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THE-CHECKER
111 abonnés
713 critiques
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0,5
Publiée le 24 novembre 2017
C'est dans état bien particulier que j'écris ces quelques lignes tant le traumatisme que constitue la vision de ce film résonne encore en moi! Que dire de ce spectacle effroyable dont j'ai été l'infortuné témoin, moi qui m'étais pourtant juré de ne plus jamais m'approcher d'une production Maury/Bustillo après avoir eu le malheur de voir un de leur précédent méfait pompeusement intitulé" "aux yeux des vivants" qui m'avait déjà occasionné plusieurs mois de thérapie au sein d'un groupe de victime des ex pigistes Mad Movisien. Hélas, cliquant malencontreusement sur le mot Leatherface à la recherche d'un titre à regarder en dilettante, je ne pus interrompre la suite du métrage, fasciné et horrifié par tant d'infamie cinématographique, regrettant presque de ne pas avoir eu le courage de choisir un autre nanard du type de ceux produits par Europacorp (le déjà tristement célèbre Valerian).
Quel spectacle horrible! Comment est il possible que ces deux là n'aient pas encore été arrêtés et interdits ne serait-ce que de whatsuper??!! Je frémis encore devant le degré putassier de l'affaire, devant cette débauche de flagornerie filmique abjecte, mêlant narcissisme et auto satisfaction avec un aplomb tel qu'il en ferait presque rougir de honte un ex ministre de la culture adepte des massages d'oignons par de jeunes enfants Thailandais!
Aussi prévisible que vulgaire, cette relecture du personnage inventé par Tobe Hooper ne mérite même pas le qualificatif de film!
Je reste sur ma faim après ce film censé être l'origine du personnage Leatherface car si les scènes gores sont parfois bien trashes, malheureusement on a l'impression de faire du surplace et la fin qui nous donne la naissance du masque (qui ressemble plus à Michael Myers que Leatherface d'ailleurs) est totalement ajouté comme un cheveux sur la soupe à la mode : "Mais on a oublié de mettre le masque aussi... Euh Roger, tu nous fait ça rapidos!" - "Ok ça marche on tourne". Donc vous l'avez compris, il vaut bien mieux retrouver les versions originales, bien moins gores mais tellement plus malsaines et flippantes.
Se laisse regarder mais ne partez pas dans l'intention de voir un bon film d'horreur. Il sert vraiment d'origine à massacre à la tronçonneuse mais le côté horreur et un peu oublié dans Leatherface...
Depuis sa sortie en 1974, le cultissime « Massacre à la tronçonneuse » de Tobe Hooper a vu naître bon nombre de préquelles, séquelles ou copies en tout genre... Pas toujours au top niveau, il faut bien le reconnaître. Ce n'est d'ailleurs pas ce nouveau « Leatherface » qui va relever le niveau. Je dois d'ailleurs préciser que ses qualités techniques ne sont pas les premières à mettre en cause... Les effets spéciaux sont même plutôt efficaces et quelques scènes de découpage se révèlent bien « craspouettes » comme il faut. Ce qui cloche fortement, par contre, c'est la solidité du scénario. Ce dernier n'est pas très lisible et bien trop éloigné de l'histoire d'origine pour passionner les fans. La faible implication des acteurs pose également problème et on a beaucoup de mal à s'intéresser aux personnages qui manquent singulièrement de charisme. Pour que le film fonctionne à peu près, il faudrait le visionner sans prendre en compte son glorieux ancêtre, ce qui serait un crime tant l'objectif d'un tel projet devrait être de lui rendre hommage. De ce côté là, on peut donc estimer que « Leatherface » est un retentissant échec qui manque terriblement d'âme. Reste un petit film d'horreur qui peut se révéler regardable pour la plus jeune génération, pour les autres....
C la debandade ❤ Film tres interessant de par son niveau de degueulasserie 😋 j ai passer un super moment j ai bander quand ca c est fini j ai debander ce fut donc la debandade 😉 Je conseil ce film a tt les enfants qui veulent passer un bon moment en prenant leur repas. A ne pas regarder a plusieurs car ce film excite tellemt que ca pourrait degenerer😁 Voila. 🤗
Leatherface de Julien Maury et Alexandre Bustillo tombe dans le banal dès les premières mesures de la partition et ne s’en relève malheureusement jamais. Film à l’identité trouble, je doute que l’on finisse un jour par en connaître véritablement les coulisses. Il n’en reste en bout de course qu’un produit à cheval entre le standard et autre chose d’indescriptible sous sa forme beaucoup trop anecdotique pour qu’on s’y intéresse vraiment. Et c’est sans doute ce qui est le plus frustrant dans le fond. Je ne doute pas que Julien Maury et Alexandre Bustillo possèdent une envie de créer des histoires solides. Leatherface malheureusement n’est pas l’une d’elle. On se retrouve avec un chapitre de plus dans la longue histoire des réalisateurs français venus travailler chez l’oncle Sam et dont le rêve à vite tourner au cauchemar. Et en ce qui concerne le film pour le spectateur, nous dirons que cela tourne très vite à la gentille petite sieste. Dommage.
Le prequel de massacre à la tronçonneuse. Bon ok il est naze, comme le film original d’ailleurs. J’ai jamais compris l’engouement qu’il y a eu à l’époque sur l’œuvre de Tob Hooper. Le premier slasher du cinéma ? Non perdu, c’était ce bon vieux Jack de Whitechapel. La tronçonneuse ? Oui c’est sûrement ça. Une première dans le cinéma. Un taré qui découpe ses victimes avec cet engin , qui, il est vrai occasionne des dégâts particulièrement dégueux sur le corps humain. Le pense pas que le film aurait eu le même impact psychologique à l’époque si le tueur avait eu une hache ou un autre outil.
