Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Albert Dupontel a peut-être réalisé l’un des plus beaux films de l’année.
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Dans "Au revoir là-haut", tout respire la réflexion, la créativité, la recherche, en deux mots : le travail d’ampleur et la créativité sans bornes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Voilà un grand film populaire et spectaculaire, qui mêle avec succès comédie, tragédie, poésie, émotion et aventures.
L'Express
par Christophe Carrière
Cela fait un bien fou de voir un cinéma français capable d'être épique et émouvant, sans pour autant tomber dans l'académisme et la guimauve.
L'Obs
par François Forestier
Vu le succès du livre (450.000 exemplaires), le défi était de taille. Albert Dupontel le relève avec panache. C'est un film enthousiasmant, spectaculaire, traversé par une conviction d'airain : le cinéma est porteur de vérité. Celle du cœur des hommes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une adaptation du Prix Goncourt de Pierre Lemaitre fidèle à l’esprit du livre, où Dupontel, à son meilleur, donne libre cours à son esprit anar et rebelle, dans une sorte de Grand Guignol horrifique et grotesque.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Avec "Au revoir là-haut", Albert Dupontel adapte le livre de Pierre Lemaitre et signe une merveille de malice libertaire et d'invention formelle. Un film événement qui ressemble à son auteur : imprévisible, secouant, diablement philosophe… Et pas si déglingué.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Sophie Delafontaine
D'un grand livre, Dupontel a tiré un grand film.
Sud Ouest
par Sophie Avon
En s’appropriant le roman, Albert Dupontel a fait mieux que l’incarner, il lui a donné une intense charge d’émotions qui déborde les effets visuels de son cinéma, transforme une résurrection en rédemption et un sauvetage en impossible retour.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Tout aussi inspiré derrière que devant la caméra, Dupontel (émouvant Maillard) orchestre une fresque picaresque et politique et signe son chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Voici
par La Rédaction
Un pamphlet politique, drame intime, émouvant, poétique et traversé d'humour.
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Le soin tout particulier apporté à l'image, l'élégance et l'invention de la mise en scène permettent à la poésie et à l'humour de traverser ce pamphlet politique à grand spectacle. Nahuel Perez Biscayart habite son personnage par son regard et son corps, dévoilant une nouvelle facette de son talent, Laurent Lafitte est une ordure de toute beauté.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Ces masques fascinants que porte l’homme défiguré, marque de fabrique apocalyptique d’un combat inhumain, donnent au film une dimension surréaliste qu’il cultive tout du long, jouant avec les mots et les situations avec habileté.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Simon Riaux
En dépit de quelques échardes structurelles et narratives, Albert Dupontel livre ici son film le plus poétique et abouti visuellement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Khadija Moussou
C’est beau, c’est drôle et c’est même sombre par moments. On serait presque tentées de préférer le film au roman. On a dit presque.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Fidèle à l’esprit et à la lettre du roman de Pierre Lemaitre, prix Goncourt 2013, ce film rocambolesque et picaresque est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Albert Dupontel persiste et signe dans sa volonté de faire exploser les coutures du cinéma français. Et de militer, loin des racines du naturalisme, en faveur d’un romanesque échevelé, teinté de lyrisme, de baroque et d’excentricité. Du vrai cinoche quoi !
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Albert Dupontel a trouvé dans le roman de Pierre Lemaitre, prix Goncourt 2013, une matière qui se prêtait à son inspiration, qu'on sait féroce et bizarre. Pour sa première adaptation, il s'offre en ouverture une reconstitution des tranchées de la Grande Guerre qui prouve qu'il ne manque pas d'ampleur épique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par B.T.
Dans l’écrin d’une mise en scène virtuose à l’image travaillée pour restituer l’époque, les acteurs sont impeccables : Dupontel retrouve une partition de naïf au grand cœur, Nahuel Perez Biscayart réussit à exister derrières ses masques, Laurent Lafitte joue les méchants avec malice, et Niels Arestrup crée l’émotion là où on ne l’attend pas.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Dupontel adapte avec élégance et inventivité le roman de Lemaître et signe un film enlevé, efficace et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Yann Tobin
Les thèmes et le ton chers au cinéaste restent présents : satire grinçante des rapports humains et sociaux, sens désinhibé du grotesque, fanfaronnade cachant la fêlure, création artistique entre exhibition et catharsis. Son respect de l'oeuvre adaptée s'accompagne d'une ambition formelle inouïe.
