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Votre avis sur Mary Shelley ?
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le biopic de l'hauteur de Frankestein, Mary Shelley, qui se bat pour son oeuvre, celle qui a passer une longue periode a trouver l'inspiration. Encore, le combat d'une femme dans un monde d'homme. une oeuvre qui sera éternel et changera le monde cinématographique. Elle Fanning, joue bien, est convaincante tout comme Douglas Booth. l'époque bien reconstitué. Le realisateur s'est bien approprié l'histoire, et ce malgrés quelques longueur et scènes convenue. Un beau portrait de femme!
Je ne suis pas particulièrement fan de cette actrice, que je trouve trop neutre. Etant intéressée par le sujet du film je me suis donc laissée tenter. Surprise donc par ce film dans lequel j'ai eu plaisir à apprécier son personnage en tant que Mary Shelley. Un destin hors du commun ! De l'audace et du talent on fait naître un classique de littérature.
J'ai adoré l'ambiance du film, à la fois sombre et poétique. La musique est vraiment superbe et transmet au film cette part mystérieuse, il faut admettre que dans ce film la musique fait beaucoup.
J'ai adoré l'ambiance du film, à la fois sombre et poétique. La musique est vraiment superbe et transmet au film cette part mystérieuse, il faut admettre que dans ce film la musique fait beaucoup.
Clémentine K.
Instructif et divertissant. Néanmoins je l'ai trouvé un peu lent et assez fade. Je le conseille quand même aux adeptes du genre et de la littérature britannique.
De la place de la femme dans un monde dirigé par l’homme. Mary Shelley comme beaucoup d’autres avant et bien après elle en fera l’amère expérience. Une de plus dirons-nous. En soi ça n’a rien d’exceptionnel. Mary Shelley est un exemple parmi tant d’autres. Elle Fanning incarne sobrement et avec élégance l’autrice de Frankenstein. Sobrement ou trop sagement ? Cette biographie est filmée sans audace, elle reste classique. Ce n’est pas un gros mot « classique ». Maintenant la réalisatrice est saoudienne, c’est son premier film en langue anglaise avec un casting qui pèse son poids. Elle a opté pour une narration toute classique. Il aurait été extraordinaire, compte tenu de son origine, que Haifaa Al Mansour nous ponde un film plus irrévérencieux ou scabreux. Elle a assuré l’essentiel avec le souci de la précision historique. Sa perception de Mary Shelley est agréable à voir.
J’ai adoré ce film. Le jeu d’Emma Fleming est impeccable. Du cinéma comme on voudrait en voir plus souvent.
Une tonalité, un rythme, cette construction de mots les uns à côté des autres qui nous renverse. Cette histoire boulversante dénonce cette folie humaine, le malheur, la violence, ce semblant d'amour, et cette haine. La différence homme/femmede cette époque aussi. Ce film nous prend et nous fait traverser un miliard d'émotions. C'est déchirant.
Cinéphiles 44
« Mary Shelley » est une femme de lettre anglaise, née en 1797 et morte en 1851. Elle est surtout connue pour son roman « Frankenstein ou le Prométhée moderne ». La réalisatrice saoudienne Haifaa Al Mansour, qui a réalisé « Wadja », va tenter d’en faire un biopic avec Elle Fanning dans le rôle titre. L’histoire commence en 1814 où Mary Wollstonecraft Godwin entame une relation passionnée et scandaleuse avec le poète Percy Shelley et s’enfuit avec lui alors qu’elle n’a que seize ans. Deux ans plus tard, par une nuit d’orage, Mary a l’idée du personnage de « Frankeinstein » et va révolutionner la littérature dans une société qui ne laisse aucune place aux femmes de lettres. Il faut avouer que le sujet populaire à jamais, est passionnant. Malheureusement, la réalisatrice à fait le choix d’une mise en scène trop académique et rend son récit fastidieux. On a également du mal à comprendre l’idée de mêler le féminisme involontaire de cette femme avec ses histoires d’amour qui prouvent le contraire.
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velocio
Même si nombreux sont ceux qui croient que Frankestein est LE monstre alors que ce monstre est une créature sans véritable nom créée par le savant Victor Frankenstein, même si nombreux sont ceux qui ne connaissent pas le nom de l’auteur du roman « Frankenstein ou le Prométhée moderne » et encore moins son histoire, rares sont ceux pour qui Frankenstein n’évoque absolument rien. Ce roman, c’est une jeune femme de 20 ans qui l’a écrit, au début du 19ème siècle, à une époque où il n’était pas imaginable qu’une femme puisse écrire autre chose que de la poésie ou de la littérature romantique. Au point que c’est anonymement, que, dans un premier temps, « Frankenstein » a été publié le 1er janvier 1818.
Le film de Haifaa Al Mansour, nous permet, au prix, comme dans tout biopic, de quelques entorses avec la vérité historique, de mieux faire connaissance avec ce prodige de la littérature qu’est Mary Shelley. Il permet de comprendre comment, suite aux rapports avec son père, à la perte d’un enfant en bas âge et aux épisodes de sa vie passés auprès de Claire Clairmont, belle-fille de son père, des poètes Percy Shelley et Lord Byron, le thème de l’abandon, si important dans son roman, l’a si profondément marquée.
