Derniers Avis : Leatherface - Page 2

Mon film d'horreur préféré ! Ce film retrace super bien l'histoire de l'un des tueurs les plus emblématiques du cinéma d'horreur, Leatherface. Et bordel, qu'est-ce que je trouve cette préquelle excellente ! Malgré que le film aurait dû durer plus longtemps (120 minutes environ donc deux heures), je trouve quand même complet (bien que, on va pas se le cacher, si le film aurait durer environ 120 minutes, ça aurait été beaucoup mieux). Le développement des personnages sont super, et on a même droit à un petit twist dont je pense que personne ne s'y attendait. spoiler: Faire de Jackson, un garçon tout à fait normal au premier abord d'un psychopathe qui deviendra notre cher tueur au masque de cuir
, j'ai trouvé l'idée géniale ! Alors oui, il y a des scènes de sexe, mais contrairement aux scènes de sexe d'autres films d'horreurs, les scènes de sexe de ce film, eux, servent ! Ces scènes montrent la folie des personnages, spoiler: comme la scène de nécrophilie entre Ike et Clarice, quand Clarice fait l'amour à un cadavre qu'ils ont trouvé dans une caravane
. Ayant acheté le Blu-ray, j'ai vu l'entretien avec les réalisateurs ainsi que les coulisses, et ont voit que nos deux français ont vraiment mis tout leur cœur pour réaliser ce film, on voit d'ailleurs que c'est des français qui ont réaliser ce film, c'est vrai que quand ont voit ce film, comme les américains ont dit, ça se voit que quelques plans sont fait à la française, et ce n'est pas du tout un défaut, bien au contraire ! Ça colle parfaitement avec l'ambiance du Texas. La photographie est d'ailleurs magnifique, et les acteurs sont quand à eux tous excellents, je n'ai rien à dire sur ce coup, ils jouent tous bien leurs rôles de prédilection. Comme quoi, certains acteurs peu connus peuvent être au dessus du lot (même si ce n'est vraiment pas un secret). J'ai vu les scènes coupées, et franchement, qu'est-ce qu'elles sont bonnes ! Que ce soit l'ouverture alternative, la fin alternative ou mêmes les scènes coupées et alternatives, elles sont toutes excellentes (surtout la fin alternative, qui est pour bien meilleure que la fin de la version cinéma, même si ces deux fins sont excellentes). Pour moi, il faut regarder les scènes coupées, pour un peu mieux apprécier le film (qui est déjà pour moi excellent sans ses scènes coupées). Lors de l'entretien avec le réalisateurs, Alexandre Bustillo avait déclaré qu'il trouvait, lui et Julien Maury, que la première version du scénario était beaucoup trop exagérée en terme de violence, alors qu'eux-même était des grands fans de cinéma gore, mais même pour eux, c'était un peu trop "too much". Dans la première version du scénario, à la fin, Leatherface revenait dans l'institut Gorman (l'institut psychiatrique), et tronçonnait trente mecs. Alors certes, comme Bustillo a dit, c'était un peu trop "Braindead" mais je dois avouer que j'aurais bien aimer voir cette première version du scénario, je pense que j'aurais même préféré voir cette première version du scénario que la fin originale !
En bref, ce film est tout bonnement excellent. Je ne me lasserais sûrement pas de le revoir pleins de fois, les amateurs de cinéma gore, allez-y les yeux fermés !

C’est à coup sûr un rêve d’enfant bizarre qui se réalise pour Bustillo et Maury, avec cette opportunité de mettre le pied dans l’une des plus prestigieuses mythologies horrifiques américaines, plus de quatre décennies après l’indémodable et séminal ‘Massacre à la tronçonneuse’ de Tobe Hooper, sous le prétexte de s’inscrire dans la démarche du ‘Halloween’ de Rob Zombie et d’en révéler plus sur les origines du monstre. Ceux qui ont suivi leurs premier pas dans la réalisation en France l’ont déjà remarqué et le remarqueront encore ici : Bustillo et Maury se sont nourris - gavés plutôt - d’influences multiples qu’ils ne cherchent pas spécialement à rendre discrètes et apprécient le travail soigné et les cadrages gérés à la perfection, les décors bourrés de détails et les effets de lumière léchés...même si dans le cas de ‘Leatherface’, on peut trouver que ça jure quand même avec l’approche craspec et semi-documentaire qui a assis la réputation du premier film. Heureusement, quand il s’agit de faire parler la chair, de démembrer, décapiter et éviscérer, les petits gars répondent présents aussi : sans dévoiler une sauvagerie gore inédite, ‘Leatherface’ s’avère quand même bien dégueulasse...même si, là aussi, on peut y déceler une certaine trahison de l’esprit plus suggestif de l’original. Si personne ne leur dénie un authentique savoir-faire visuel, le duo est moins à l’aise avec le script et, pour une fois qu’ils passent la main à un tiers, ils n’ont réussi qu’à débaucher un scénariste aussi peu inspiré qu’eux : le script de ‘Leatherface’ est plat et passe par tous les clichés obligatoires du genre (l’institution psychiatrique, le méchant flic, celle qui aurait pu changer son destin mais n’y parviendra pas, etc..). Enfin...pour une fois, le problème réside plus dans un certaine conformisme et un rythme problématique qui alterne longueurs et ellipses qu’à l’impression de désintérêt pour le scénario qui caractérisait ‘Livide’ ou ‘Aux yeux des vivants. ‘Leatherface’ n’aura en tout cas pas été aidé par le fait d’avoir été écrit, ré-écrit et encore ré-écrit par différents scénaristes, avant d’être oublié sur une étagère par des producteurs qui ne savaient pas quoi en faire et l’ont sorti à la sauvette

