.
Télérama
Comme d'habitude, Na Hong-jin fait un peu trop durer le plaisir, au point de proposer deux épilogues pour le prix d'un. Mais il termine par le plus fort, le plus « raccord », aussi, avec la noirceur croissante du film.
Critikat.com
Malgré sa formidable vélocité, le film ne cesse de tanguer, tel un convive en surrégime au sortir d’un banquet.
Les Fiches du Cinéma
Sur des bases de thriller noir, Na Hong-jin livre une œuvre qui hybride peut-être trop les genres mais se révèle éminemment politique.
Studio Ciné Live
Le film est beaucoup trop long. Et c'est très énervant parce qu'un très bon polar, étrange, gore, noir, y est présent.
Cahiers du Cinéma
Il n’est pas certain que le cinéma coréen trouvera un regain d’inspiration dans la surenchère coutumière à Na Hong-jin.
L'Humanité
Certains adorent cette descente progressive en enfer, qui s’embrouille et noircit au fur et à mesure qu’elle avance, pour culminer avec une délirante scène d’exorcisme. Charmant tout ça, mais on n’en sait guère plus à la fin du film qu’au début.