Leatherface raconte les origines du tueur de "Massacre à la tronçonneuse". Je ne m'attendais à rien mais j'ai finalement été assez convaincu par ce film, même si je l'admet il s'agit d'un film très basique et ne prenant aucun risque.
Personnellement, j'ai trouvé l'intrigue assez simple mais je ne m'attendais pas qu'elle aille dans cette direction, n'ayant vu aucune bande annonce. La réalisation est assez basique mais j'ai apprécié la photographie qui retranscrit bien l'époque, renforçant ainsi l'immersion. Puis, j'ai été un peu déçu par l'ambiance, le film avait tout de même beaucoup de possibilités mais je n'ai pas vraiment trouvé le film effrayant ou même angoissant malgré beaucoup de sangs à l'écran (sans réel intérêt par moment d'ailleurs). Cependant, il y a quelques moments avec une atmosphère angoissante et parfois délirante accompagné par des musiques cools renforçant cette contraste entre les scènes, malgré que la BO en elle même n'est pas mémorable. L'ensemble d'acteurs est très convaincants malgré que leurs personnages soient trop survolées et ça aurait été mieux d'en savoir tout de même plus sur la famille Sawyer même si avec le peu que l'on voit sur eux, on se fait déjà une idée de cette famille si étrange et atroce.
Bref, j'ai passé un bon moment devant ce film malgré certains défauts assez visible, mais au moins, ce film m'a donné l'envie de voir les autres Massacres à la tronçonneuses. A voir pour connaître les origines de ce tueur si connue... mais pas mémorable.
Je connais la saga depuis ses débuts et je dois honnêtement dire que je n'ai pas du tout été déçu par cette préquelle. Certes elle n'est pas parfaite et utilise quelques facilités (sans compter les nombreuses coupes qu'elle a dû subir), mais enfin on s'intéresse aux origines de ce Leatherface et c'est ce qui m'a principalement plu, notamment son passage crescendo du côté obscur. Oui ok, le coup de la vache m'a fait explosé de rire aussi mais je suis passé outre car tout ce qui m'intéressait n'était pas la course poursuite mais son aboutissement. Quant au final, il est simple mais efficace.
"Direct to dvd" et c'est bien tout ce que mérite ce film qui tente uniquement de surfer sur la vague de succès de la franchise mais qui ne sera rien d'autre qu'un (très pale) film d'horreur du Dimanche soir aussitôt vu et aussitôt oublié. Acteurs mauvais, scénario accumulant les invraisemblances, le réalisateur original, Tobe Hooper, qui nous a quitté en 2017 aurait mérité meilleur hommage.
Ce film est très moyen car il n'apporte pas grand-chose quant aux origines de Leatherface semblant bien malingre au vu de ce qu’il deviendra plus tard ! Seules nouveautés : la vengeance du shérif (interprété par un très bon Stephen Dorff) et l'asile psychiatrique où notre ami amateur de tronçonneuses a séjourné. En revanche, sont dispensables : certaines scènes comme celle du massacre dans le restaurant ressemblant étrangement à du Tarantino de bas étage. Mais pour les fans d’hémoglobine, c’est assez gore mais tellement loin de Tobe Hooper que l’on s’interroge quand même sur la nécessité de l’avoir fait. Peut-être l’appât du gain vis-à-vis d’une franchise hyper connue, qui sait ?
Une préquelle simpliste et un peu inutile. Si le premier film est toujours un grand classique grâce à son esthétique et sa violence brute, il aura fallu attendre le reboot et ses suites pour voir quelque chose de correct (et de même bon, je dirais). Alors que personne ne demandait a voir la tronche de Leatherface, ni a connaitre ses origines, on se retrouve avec un film dynamique mais paresseux qui s'embourbe dans un gore bas de gamme, éparse et inefficace car désireux de choquer à tout prix (une scène de nécrophilie...franchement ?!) mais sans aller jusqu'au bout. Le casting est bon mais en dehors de l'identité de Leatherface, rien à se mettre sous la dent. Même le personnage de Stephen Dorff est sans relief alors qu'il y avait matière à plus de tensions. Ce n'est pas une catastrophe, c'est regardable, mais on échappe pas à la sensation d'être face à un produit marketing plus qu'a un film avec une vraie vision, une âme.
Un prequel qui manque de saveur, la ou le défunt Tobe Hooper réussit à nous émerveillé, ce film ne fait que nous ennuyer ou presque. Les scènes n'ont rien de nouvelles et la tram ne nous emporte pas. Alors certes on en découvre un peu plus sur le tueurs, mais franchement cela lui en fait presque perdre toute ça crédibilité. Un film d'horreur sans saveur, déjà vu et peu original.