J’ai beaucoup aimé ce film que ça soit l’histoire car on sait comment tout à plus ou moins commencé et les acteur jouent leur personnage à la perfection très bon film même si il ne fait pas si peur que ça( mais on n’est comme même surpris dans certaine scène ).

Depuis 1974, la saga "Massacre à la tronçonneuse" s'affirme comme une valeur incontournable et mythique du genre "horreur".
Cette saga nous a offert du bon (les 2ers opus) et du mauvais (les opus 3 et 4), jusqu'à qu'elle nous apporte un peu de fraicheur plutôt bien réussie via le remake de 2003 et le moins bon pseudo préquel de 2006.
L'opus 3D de 2013, quant à lui, tombe dans la médiocrité et multiplie les incohérences.
On aurait pu croire que la franchise allait s'achever là, jusqu'à que nous arrive ce "Leatherface", version 2017.
Force est de constater que les deux coréalisateurs ne se sont pas foulés et ont amplement pillé dans divers long-métrages tels que "Tueurs Nés", "Hannibal les origines du mal" ou encore "Halloween".
Au final un résultat plat, sans saveur, avec de nombreuses incohérences scénaristiques, scènes inutiles et absurdes, ainsi qu'un choix autant ridicule qu'incompréhensible concernant l'incarnation du personnage de Leatherface. (le personnage de Bud était incontestablement la représentation parfaite de Leatherface, point de vue carrure, attitude, etc.)
Surtout, ce film ne dégage aucune atmosphère et d'état d'esprit en lien avec la saga culte.
Bref, un film qui se révèle être un plantage total et qui ne se démarque en rien de beaucoup d'autres longs-métrages similaires (pire, il re pompe allègrement dans certains d'entre eux).
On ne peut qu'être très déçu des choix pris dans ce film à de nombreux points de vue, regrettant amèrement que le résultat soit aussi fade et décevant à ce point...

Un plutôt bon prequel assez raccord avec les personnages déjà créés. La réalisation assez musclée donne du relief . Une bonne surprise

Long-métrage horrifique tant son visionnage est d'un ennui du début à la fin !
Le scénario s'avère d'une nullité tellement sa qualité est minimale !
Les acteurs et actrices sont risibles dans leurs divers rôles tellement ils et elles sont minables !
Les effets spéciaux sont également inexistants et ne possèdent rien de valorisants !
Pour résumer et conclure,
un véritable ratage cinématographique et loin d'être charismatique !!!

Ce n'est absolument pas un prequel c'est une honte je pense que tout les gens qui sont fans de massacre a la tronçonneuse seront d'accord ce film et juste une immense succession d'incohérence a évité sauf si vous ne connaissez pas massacre a la tronçonneuse ou que vous souhaitez vous faire du mal .

Ça saigne bien, on voit bien du gore partout et assez souvent, mais l'histoire est vraiment pas top et peu crédible. Dommage.

Avec Leatherface, Julien Maury et Alexandre Bustillo rejoignent le club des Frenchies qui ont vu la magie d'Hollywood se muer en cauchemar à cause d'une bande de producteurs despotiques, au coup de ciseau facile et au souci du gain contre-productif. La critique complète sur Terreurvision.com

Voici le premier film américain du duo français Julien Maury-Alexandre Bustillo, réalisateurs des très bons films que sont Livide et Aux Yeux de tous, ainsi que de l'extra A l'intérieur. Inutile de dire donc que j'attendais avec impatience ce long-métrage qui raconte les origines du célèbre tueur de la saga Massacre à la Tronçonneuse, Leatherface. Et je peux pas dire que j'ai été déçu, car l'ensemble possède une atmosphère bien poisseuse et des séquences bien glauques et gores. Les comédiens sont en plus particulièrement à leurs aises, notamment en ce qui concerne Lily Taylor (la mère possédée dans Conjuring : Les Dossiers Warren) et Stephen Dorff, et les maquillages sont très réussis. Bref, voici une oeuvre horrifique qui ne m'aura pas déçu, malgré la présence d'une histoire pas forcément très aboutie.

