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Coup de cœur de la semaine, ce deuxième long-métrage écrit et réalisé par un réalisateur de 42 ans, adepte d’un cinéma sensoriel tout en images mélodieuses, volutes évanescentes et climats mélancoliques.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Jamais sans doute un cinéaste n'avait traité de l'absence avec cette délicatesse. Quant aux comédiens, à commencer par Anders Danielsen Lie et Judith Chemla, ils sont au-delà de la justesse, emplis de grâce à chaque plan, ajoutant la douceur de leur jeu à une œuvre poignante.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Pas besoin d’action épileptique pour nous secouer, il suffisait de faire remonter à la surface quelques réminiscences pour que pointe la blessure aiguë sous la cicatrice.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Malgré son côté un peu carte postale quand il s'aventure dans l'imagerie des villes, le film est délicat lorsqu'il capte les relations de la soeur esseulée (Judith Chemla) avec son petit garçon et ses atermoiements sentimentaux.
Doux et intimiste, ce film regarde les trois villes avec grâce. La douleur de l'absence est omniprésente mais Mikhaël Hers l'observe avec une pudeur élégante...
Ce sentiment de l’été manque parfois un peu de rythme, et nous plonge, comme les héros dans une certaine langueur. Mais il faut parfois savoir s’ennuyer (un peu) pour apprécier les belles choses.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Pour son deuxième long-métrage, le réalisateur s'entoure de deux acteurs radieux (...), magnifiés par sa mise en scène fluide, trouée d'ellipses fécondes.
Un film tout en nuances, en silences, en sentiments intimes, qui, d’une ville à l’autre et d’un personnage à l’autre, traduit la vie qui revient, triomphant du vide de l’absence. Et le charme opère.
La réparation du chagrin, le réapprentissage du sourire et du désir, la nature complexe du trouble qui s'installe entre les personnages, tous ici d'une belle vérité, sont le sujet de ce film qui longe avec sensibilité et douceur les chemins de la résilience.
Au-delà du côté “romantisme chic” un peu affecté du film, la réalisation gracieuse de Mikhaëk Hers prend le dessus pour susciter une émotion délicate et précieuse.
Oui, c’est un cinéma très doux, mais doux comme les vagues de l’été qui finissent pourtant par éroder le roc. Sans violence, Mikhaël Hers nous révèle cependant à nous-même notre infinie tristesse, un flot d’émotions venues on ne sait trop d’où, si ce n’est peut-être du passé.
Est-ce que cela aurait un sens de délocaliser ce deuil trentenaire et ce vague à l’âme Airbnb loin de ses assises occidentales, dans des endroits moins arpentés, plus térébrants, quelque part entre Maputo, Vientiane ou Kunming ? On aime à le croire…
La critique complète est disponible sur le site Libération
Infusé de références anglo-saxonnes, d’envies d’ailleurs (de Berlin à New York), le film ressemble à une pop song fragile, pas taillée pour les charts : léger, gracieux, sacrément entêtant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Comme l’aspect granuleux de son image Super-16, "Ce sentiment de l’été" donne l’impression d’un objet revenu du passé. Hers cherche l’expression du souvenir dans l’infime des gestes et des objets.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le seul reproche que l’on puisse faire à Hers, c’est justement de montrer des gens trop beaux, trop sensibles, trop doux. Mais si l’on en croit Bazin-Godard-Mourlet, c’est le propre du cinéma que de "substituer à notre regard un monde qui s’accorde à notre désir".
Deuxième long-métrage du Français Mikhaël Hers, "Ce sentiment de l'été" peint, plus qu'il ne raconte, les séquelles singulières de cette mort en pleine jeunesse et au coeur de l'été.
L'Obs
C’est d’une délicatesse rare. Même la pellicule est impressionnée.
La Voix du Nord
Coup de cœur de la semaine, ce deuxième long-métrage écrit et réalisé par un réalisateur de 42 ans, adepte d’un cinéma sensoriel tout en images mélodieuses, volutes évanescentes et climats mélancoliques.
Sud Ouest
Jamais sans doute un cinéaste n'avait traité de l'absence avec cette délicatesse. Quant aux comédiens, à commencer par Anders Danielsen Lie et Judith Chemla, ils sont au-delà de la justesse, emplis de grâce à chaque plan, ajoutant la douceur de leur jeu à une œuvre poignante.
Cahiers du Cinéma
Ce que travaille Mikhaël Hers est ténu, et le château de cartes d’émotions qu’il construit ne tient que par la minutie de son geste.
CinemaTeaser
On sort le cœur lourd et léger à la fois de ces trois étés passés à regarder la vie finir par toujours reprendre le dessus.