Je n'arrive toujours pas à croire que j'ai perdu 1H30mn à visionner ce...cette...chose. Pour ma 3ème critique ou pseudo critique de films d'horreur, après tout je ne suis qu'un amateur, j'ai été horrifié par le degré de vulgarité, d'absurdité et de ridicule de cette bouse. En même temps je devais me douter que le gore serait bien présent mais bon autant dans l'original de 1974 régnait une atmosphère malsaine qui faisait passer la pilule mais là rien : Le Néant, Le vide intersidéral. Et la narration du pourquoi et du comment Leatherface est devenu ce qu'il est, relève du grand n'importe quoi. Peut-être un peu de Jason Vorhees avec spoiler: la méchante maman qui dit à son fils chéri quoi faire pour être un bon garçon...
Et surtout le blasphème suprême pour moi, une référence voulue ou non à La Revanche des Siths et la transformation d'Anakin Skywalker en Darth Vador. Notamment au travers de 2 clichésspoiler: , lorsque la potiche de service lui dit : "Je sais qu'il y a du bon en toi" et la foutue scène de la pose du masque de chair humaine à la fin.
C'en est trop, je suis abasourdi par tant de médiocrité et de nullité. Un film à Fuir. Ne perdez pas votre temps.
J'avais entendu dire que massacre à la tronçonneuse était certes gore mais qu'il y avait une certaine pression. Là c'est gore de ce côté là pas de soucis mais....c'est tout. Les réalisateurs n'étaient pas du tout inspirés et voulait surfer sur la vague d'une saga connue : erreur ! La scène d'ouverture est à peine crédible ; l'histoire du masque est mal amenée ou plutôt elle n'est pas amenée du tout, juste une scène ajoutée en plus "ah et voilà le fameux masque"
La réalisation est franchement moyenne (il faut dire que les réalisateurs débutent et on a pas trop à leur en vouloir sur ce point-là ! Elle est moyenne pas dégueu !) mais alors niveau scénario c’est n’importe quoi, quand on reprend les origines du tueur depuis les remakes et non l’original, déjà là-dessus ça pue ! Mais quand les meurtres n’arrivent que par la naïveté clichée des personnages, ça devient du grand n’importe quoi ! Le seul point positif de ce film ? La beauté de l’image et par conséquent le travail du chef opérateur.
On ne va pas se mentir. Leatherface est une abomination. Julien Maury et Alexandre Bustillo n'avaient absolument aucune raison d'échouer. Finalement, il est parfois plus facile de rédiger une critique que de produire un film. En effet, ces derniers sont des rédacteurs de la revue MadMovies. Ils connaissent donc le genre horrifique. Pourtant, Leatherface qui se constitue comme préquel à Massacre à la tronçonneuse échoue lamentablement. Que ce soit dans son casting insipide (on retrouve notamment le Iron Fist - Finn Jones) ou dans sa mise en scène, Leatherface ne fait pas peur. Pire, il acquiert rapidement le titre de navet. Toutes les situations sont ridicules, les acteurs sont dans un surjeu continu et les origines sont totalement bafoués pour une trame narrative - sous acide - qui mêle à la fois road-trip et séjour psychiatrique. Certes, je ne suis pas un grand fan de la franchise mais soyons honnête ce film n'a aucune saveur. Et la percée frenchie dans l'univers impitoyable d'Hollywood s'avère être un cuisant échec. Ces deux metteurs en scène devraient retourner dans la presse écrite. Et son casting - hormis si la direction fut mauvaise - de changer de métier. Honteux, lamentable, décevant... Je peux multiplier les exemples de termes négatifs à l'égard de cette oeuvre. Si vous êtes encore vierge de tout visionnage alors fuyez sans vous retournez !
Massacre à la tronçonneuse est exploité jusqu'au bout, on y ressort les origines, qui, il me semble ont déjà été traité quelques années avant, mais là on remonte plus loin. Cependant, c'est plutôt bien tourné, animé, on ne s’ennuie pas. Quelques incohérences agacent un peu,mais ce groupe de jeunes échappés d'un institut psychiatrique sont prêt à tout pour s'en sortir. Violence, gore, tuerie, les amateurs apprécieront. Comment faire du neuf avec du vieux... en attendant, jusque là, les réalisateurs s'en sortent encore pas trop mal, jusqu'à quand?
Des scènes gore qui ne sauvent pas un road movie creu. En 1974 Tobe Hooper a réalisé un chef d’oeuvre du cinéma, une sorte d’ode à la mort. En surfant sur ce monument ils n’apportent rien ici si ce n’est du déjà vu. La qualité de la photo n’est pas adaptée non plus.