Première
par Christophe Narbonne
As de la débrouillardise, doté d’un sens inné du cadre, capable de faire passer un film à 5 millions d’euros pour une superproduction, Dupontel a enfin bénéficié de moyens conséquents : ils sont à l’écran, et mieux encore.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Un film spectaculaire, enthousiasmant où la poésie se mêle à l'humour. L'audace de Dupontel séduit et fait d'un livre formidable, un film splendide !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Quelque part entre Eugène Sue et Jean-Pierre Jeunet, il y a donc du suspense dans "Au revoir là-haut", mais aussi une poésie insensée, des pointes d'humour et des envolées poignantes.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Un grand et beau film populaire auquel il manque juste un soupçon d'émotion.
Télérama
par Samuel Douhaire
Albert Dupontel parvient toujours à équilibrer l’eau de rose et le vitriol. Avec, en prime, de formidables trouvailles visuelles : à travers la collection de masques portés par Edouard pour cacher sa gueule cassée, tout l’art moderne et la culture populaire du début du XXe siècle défilent…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
En effet, le film réserve quelques surprises aux lecteurs du roman. Et elles ne sont jamais gratuites, car le Dupontel cinéaste a sacrément pris de la bouteille, ce qui fait pardonner quelques affèteries stylistiques peu à propos.
La critique complète est disponible sur le site VSD
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
L’ensemble forme un magnifique film que n’aurait pas désavoué Jean Renoir tant il fait appel à une façon de faire des films aux antipodes de ce que nous assène régulièrement le cinéma français, depuis trop longtemps adepte des codes de la télévision et de la publicité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Le film est à la fois tragique, surréaliste (...) et esthétique. Sa limite est peut-être là, dans sa beauté trop belle. Mais sûrement est-ce un peu con de dire que la limite d'un film est qu'il est trop travaillé...
Critikat.com
par Benoît Smith
(...) le surmoi de "Créateur" de Dupontel s'est assez calmé pour laisser exprimer sa réelle affection pour ses personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Albert Dupontel assume un romanesque à l'extrême, en restant fidèle à lui-même, dans un grand spectacle consensuel, un peu trop beau, mais qui reflète l’effort d’un renouvellement ambitieux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Point
par Olivier Ubertalli
Un bon divertissement, bien joué, mais sans grande originalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par Benjamin Locoge
Le réalisateur et acteur Albert Dupontel adapte avec brio l'excellent roman de Pierre Lemaitre. Le jeune Nahuel Perez Biscayart confirme lui qu'il est une graine de star.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cette prédestination fabriquée, cette ambition démiurgique sont un des problèmes du film : la recherche de perfection étouffe la palpitation de la vie ; on manque d’air.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On est aussi en droit de ne pas adhérer à cette façon d’allumer tous les signaux du chef-d’oeuvre patrimonial obligatoire, à cette mise en scène ultravoyante à coups de travellings dans tous les sens, de vues de drone ou de grue, et de décors ultrachargés.
Libération
par Didier Péron
(...) en dépit d’une direction artistique qui s’est sûrement donné beaucoup de mal, le film s’encroûte inexorablement en une lourde sarabande de masques percés de regards effarés, emblème d’une folie contagieuse que le film entend d’un même mouvement propager et dénoncer en une sorte de vrille qu’il voudrait vertigineuse. Mais la pesanteur illustrative cloue le film à son destin d’album surchargé et inutile.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Agitation n’est pas folie. Et le film ne se distingue pas, finalement, d’un vieux tropisme français de l’imagerie rétro, renvoyant à Jeunet et à Caro. Mais d’hier ou d’aujourd’hui, on le sait bien, le cinéma du passé a toujours de l’avenir.
20 Minutes
Albert Dupontel a peut-être réalisé l’un des plus beaux films de l’année.