Culturopoing.com
Pas besoin d’action épileptique pour nous secouer, il suffisait de faire remonter à la surface quelques réminiscences pour que pointe la blessure aiguë sous la cicatrice.
Elle
Malgré son côté un peu carte postale quand il s'aventure dans l'imagerie des villes, le film est délicat lorsqu'il capte les relations de la soeur esseulée (Judith Chemla) avec son petit garçon et ses atermoiements sentimentaux.
Femme Actuelle
Un très joli film délicat et solaire qui montre, sans être démonstratif.
Franceinfo Culture
Doux et intimiste, ce film regarde les trois villes avec grâce. La douleur de l'absence est omniprésente mais Mikhaël Hers l'observe avec une pudeur élégante...
Gala
Ce sentiment de l’été manque parfois un peu de rythme, et nous plonge, comme les héros dans une certaine langueur. Mais il faut parfois savoir s’ennuyer (un peu) pour apprécier les belles choses.
La Croix
Pour son deuxième long-métrage, le réalisateur s'entoure de deux acteurs radieux (...), magnifiés par sa mise en scène fluide, trouée d'ellipses fécondes.
Le Dauphiné Libéré
Un film tout en nuances, en silences, en sentiments intimes, qui, d’une ville à l’autre et d’un personnage à l’autre, traduit la vie qui revient, triomphant du vide de l’absence. Et le charme opère.
Le Parisien
La réparation du chagrin, le réapprentissage du sourire et du désir, la nature complexe du trouble qui s'installe entre les personnages, tous ici d'une belle vérité, sont le sujet de ce film qui longe avec sensibilité et douceur les chemins de la résilience.
Les Fiches du Cinéma
Au-delà du côté “romantisme chic” un peu affecté du film, la réalisation gracieuse de Mikhaëk Hers prend le dessus pour susciter une émotion délicate et précieuse.
Les Inrockuptibles
Oui, c’est un cinéma très doux, mais doux comme les vagues de l’été qui finissent pourtant par éroder le roc. Sans violence, Mikhaël Hers nous révèle cependant à nous-même notre infinie tristesse, un flot d’émotions venues on ne sait trop d’où, si ce n’est peut-être du passé.
Libération
Est-ce que cela aurait un sens de délocaliser ce deuil trentenaire et ce vague à l’âme Airbnb loin de ses assises occidentales, dans des endroits moins arpentés, plus térébrants, quelque part entre Maputo, Vientiane ou Kunming ? On aime à le croire…
Marianne
Servi par des acteurs remarquablement justes, Judith Chemla et Anders Danielsen Lie, le film livre des scènes d'un réalisme saisissant.
Ouest France
Des choix de narration et de construction rigoureux, ce qui n'empêche pas l'émotion de s'installer, sous la direction sensible du réalisateur.
Première
Infusé de références anglo-saxonnes, d’envies d’ailleurs (de Berlin à New York), le film ressemble à une pop song fragile, pas taillée pour les charts : léger, gracieux, sacrément entêtant.
Télérama
"Ce sentiment de l'été" offre l'une des plus belles allégories de ce qu'on appelle communément "le travail de deuil".
aVoir-aLire.com
Avec plein de finesse, Mikhaël Hers nous livre une belle exploration des rapports humains.
Critikat.com
Comme l’aspect granuleux de son image Super-16, "Ce sentiment de l’été" donne l’impression d’un objet revenu du passé. Hers cherche l’expression du souvenir dans l’infime des gestes et des objets.
La Septième Obsession
Le seul reproche que l’on puisse faire à Hers, c’est justement de montrer des gens trop beaux, trop sensibles, trop doux. Mais si l’on en croit Bazin-Godard-Mourlet, c’est le propre du cinéma que de "substituer à notre regard un monde qui s’accorde à notre désir".
Le Journal du Dimanche
Ce film introspectif à la photographie soignée est interprété par d'excellents comédiens. Dommage qu'il souffre de quelques passages à vide.
Le Monde
Deuxième long-métrage du Français Mikhaël Hers, "Ce sentiment de l'été" peint, plus qu'il ne raconte, les séquelles singulières de cette mort en pleine jeunesse et au coeur de l'été.
VSD
De magnifiques pulsations de mélancolie noyées dans une sous-intrigue sans intérêt.
L'Express
Le film est malheureusement trop long, le récit se délite, la redondance guette, la fin est réussie.
Studio Ciné Live
C'est beau, simple. Pourquoi alors ce goût d'inachevé ? Peut-être parce que la grâce tant louée se transforme peu à peu en préciosité. Frustrant.
Positif
Des photos panoramiques et la musique insipide scandent l'ensemble. Dans la veine cosmopolite du cinéma d'un Noah Baumbach, le film aura ses fans.