"Mary Shelley" permet aussi de rendre compte du combat mené par une jeune fille pour s’imposer en tant que femme dans une société corsetée et face à des hommes qui, certes, avaient des qualités mais faisaient peu de cas des femmes qu’ils séduisaient.
La réalisation menée par Haifaa Al Mansour est très classique, certains même utilisant le terme qui est pour eux l’injure suprême : académique ! Il est vrai que, dans sa forme, "Mary Shelley" ne révolutionne pas l’histoire du cinéma. Mais, heureusement, ce « classicisme » n’a rien d’ampoulé : il y a de la fièvre dans ce film, il y a de la vie, parfois même de la fureur. Il faut dire que la réalisatrice a reçu un renfort de poids : celui de Elle Fanning, l’interprète de Mary Shelley. Cette comédienne américaine combine deux qualités importantes : elle a l’âge du rôle tout en ayant une très grande expérience du métier de comédienne, commencé à l’âge de … deux ans et poursuivi depuis dans une bonne quarantaine de films.
Le film de Haifaa Al Mansour, nous permet, au prix, comme dans tout biopic, de quelques entorses avec la vérité historique, de mieux faire connaissance avec ce prodige de la littérature qu’est Mary Shelley. Il permet de comprendre comment, suite aux rapports avec son père, à la perte d’un enfant en bas âge et aux épisodes de sa vie passés auprès de Claire Clairmont, belle-fille de son père, des poètes Percy Shelley et Lord Byron, le thème de l’abandon, si important dans son roman, l’a si profondément marquée.
"Mary Shelley" permet aussi de rendre compte du combat mené par une jeune fille pour s’imposer en tant que femme dans une société corsetée et face à des hommes qui, certes, avaient des qualités mais faisaient peu de cas des femmes qu’ils séduisaient.
La réalisation menée par Haifaa Al Mansour est très classique, certains même utilisant le terme qui est pour eux l’injure suprême : académique ! Il est vrai que, dans sa forme, "Mary Shelley" ne révolutionne pas l’histoire du cinéma. Mais, heureusement, ce « classicisme » n’a rien d’ampoulé : il y a de la fièvre dans ce film, il y a de la vie, parfois même de la fureur. Il faut dire que la réalisatrice a reçu un renfort de poids : celui de Elle Fanning, l’interprète de Mary Shelley. Cette comédienne américaine combine deux qualités importantes : elle a l’âge du rôle tout en ayant une très grande expérience du métier de comédienne, commencé à l’âge de … deux ans et poursuivi depuis dans une bonne quarantaine de films.
Film passant a cote de son sujet.
Mary Shelley aurait du etre une oeuvre sur la creation d'une oeuvre insolite.
Pas du tout. c'est la vie d'une jeune Anglaise rebelle, Mary Shelley, et de ses relations avec son amant/mari Shelley et sa famille.
Mais le fait que ce soit Marie Shelley et non Jane Doe ne change rien au film qui est interessant pour ceux que le theme de la rebellion des jeunes Anglaises interesse.
Mais decevant pour ceux qui, comme moi, voulaient apprendre / comprendre comment une jeune femme de 16 ans, en 1849, va accoucher, si je puis me permettre, de Frankenstein.
Suivant...
Mary Shelley aurait du etre une oeuvre sur la creation d'une oeuvre insolite.
Pas du tout. c'est la vie d'une jeune Anglaise rebelle, Mary Shelley, et de ses relations avec son amant/mari Shelley et sa famille.
Mais le fait que ce soit Marie Shelley et non Jane Doe ne change rien au film qui est interessant pour ceux que le theme de la rebellion des jeunes Anglaises interesse.
Mais decevant pour ceux qui, comme moi, voulaient apprendre / comprendre comment une jeune femme de 16 ans, en 1849, va accoucher, si je puis me permettre, de Frankenstein.
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Judicieux choix de casting et superbes interprétations. L'histoire est intéressante mais le film comporte des longueurs. Agréable à visionner cependant.
Yves G.
Mary Goodwin (Elle Fanning) a seize ans quand elle rencontre le poète Percy Shelley (Douglas Booth) aux idées volontiers radicales. La jeune femme, qui vit mal la mort de sa mère et la présence étouffante de sa belle-mère, en tombe éperdument amoureuse et prend la fuite avec lui. Mais les désillusions s'accumulent : le poète est marié, infidèle, couvert de dettes. Mary se réfugie dans l'écriture et relève le défi que Lord Byron (Tom Sturridge) lui lance à l'occasion d'un séjour en Suisse.
Fans de Frankenstein, passez votre chemin. "Mary Shelley" n'est pas pour vous. Il n'y est pas question de littérature fantastique mais de condition féminine. C'est tout le problème de ce film en costumes qui louche plus vers Jane Austen ou Emily Brontë que vers Bram Stoker ou Edgar Poe.
