Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
En relatant un épisode éludé, un épiphénomène de l’Histoire, Martin Zandvliet touche à l’universel avec une rare sensibilité : bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Le propos est loin d'être simpliste et l'intelligence des enjeux narratifs n'est pas la moindre des qualités de ce long-métrage qui a été en lice pour l'oscar du meilleur film étranger. Il y a aussi la mise en scène qui joue avec brio sur l'économie de moyens grâce à un décor naturel, une plage et des dunes à perte de vue en format Scope (écran très large), évitant ainsi toute reconstitution coûteuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet à forte tension dramatique, un film qui, en ressuscitant un épisode mal connu et en le traitant sans manichéisme, brouille les cartes de la bonne conscience. Explosif, à sa façon !
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le nouveau film du réalisateur danois, Martin Zandvliet, fait d'un épisode de la Seconde Guerre mondiale une tragédie bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
De la haine au pardon, entre peur et survie, rage et amitié, chacun de ces héros tragiques évolue, exprime une foule de sentiments édifiants et terriblement humains.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
À partir de faits peu connus, Martin Zandvliet livre un beau plaidoyer humaniste.
Ouest France
par Pierre Lunn
Grâce à un supense maîtrisé, le film offre surtout une belle réflexion sur la jeunesse et sur le renversement des valeurs.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Le film, qui parle de survie, de rédemption, d'humanité retrouvée, ménage des scènes de déminage sous très haute tension. De celles que l'on n'est pas près d'oublier.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Martin Zandvliet, cinéaste danois, filme cette fin des terres comme un théâtre aussi lugubre que lumineux. Un huis clos à ciel ouvert où ses personnages sont autant de caractères dessinés par leur jeunesse et tenus par leurs espérances.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
En relatant un épisode peu connu de l’histoire du Danemark, Martin Zandvliet nous livre un brillant plaidoyer sur l’inutilité de la vengeance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Le réalisateur évite avec soin le mélo et l’horreur (malgré de multiples explosions, une seule est filmée de près). Souligné par une belle musique de Sune Martin, le film est plus intéressant par son sujet que par son style, par sa justesse que par sa mise en scène, assez classique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Rendons grâce aux acteurs, au poids des silences, à une mise en scène contemplative dans des décors (presque trop beaux, tant ils sont meurtriers) rappelant irrésistiblement notre Côte d’Opale.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le film montre ces gamins traités comme des bêtes, affamés, humiliés, qui vomissent tripes et boyaux. Comme "Black Book", de Paul Verhoeven, il aborde avec brutalité le sadisme avec lequel certains Allemands ont été traités à la Libération. En plus cru.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Quand toute une jeunesse paie deux fois le prix d'une guerre…
Télérama
par Frédéric Strauss
Si les circonstances historiques sont fortes, elles se trouvent déviées vers des enjeux fantasmatiques. Les détenus sont placés sous l'autorité d'un militaire sadique qu'ils essaient d'amadouer. Haïra-t-il toujours ? N'aimera-t-il jamais ? Sur le terrain affectif, l'exercice de déminage est un peu poussif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Un huis clos à ciel ouvert, âpre et imparable.
Critikat.com
par Benoît Smith
Martin Zandvliet, un peu plus roublard que Christian Carion ("Joyeux Noël"), tâche de rendre sa fable humaniste moins béate et plus nerveuse. (...) Mais tout ce savoir-faire n'agit que comme un vernis de sécheresse sur des balises qu'il se garde de jamais troubler.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le jeune metteur en scène danois Martin Zandvliet se sert à merveille de ces instruments, mais oublie (ou refuse) d’évoquer le régime qui a envoyé ces adolescents au combat ou le sort que l’Allemagne nazie réserva aux pays occupés (certes le Danemark souffrit moins que d’autres nations).
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On aurait préféré une approche franchement cruelle ou ambiguë à cette vaseuse mansuétude à l'égard des perdants pris dans la tourmente de l'histoire.
Libération
par Marcos Uzal
Le cinéaste semble incapable d’effleurer la complexité historique et éthique du problème qu’il soulève. Sa seule réponse au manichéisme étant d’en créer un autre, inversé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
En relatant un épisode éludé, un épiphénomène de l’Histoire, Martin Zandvliet touche à l’universel avec une rare sensibilité : bouleversant.
