Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Figaroscope
par La Rédaction
Un premier film choc.
Le Figaro
par Adrien Jaulmes
Tourné avec élégance et sobriété, en évitant soigneusement tous les clichés qui s'attachent habituellement aux films sur l'Afrique et sur les Africains, avec Bach et Biber en bande-son au lieu de musique ethnique, Littell questionne sans juger ces victimes devenues des bourreaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) saisissant pour dépeindre l’horreur, incisif pour interroger l’humain dont il scrute l’équivoque.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’auteur des "Bienveillantes" consacre un documentaire vertigineux aux enfants-soldats d’Ouganda
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Par ce beau film percutant, Jonathan Littell pose la question de la responsabilité de milliers d’enfants enlevés, à la fois victimes et bourreaux.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Son documentaire sur d'ex enfants-soldats de la LRA, organisation politico-religieuse ougandaise qui sévit depuis la fin des années 1990, fera certainement moins de bruit que ses "Bienveillantes". Il n'empêche qu'avec Wrong Elements, Jonathan Littell continue d'analyser les pulsions les plus viles de l'être humain.
Libération
par Maria Malagardis
Une étude poignante sur l’initiation à la violence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Wrong Elements pourrait tout entier se résumer à une majestueuse démonstration des qualités performatives de la parole.
Marianne
par Frédéric Bas et Stéphane Bou
(un) documentaire sobre et puissant (...).
Positif
par Yann Tobin
(...) un passionnant documentaire (...).
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un devoir de mémoire saisissant, avec une caméra toujours à bonne distance de ses sujets.
Transfuge
par Élise Lépine
Ce documentaire éclairé, magnifiquement mis en musique (...), pose un regard juste sur la barbarie et l'innocence, recherchant la nuance plutôt que le clivage.
Télérama
par Samuel Douhaire
La beauté des images, magnifiée par l'utilisation de la musique classique, n'est pas gratuite : elle offre une distance salutaire pour dépasser le simple récit des événements.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Trop long, le film n’en demeure pas moins un objet de réflexion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Plus de dix ans après Les Bienveillantes, Jonathan Littell livre un documentaire intense sur d’anciens enfants-soldats africains, en quête d’un avenir par-delà l’horreur commise et vécue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
"Wrong Elements" sépare en permanence le faux du vrai avec une acuité sincère et rigoureuse, sans évincer toute forme de dramaturgie (…) tout en évitant les effets journalistiques.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L'auteur des "Bienveillantes" donne la parole à cinq de ces anciens enfants soldats – à la fois bourreaux et victimes – qui ont passé leur jeunesse à piller, à terroriser et à tuer. Ce faisant, il pose la question de la responsabilité individuelle face au Mal.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Un magnifique documentaire sur le conflit ougandais des années 90, ou comment la victime devient bourreau.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Le dispositif fonctionne lorsque le cinéaste est seul avec les témoins (…) En revanche, lorsqu’il s’agit de confronter ce point de vue intime à son altérité radicale (celui des victimes), il arrive que le film flirte, par maladresse plus qu’autre chose, avec les aventures documentaires putassières de Joshua Openheimer ("The Act of Killing") ou d’Hubert Sauper ("Le Cauchemar de Darwin").
Le Figaroscope
Un premier film choc.
Le Figaro
Tourné avec élégance et sobriété, en évitant soigneusement tous les clichés qui s'attachent habituellement aux films sur l'Afrique et sur les Africains, avec Bach et Biber en bande-son au lieu de musique ethnique, Littell questionne sans juger ces victimes devenues des bourreaux.
Le Journal du Dimanche
(...) saisissant pour dépeindre l’horreur, incisif pour interroger l’humain dont il scrute l’équivoque.
Le Monde
L’auteur des "Bienveillantes" consacre un documentaire vertigineux aux enfants-soldats d’Ouganda
Les Fiches du Cinéma
Par ce beau film percutant, Jonathan Littell pose la question de la responsabilité de milliers d’enfants enlevés, à la fois victimes et bourreaux.
Les Inrockuptibles
Son documentaire sur d'ex enfants-soldats de la LRA, organisation politico-religieuse ougandaise qui sévit depuis la fin des années 1990, fera certainement moins de bruit que ses "Bienveillantes". Il n'empêche qu'avec Wrong Elements, Jonathan Littell continue d'analyser les pulsions les plus viles de l'être humain.
Libération
Une étude poignante sur l’initiation à la violence.
Libération
Wrong Elements pourrait tout entier se résumer à une majestueuse démonstration des qualités performatives de la parole.
Marianne
(un) documentaire sobre et puissant (...).
Positif
(...) un passionnant documentaire (...).
Studio Ciné Live
Un devoir de mémoire saisissant, avec une caméra toujours à bonne distance de ses sujets.
Transfuge
Ce documentaire éclairé, magnifiquement mis en musique (...), pose un regard juste sur la barbarie et l'innocence, recherchant la nuance plutôt que le clivage.
Télérama
La beauté des images, magnifiée par l'utilisation de la musique classique, n'est pas gratuite : elle offre une distance salutaire pour dépasser le simple récit des événements.
L'Obs
Trop long, le film n’en demeure pas moins un objet de réflexion.
La Croix
Plus de dix ans après Les Bienveillantes, Jonathan Littell livre un documentaire intense sur d’anciens enfants-soldats africains, en quête d’un avenir par-delà l’horreur commise et vécue.
La Septième Obsession
"Wrong Elements" sépare en permanence le faux du vrai avec une acuité sincère et rigoureuse, sans évincer toute forme de dramaturgie (…) tout en évitant les effets journalistiques.
La Voix du Nord
L'auteur des "Bienveillantes" donne la parole à cinq de ces anciens enfants soldats – à la fois bourreaux et victimes – qui ont passé leur jeunesse à piller, à terroriser et à tuer. Ce faisant, il pose la question de la responsabilité individuelle face au Mal.
Rolling Stone
Un magnifique documentaire sur le conflit ougandais des années 90, ou comment la victime devient bourreau.
Cahiers du Cinéma
Le dispositif fonctionne lorsque le cinéaste est seul avec les témoins (…) En revanche, lorsqu’il s’agit de confronter ce point de vue intime à son altérité radicale (celui des victimes), il arrive que le film flirte, par maladresse plus qu’autre chose, avec les aventures documentaires putassières de Joshua Openheimer ("The Act of Killing") ou d’Hubert Sauper ("Le Cauchemar de Darwin").