Bande à part
Dans "Au revoir là-haut", tout respire la réflexion, la créativité, la recherche, en deux mots : le travail d’ampleur et la créativité sans bornes.
Femme Actuelle
Voilà un grand film populaire et spectaculaire, qui mêle avec succès comédie, tragédie, poésie, émotion et aventures.
L'Express
Cela fait un bien fou de voir un cinéma français capable d'être épique et émouvant, sans pour autant tomber dans l'académisme et la guimauve.
L'Obs
Vu le succès du livre (450.000 exemplaires), le défi était de taille. Albert Dupontel le relève avec panache. C'est un film enthousiasmant, spectaculaire, traversé par une conviction d'airain : le cinéma est porteur de vérité. Celle du cœur des hommes.
Le Dauphiné Libéré
Une adaptation du Prix Goncourt de Pierre Lemaitre fidèle à l’esprit du livre, où Dupontel, à son meilleur, donne libre cours à son esprit anar et rebelle, dans une sorte de Grand Guignol horrifique et grotesque.
Marianne
Avec "Au revoir là-haut", Albert Dupontel adapte le livre de Pierre Lemaitre et signe une merveille de malice libertaire et d'invention formelle. Un film événement qui ressemble à son auteur : imprévisible, secouant, diablement philosophe… Et pas si déglingué.
Ouest France
D'un grand livre, Dupontel a tiré un grand film.
Sud Ouest
En s’appropriant le roman, Albert Dupontel a fait mieux que l’incarner, il lui a donné une intense charge d’émotions qui déborde les effets visuels de son cinéma, transforme une résurrection en rédemption et un sauvetage en impossible retour.
Télé 7 Jours
Tout aussi inspiré derrière que devant la caméra, Dupontel (émouvant Maillard) orchestre une fresque picaresque et politique et signe son chef-d’œuvre.
Voici
Un pamphlet politique, drame intime, émouvant, poétique et traversé d'humour.
Culturopoing.com
Le soin tout particulier apporté à l'image, l'élégance et l'invention de la mise en scène permettent à la poésie et à l'humour de traverser ce pamphlet politique à grand spectacle. Nahuel Perez Biscayart habite son personnage par son regard et son corps, dévoilant une nouvelle facette de son talent, Laurent Lafitte est une ordure de toute beauté.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ces masques fascinants que porte l’homme défiguré, marque de fabrique apocalyptique d’un combat inhumain, donnent au film une dimension surréaliste qu’il cultive tout du long, jouant avec les mots et les situations avec habileté.
Ecran Large
En dépit de quelques échardes structurelles et narratives, Albert Dupontel livre ici son film le plus poétique et abouti visuellement.
Elle
C’est beau, c’est drôle et c’est même sombre par moments. On serait presque tentées de préférer le film au roman. On a dit presque.
La Croix
Fidèle à l’esprit et à la lettre du roman de Pierre Lemaitre, prix Goncourt 2013, ce film rocambolesque et picaresque est une réussite.
La Voix du Nord
Albert Dupontel persiste et signe dans sa volonté de faire exploser les coutures du cinéma français. Et de militer, loin des racines du naturalisme, en faveur d’un romanesque échevelé, teinté de lyrisme, de baroque et d’excentricité. Du vrai cinoche quoi !
Le Figaro
Albert Dupontel a trouvé dans le roman de Pierre Lemaitre, prix Goncourt 2013, une matière qui se prêtait à son inspiration, qu'on sait féroce et bizarre. Pour sa première adaptation, il s'offre en ouverture une reconstitution des tranchées de la Grande Guerre qui prouve qu'il ne manque pas d'ampleur épique.
Le Journal du Dimanche
Dans l’écrin d’une mise en scène virtuose à l’image travaillée pour restituer l’époque, les acteurs sont impeccables : Dupontel retrouve une partition de naïf au grand cœur, Nahuel Perez Biscayart réussit à exister derrières ses masques, Laurent Lafitte joue les méchants avec malice, et Niels Arestrup crée l’émotion là où on ne l’attend pas.
Les Fiches du Cinéma
Dupontel adapte avec élégance et inventivité le roman de Lemaître et signe un film enlevé, efficace et touchant.