Pour en revenir au film, c’est simple, un gamin dans une famille de tarés, qui devient taré, fini dans un hôpital psychiatrique, qui s’échappe avec d’autres tarés, poursuivi par un sheriff taré et qui retourne dans sa famille de tarés. Ca en fait des tarés ! Ben c’est le film. Avec du sang des cris, des trucs crades et un scenario qui tient sur un post-it.
Bon il a le mérite d’exister. Mais il fait partie des films jetables. Dommage j'aurais aimé un prequel façon Halloween de Rob Zombie.
Préquel française très stylé et et très gore. L'idée est excellent de traiter de la jeunesse du personnage de Leatherface (on comprend plusieurs aspects de sa personnalité). On reconnait la patte des réalisateurs de A l'intérieur. Je ne comprends pas pourquoi ce film n'a pas eu sa chance au ciné ??
Plaçant le Massacre à la Tronçonneuse, version de 2003 (par Marcus Nispel) au panthéon des meilleurs films d'horreur de tous les temps, j'attendais beaucoup de cette variation sur l'enfance de "Leatherface". Après une scène d'ouverture très peu crédible, le film offre une deuxième scène plutôt bien faite d'attaque en bord de route, qui lui vaut mon étoile. Puis tout va de travers. On a une drôle d'impression lorsqu'un personnage se fait tuer "les dents sur le trottoir", exactement comme dans American History X (Tony Kaye, 1998). S'agit-il d'un hommage ? Un peu plus loin, il y a la mort dévoré par des porcs, avec le gros plan sur le visage ensanglanté qui disparaît entre deux mâchoires, exactement comme dans Hannibal (Ridley Scott, 2001). Coïncidence ? J'ai plutôt l'impression que la paire de réalisateurs s'est dit : "Tiens, cette mort là aussi est cool, mettons la dans le film." Eh bien messieurs, si vous n'inventez même plus vos propres mises à mort, le cinéma d'horreur est vraiment en panne d'inspiration. Au final, qu'est-ce que Leatherface a à dire qui n'ait pas déjà été dit cent fois ? spoiler: Peut-être une scène nécrophile assez horrifique, même si les moins jeunes se souviendront de quelque chose d'approchant dans Dellamorte Dellamore (Michele Soavi, 1995). Bref j'encourage à mieux employer son temps en (re)visionnant l'un des classiques du genre.
film pour un dimanche matin pluvieux,rien d'extraordinaire par rapport à l'existant ,ni nul ,ni bon, çà passe le temps, quand on a rien d'autre de plus intéressant à regarder .
Très décevant. Tout d'abord, j'aurai aimé que le film est un tout petit aspect de documentaire sa aurait été top ! Ensuite le début est très incohérent... ce n'est que mon avis : Je trouve par ordre logique le massacre à la tronçonneuse de 2006 qui montre comment et pourquoi Leatherface s'est mis à tué (et j'ai beaucoup apprécié le fait qu'aucun personnage ne survive .. à voir pour la suite) Celui de 2003, (remake de 1974) qui montre que la famille poursuit toujours ses activites de cannibalisme car dans celui de 2006 le commençement, aucun survivant d'où le fait qu'il n'ont pas été dénoncé aux autorités. Puis celui de 1974, la ou il reste 1 survivante qui préviendra la police locale et qui maintenant est au courant des meurtres perpétré par la famille de Leatherface. J'ai exit les autres films car ils ne sont d'aucune utilité. Je ne vais pas raconter le film mais seulement des parties qui aurait dû être mentionné ou incohérente.
1) Jedediah ou Thomas Hewitt été découvert dans une poubelle par Verna Sawyer donc sa mère adoptive. 2) Jedediah souffrait de problème de peau dès sa naissance et non perforé d'une balle dans la gueule ici dans ce ramassis de connerie. 3) Jdd est un enfant dérangé et plutôt solitaire, donc cela m'étonnerai qu'il ai des amis .. 4) L'idée de l'orphelinat bof, Jed à été à l'école comme tout le monde (même s'il a été victime de moqueries) puis vers sa pré-adolescence a été initié à découper de la viande jusqu'à l'âge adulte. Il ne s'est pas mis à zigouiller les gens en un claquement de doigts.
Bref, ce film se fou royalement des films précédents et à préféré faire a sa sauce qui est un désastre. Ce film n'est pas utile passer votre chemin. Vous n'en serez pas plus qu'avec les autres films.
Dans la pure veine de massacre à la tronçonneuse. L'ensemble des codes sont présents mais un sérieux manque de tension. Un clin d’œil d'une scène à "The walking dead" (sympa). Beaucoup de facilité toutefois, sans grande originalité et des interprétations pas top. Au final, 2/5 !!! (pas plus).
Très dispensable. L'interprétation est plutôt convaincante, mais le scénario est plombé d'avance car on sait pertinemment que personne ne s'en sortira vivant, excepté Leatherface himself. S'il n'y avait pas des séquences sanglantes à souhait (le découpage final est assez gore), on s'ennuiera ferme car la réalisation est convenue. Le film est visible dés aujourd'hui en version française, en streaming, haute définition. Jugez par vous même.