L'Express
Le propos est loin d'être simpliste et l'intelligence des enjeux narratifs n'est pas la moindre des qualités de ce long-métrage qui a été en lice pour l'oscar du meilleur film étranger. Il y a aussi la mise en scène qui joue avec brio sur l'économie de moyens grâce à un décor naturel, une plage et des dunes à perte de vue en format Scope (écran très large), évitant ainsi toute reconstitution coûteuse.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet à forte tension dramatique, un film qui, en ressuscitant un épisode mal connu et en le traitant sans manichéisme, brouille les cartes de la bonne conscience. Explosif, à sa façon !
Le Figaro
Le nouveau film du réalisateur danois, Martin Zandvliet, fait d'un épisode de la Seconde Guerre mondiale une tragédie bouleversante.
Le Journal du Dimanche
De la haine au pardon, entre peur et survie, rage et amitié, chacun de ces héros tragiques évolue, exprime une foule de sentiments édifiants et terriblement humains.
Les Fiches du Cinéma
À partir de faits peu connus, Martin Zandvliet livre un beau plaidoyer humaniste.
Ouest France
Grâce à un supense maîtrisé, le film offre surtout une belle réflexion sur la jeunesse et sur le renversement des valeurs.
Studio Ciné Live
Le film, qui parle de survie, de rédemption, d'humanité retrouvée, ménage des scènes de déminage sous très haute tension. De celles que l'on n'est pas près d'oublier.
Sud Ouest
Martin Zandvliet, cinéaste danois, filme cette fin des terres comme un théâtre aussi lugubre que lumineux. Un huis clos à ciel ouvert où ses personnages sont autant de caractères dessinés par leur jeunesse et tenus par leurs espérances.
aVoir-aLire.com
En relatant un épisode peu connu de l’histoire du Danemark, Martin Zandvliet nous livre un brillant plaidoyer sur l’inutilité de la vengeance.
L'Obs
Le réalisateur évite avec soin le mélo et l’horreur (malgré de multiples explosions, une seule est filmée de près). Souligné par une belle musique de Sune Martin, le film est plus intéressant par son sujet que par son style, par sa justesse que par sa mise en scène, assez classique.
La Voix du Nord
Rendons grâce aux acteurs, au poids des silences, à une mise en scène contemplative dans des décors (presque trop beaux, tant ils sont meurtriers) rappelant irrésistiblement notre Côte d’Opale.
Le Parisien
Le film montre ces gamins traités comme des bêtes, affamés, humiliés, qui vomissent tripes et boyaux. Comme "Black Book", de Paul Verhoeven, il aborde avec brutalité le sadisme avec lequel certains Allemands ont été traités à la Libération. En plus cru.
Rolling Stone
Quand toute une jeunesse paie deux fois le prix d'une guerre…
Télérama
Si les circonstances historiques sont fortes, elles se trouvent déviées vers des enjeux fantasmatiques. Les détenus sont placés sous l'autorité d'un militaire sadique qu'ils essaient d'amadouer. Haïra-t-il toujours ? N'aimera-t-il jamais ? Sur le terrain affectif, l'exercice de déminage est un peu poussif.
VSD
Un huis clos à ciel ouvert, âpre et imparable.
Critikat.com
Martin Zandvliet, un peu plus roublard que Christian Carion ("Joyeux Noël"), tâche de rendre sa fable humaniste moins béate et plus nerveuse. (...) Mais tout ce savoir-faire n'agit que comme un vernis de sécheresse sur des balises qu'il se garde de jamais troubler.
Le Monde
Le jeune metteur en scène danois Martin Zandvliet se sert à merveille de ces instruments, mais oublie (ou refuse) d’évoquer le régime qui a envoyé ces adolescents au combat ou le sort que l’Allemagne nazie réserva aux pays occupés (certes le Danemark souffrit moins que d’autres nations).
Les Inrockuptibles
On aurait préféré une approche franchement cruelle ou ambiguë à cette vaseuse mansuétude à l'égard des perdants pris dans la tourmente de l'histoire.
Libération
Le cinéaste semble incapable d’effleurer la complexité historique et éthique du problème qu’il soulève. Sa seule réponse au manichéisme étant d’en créer un autre, inversé.