Positif
Les thèmes et le ton chers au cinéaste restent présents : satire grinçante des rapports humains et sociaux, sens désinhibé du grotesque, fanfaronnade cachant la fêlure, création artistique entre exhibition et catharsis. Son respect de l'oeuvre adaptée s'accompagne d'une ambition formelle inouïe.
Première
As de la débrouillardise, doté d’un sens inné du cadre, capable de faire passer un film à 5 millions d’euros pour une superproduction, Dupontel a enfin bénéficié de moyens conséquents : ils sont à l’écran, et mieux encore.
Rolling Stone
Un film spectaculaire, enthousiasmant où la poésie se mêle à l'humour. L'audace de Dupontel séduit et fait d'un livre formidable, un film splendide !
Studio Ciné Live
Quelque part entre Eugène Sue et Jean-Pierre Jeunet, il y a donc du suspense dans "Au revoir là-haut", mais aussi une poésie insensée, des pointes d'humour et des envolées poignantes.
Télé Loisirs
Un grand et beau film populaire auquel il manque juste un soupçon d'émotion.
Télérama
Albert Dupontel parvient toujours à équilibrer l’eau de rose et le vitriol. Avec, en prime, de formidables trouvailles visuelles : à travers la collection de masques portés par Edouard pour cacher sa gueule cassée, tout l’art moderne et la culture populaire du début du XXe siècle défilent…
VSD
En effet, le film réserve quelques surprises aux lecteurs du roman. Et elles ne sont jamais gratuites, car le Dupontel cinéaste a sacrément pris de la bouteille, ce qui fait pardonner quelques affèteries stylistiques peu à propos.
aVoir-aLire.com
L’ensemble forme un magnifique film que n’aurait pas désavoué Jean Renoir tant il fait appel à une façon de faire des films aux antipodes de ce que nous assène régulièrement le cinéma français, depuis trop longtemps adepte des codes de la télévision et de la publicité.
Charlie Hebdo
Le film est à la fois tragique, surréaliste (...) et esthétique. Sa limite est peut-être là, dans sa beauté trop belle. Mais sûrement est-ce un peu con de dire que la limite d'un film est qu'il est trop travaillé...
Critikat.com
(...) le surmoi de "Créateur" de Dupontel s'est assez calmé pour laisser exprimer sa réelle affection pour ses personnages (...).
Franceinfo Culture
Albert Dupontel assume un romanesque à l'extrême, en restant fidèle à lui-même, dans un grand spectacle consensuel, un peu trop beau, mais qui reflète l’effort d’un renouvellement ambitieux.
Le Point
Un bon divertissement, bien joué, mais sans grande originalité.
Paris Match
Le réalisateur et acteur Albert Dupontel adapte avec brio l'excellent roman de Pierre Lemaitre. Le jeune Nahuel Perez Biscayart confirme lui qu'il est une graine de star.
Le Monde
Cette prédestination fabriquée, cette ambition démiurgique sont un des problèmes du film : la recherche de perfection étouffe la palpitation de la vie ; on manque d’air.
Les Inrockuptibles
On est aussi en droit de ne pas adhérer à cette façon d’allumer tous les signaux du chef-d’oeuvre patrimonial obligatoire, à cette mise en scène ultravoyante à coups de travellings dans tous les sens, de vues de drone ou de grue, et de décors ultrachargés.
Libération
(...) en dépit d’une direction artistique qui s’est sûrement donné beaucoup de mal, le film s’encroûte inexorablement en une lourde sarabande de masques percés de regards effarés, emblème d’une folie contagieuse que le film entend d’un même mouvement propager et dénoncer en une sorte de vrille qu’il voudrait vertigineuse. Mais la pesanteur illustrative cloue le film à son destin d’album surchargé et inutile.
Cahiers du Cinéma
Agitation n’est pas folie. Et le film ne se distingue pas, finalement, d’un vieux tropisme français de l’imagerie rétro, renvoyant à Jeunet et à Caro. Mais d’hier ou d’aujourd’hui, on le sait bien, le cinéma du passé a toujours de l’avenir.