Assez déçu dans l'ensemble , moi qui avait adoré le remake de 2003 ainsi que le commencement je m'attendais a bcp mieux ! ça reste malgré tout un bon divertissement pour les fans de la saga 11/20

Huitième film de la série des "Massacre à la tronçonneuse" et quatrième film réalisé par le duo Bustillo/Maury, "Leatherface" est globalement réussi. Premier point positif, et pas des moindres : le scénario. Seth M. Sherwood a vraiment bien bossé sur son script, l'histoire est originale et bien amenée, ça change un peu et on sent comme un petit vent de fraîcheur qui souffle sur la saga du tueur au masque de cuir. Deuxième point positif : les acteurs. Pourtant, certains des jeunots du casting n'étaient que peu expérimentés. Prenons, par exemple, Vanessa Grasse et Jessica Madsen. La première n'avait qu'un film à son actif avant "Leatherface", "Roboshark", un DTV canadien-bulgare de seconde zone. Quant à la deuxième, elle avait fait ses débuts en 2013 dans un épisode de la série "Breathless", elle enchaîna ensuite avec des petits rôles dans divers séries et mini-séries de 2014 à 2017 avant de décrocher le rôle de Clarice dans "Leatherface". Ces deux-là sont des exemples, car on a aussi Sam Strike, Sam Coleman ou encore James Bloor qui se sont bien débrouillés. Par contre, la prestation de Stephen Dorff ne casse pas des briques, je l'avais trouvé plus convaincant dans "Alone in the Dark". Troisième et dernier point positif : le gore. Oui, "Leatherface" est un film gore, rien d'extraordinaire pour un film de la franchise "Massacre à la tronçonneuse" me direz-vous, mais j'ai trouvé ce "Leatherface" spécial à ce niveau-là... Ceci est sûrement dû au fait que malgré mon vif intérêt pour les slashers sanguinolents et autres films cradasses du 20ème siècle, j'étais encore dans les boules de mon père, lorsqu'en 1994, "Massacre à la tronçonneuse : La Nouvelle Génération" est sorti dans les salles américaines. Par exemple, le sentiment de nostalgie que pourra ressentir un vieux de la vieille devant les rares giclées d'hémoglobine du premier "Massacre à la tronçonneuse", moi j'y verrai un film de 1974 ayant pris un sacré coup de vieux, mais que j'aurai sûrement adoré voir à l'époque. En bref, je me suis plus retrouvé dans les scènes teintées de sang et de tripes de ce "Leatherface", que dans les scènes d'un slasher quadragénaire qui est sorti en France alors que mon père n'avait que 13 ans et demi. À mon sens, "Leatherface" ne connaît aucune grosse défaillance, si ce n'est au niveau de son ambiance, on ne retrouve pas le côté terreux du film original de Tobe Hooper ou du remake de Marcus Nispel, on ne retrouve pas non plus le côté décalé et extravagant de "Massacre à la tronçonneuse 2", ni le côté flippant de "Massacre à la tronçonneuse 3", car finalement, "Leatherface" possède une ambiance assez neutre. Effectivement, il y a aussi deux-trois autres petits égarements ici et là, mais c'est franchement léger et au final, on peut dire que le duo Bustillo/Maury remplit le contrat en livrant une bonne petite préquelle du film de 1974.

"Leatherface" parvient très souvent à allier sa promesse de base avec la routine (beaucoup plus convenue) de la franchise dont il est tiré. Malheureusement, il doit faire face à des choix discutables de réalisation (deux séquences d'introductions, des plans totalement ratés visuellement parlant...), des dialogues d'une banalité abyssale, et une écriture parfois risible (le personnage de Stephen Dorff notamment).

Gore à l’instar des autres massacres à la tronçonneuse
Ça part dans tous les sens et peu de rescapés comme j’aime

D'un point de vue complètement amateur ou n'ayant quasiment vu aucun film "massacre à la tronçonneuse", je pense que le spectateur peut s'ennuyer ferme. Certaines scènes sont plutôt sympa comme l'enfant et sa tête de veau. Maintenant si l'on connaît un peu la saga, il est très difficile de faire des liens avec leatherface adulte. C'est plus l'histoire d'une cavalcade qu'une présentation de leatherface.