Note moyenne
3,7
29 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

29 critiques presse

L'Obs

par La Rédaction

C’est d’une délicatesse rare. Même la pellicule est impressionnée.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

La Voix du Nord

par Philippe Lagouche

Coup de cœur de la semaine, ce deuxième long-métrage écrit et réalisé par un réalisateur de 42 ans, adepte d’un cinéma sensoriel tout en images mélodieuses, volutes évanescentes et climats mélancoliques.

La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

Sud Ouest

par Sophie Avon

Jamais sans doute un cinéaste n'avait traité de l'absence avec cette délicatesse. Quant aux comédiens, à commencer par Anders Danielsen Lie et Judith Chemla, ils sont au-delà de la justesse, emplis de grâce à chaque plan, ajoutant la douceur de leur jeu à une œuvre poignante.

La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

Cahiers du Cinéma

par Louis Séguin

Ce que travaille Mikhaël Hers est ténu, et le château de cartes d’émotions qu’il construit ne tient que par la minutie de son geste.

CinemaTeaser

par Renan Cros

On sort le cœur lourd et léger à la fois de ces trois étés passés à regarder la vie finir par toujours reprendre le dessus.

Culturopoing.com

par Pierre Audebert

Pas besoin d’action épileptique pour nous secouer, il suffisait de faire remonter à la surface quelques réminiscences pour que pointe la blessure aiguë sous la cicatrice.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

Elle

par Anne Diatkine

Malgré son côté un peu carte postale quand il s'aventure dans l'imagerie des villes, le film est délicat lorsqu'il capte les relations de la soeur esseulée (Judith Chemla) avec son petit garçon et ses atermoiements sentimentaux.

Femme Actuelle

par La Rédaction

Un très joli film délicat et solaire qui montre, sans être démonstratif.

Franceinfo Culture

par Pierre-Yves Grenu

Doux et intimiste, ce film regarde les trois villes avec grâce. La douleur de l'absence est omniprésente mais Mikhaël Hers l'observe avec une pudeur élégante...

La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

Gala

par Camille Choteau

Ce senti­ment de l’été manque parfois un peu de rythme, et nous plonge, comme les héros dans une certaine langueur. Mais il faut parfois savoir s’en­nuyer (un peu) pour appré­cier les belles choses.

La critique complète est disponible sur le site Gala

La Croix

par Marie Soyeux

Pour son deuxième long-métrage, le réalisateur s'entoure de deux acteurs radieux (...), magnifiés par sa mise en scène fluide, trouée d'ellipses fécondes.

Le Dauphiné Libéré

par Jean Serroy

Un film tout en nuances, en silences, en sentiments intimes, qui, d’une ville à l’autre et d’un personnage à l’autre, traduit la vie qui revient, triomphant du vide de l’absence. Et le charme opère.

Le Parisien

par Pierre Vavasseur

La réparation du chagrin, le réapprentissage du sourire et du désir, la nature complexe du trouble qui s'installe entre les personnages, tous ici d'une belle vérité, sont le sujet de ce film qui longe avec sensibilité et douceur les chemins de la résilience.

Les Fiches du Cinéma

par Nicolas Marcadé

Au-delà du côté “romantisme chic” un peu affecté du film, la réalisation gracieuse de Mikhaëk Hers prend le dessus pour susciter une émotion délicate et précieuse.

Les Inrockuptibles

par Jean-Baptiste Morain

Oui, c’est un cinéma très doux, mais doux comme les vagues de l’été qui finissent pourtant par éroder le roc. Sans violence, Mikhaël Hers nous révèle cependant à nous-même notre infinie tristesse, un flot d’émotions venues on ne sait trop d’où, si ce n’est peut-être du passé.

Libération

par Didier Péron

Est-ce que cela aurait un sens de délocaliser ce deuil trentenaire et ce vague à l’âme Airbnb loin de ses assises occidentales, dans des endroits moins arpentés, plus térébrants, quelque part entre Maputo, Vientiane ou Kunming ? On aime à le croire…

La critique complète est disponible sur le site Libération

Marianne

par Grégoire Chertok

Servi par des acteurs remarquablement justes, Judith Chemla et Anders Danielsen Lie, le film livre des scènes d'un réalisme saisissant.

Ouest France

par Pierre Fornerod

Des choix de narration et de construction rigoureux, ce qui n'empêche pas l'émotion de s'installer, sous la direction sensible du réalisateur.

Première

par Frédéric Foubert

Infusé de références anglo-saxonnes, d’envies d’ailleurs (de Berlin à New York), le film ressemble à une pop song fragile, pas taillée pour les charts : léger, gracieux, sacrément entêtant.

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Télérama

par Jacques Morice

"Ce sentiment de l'été" offre l'une des plus belles allégories de ce qu'on appelle communément "le travail de deuil".

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aVoir-aLire.com

par Claudine Levanneur

Avec plein de finesse, Mikhaël Hers nous livre une belle exploration des rapports humains.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

Critikat.com

par Raphaëlle Pireyre

Comme l’aspect granuleux de son image Super-16, "Ce sentiment de l’été" donne l’impression d’un objet revenu du passé. Hers cherche l’expression du souvenir dans l’infime des gestes et des objets.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

La Septième Obsession

par Morgane Micallef

Le seul reproche que l’on puisse faire à Hers, c’est justement de montrer des gens trop beaux, trop sensibles, trop doux. Mais si l’on en croit Bazin-Godard-Mourlet, c’est le propre du cinéma que de "substituer à notre regard un monde qui s’accorde à notre désir".

Le Journal du Dimanche

par Baptiste Thion

Ce film introspectif à la photographie soignée est interprété par d'excellents comédiens. Dommage qu'il souffre de quelques passages à vide.

Le Monde

par Noémie Luciani

Deuxième long-métrage du Français Mikhaël Hers, "Ce sentiment de l'été" peint, plus qu'il ne raconte, les séquelles singulières de cette mort en pleine jeunesse et au coeur de l'été.

VSD

par Bernard Achour

De magnifiques pulsations de mélancolie noyées dans une sous-intrigue sans intérêt.

L'Express

par Eric Libiot

Le film est malheureusement trop long, le récit se délite, la redondance guette, la fin est réussie.

Studio Ciné Live

par Thomas Baurez

C'est beau, simple. Pourquoi alors ce goût d'inachevé ? Peut-être parce que la grâce tant louée se transforme peu à peu en préciosité. Frustrant.

Positif

par Eithne O'Neill

Des photos panoramiques et la musique insipide scandent l'ensemble. Dans la veine cosmopolite du cinéma d'un Noah Baumbach, le film aura ses fans.

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