De quoi s'agit-il ? D'une enfant passionnément attachée à son père qui ne réussit à vivre en adéquation avec les principes qu'il lui a transmis qu'en le quittant. D'une écrivain.e en devenir qui découvre dans les affres de la vie la matière de son inspiration artistique. D'une femme qui s'émancipe par les hommes tout en étant la victime de leur égoïsme.
Le sujet était alléchant. Mais il est traité sans talent par Haifaa Al Mansour, une realisatrice qu'on avait connue mieux inspirée dans "Wadjda", le premier film jamais tourné en Arabie saoudite. Et ce n'est pas Elle Fanning - pour laquelle j'ai déjà témoigné ici d'une adoration suspecte - qui parvient à sauver ce "biopic" académique du conformisme dans lequel il s'enfonce doucement. Paradoxe rédhibitoire pour une personnalité dont la vie et l'œuvre se construisirent en rupture avec son temps.
Fans de Frankenstein, passez votre chemin. "Mary Shelley" n'est pas pour vous. Il n'y est pas question de littérature fantastique mais de condition féminine. C'est tout le problème de ce film en costumes qui louche plus vers Jane Austen ou Emily Brontë que vers Bram Stoker ou Edgar Poe.
De quoi s'agit-il ? D'une enfant passionnément attachée à son père qui ne réussit à vivre en adéquation avec les principes qu'il lui a transmis qu'en le quittant. D'une écrivain.e en devenir qui découvre dans les affres de la vie la matière de son inspiration artistique. D'une femme qui s'émancipe par les hommes tout en étant la victime de leur égoïsme.
Le sujet était alléchant. Mais il est traité sans talent par Haifaa Al Mansour, une realisatrice qu'on avait connue mieux inspirée dans "Wadjda", le premier film jamais tourné en Arabie saoudite. Et ce n'est pas Elle Fanning - pour laquelle j'ai déjà témoigné ici d'une adoration suspecte - qui parvient à sauver ce "biopic" académique du conformisme dans lequel il s'enfonce doucement. Paradoxe rédhibitoire pour une personnalité dont la vie et l'œuvre se construisirent en rupture avec son temps.
Histoire peu connue de l’auteur de Frankenstein, ce film est le témoin d’une époque où être une femme vous destinait à une vie tracée d’office. Mary Shelley, fille d’écrivains et d’une mère aux idées libres est vouée à un autre avenir car douée d’un esprit critique et d’une certaine liberté de penser. Attirée très tôt par l’écriture, il lui faudra quelques années d’expériences diverses pour pouvoir être enfin publiée et que son nom d’auteur puisse apparaître sous le titre.
Super film. À voir absolument meme sans avoir lu Frankestein. Realiste et beau.de tres bons acteurs. Je recommande
Voilà un film au rythme lent, presque trop, il aurait gagné en rythme avec un quart d’heure de moins, et l’histoire n’en aurait pas pâti pour autant. Intéressante incursion dans la vie de Mary Wollstonecraft Godwin, à qui sa romance torturée avec le poète Shelley (qui deviendra son mari), et la relation de sa sœur Claire avec Lord Byron, ont inspiré le chef-d’œuvre Frankenstein. Parce qu’elle se voulait libre dans une société rigoriste qui ne permettait rien aux femmes, féministe engagée avant l'heure, elle a tout quitté pour vivre sa passion avec lui. Elle a vécu le scandale, la misère, la fausse opulence. et a tout perdu à cause de lui, y compris leur enfant. Et pourtant, elle ne se remariera jamais après son décès prématuré. Shelley et Byron, les deux poètes maudits, incarnent bien la décadence et l'image du dandy britannique. Ils s’étourdissent dans l’alcool, sans doute d’autres substances illicites, ont des vies dépravées et entretiennent le mythe qu’on ne peut créer du beau que dans la souffrance et la douleur la plus totale. Ils sont tout bonnement ignobles tous les deux. Mary apporte une touche de grâce dans ce monde impitoyable. Elle Fanning est lumineuse, et parfaite de droiture et de détermination. Mais le film manque de lyrisme et du souffle épique qui auraient vraiment rendu hommage à cette femme exceptionnelle, et à son œuvre.
Un biopic sur un personnage intéressant, l'écrivain Mary Shelley, qui nous permet d'entendre du très bel anglais et qui nous promène pendant deux heures entre Londres et l'Ecosse, entre meublés loqueteux et maisons de maître.. Beaucoup de passion (destructrice), des deuils, du scandale, mais finalement bien peu de littérature dans cette histoire et c'est dommage. On aimerait en savoir bien plus sur la création poétique de ces poètes romantiques aux amours scandaleuses, sur Coleridge, lord Byron, sur les expériences scientifiques qui ont inspiré à Mary son récit de Frankenstein, le Prométhée moderne, sur la réception de ce livre... Le film aurait sans doute passé un peu plus vite.et on serait ressorti en ayant appris des choses.
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