Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Rarement (sauf dans "Last Days"), on a ressenti cette évidence à être passé de l’autre côté, tout en tenant la note d’une gracieuse irréalité morbide en écho au romantisme noir du macadam.
Critikat.com
par Adrien Dénouette
(...) d’emblée, cette romance de toxico applique les lois de la défonce – en quête d’un absolu a priori délivré de toute contingence, mais enchaînés aux caprices tout aussi suprêmes de la descente.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
En tout état de cause, le film marque les esprits, parfois un peu bruyant et surligné, mais représentatif d'un nouveau mouvement à suivre de près, le "mumblecore", long métrage indépendant tourné à l'arrache avec des comédiens pour la plupart non professionnels.
L'Humanité
par Vincent Ostria
D’autant plus convaincant et fort que l’auteur du récit dont le film est tiré, Arielle Holmes, joue le rôle principal. Déchirant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par La Rédaction
On pense à "Panique à Needle Park", modèle revendiqué des réalisateurs, en mineur : les scènes du début et de la fin autour de l’amour totalement destructeur de Harley pour un de ses compagnons de rue sont d’une intensité et d’une urgence qui contrastent avec le reste du film, ingrate chronique d’une survie au jour le jour à New York.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un romantisme brutal et halluciné, qui peut rouler dans le caniveau, brûler d'une fièvre intense et, la seconde d'après, s'évanouir dans la douceur d'une caresse.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Josh & Ben Safdie mettent en scène sans concession l'histoire vraie d'Arielle Holmes, se démenant entre son addiction à l'héroïne et sa relation toxique avec son petit ami.
Libération
par Julien Gester
Outre son interprète, la force du film doit beaucoup à son inspiration plastique, à la sensibilité du cadre, à la nervosité de la focale d’un téléobjectif qui saisit l’errance de ces personnages comme dans les interstices de la foule et de la vie cossue du quartier, tenues à l’écart, presque invisibles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
L’aspect documentaire nourrit les personnages sans les étouffer dans un naturalisme sordide. Au contraire : avec ses néons roses, ses fulgurances surréalistes et sa B.O. électronique, ce "mélo(-fi)" dégage un charme étrange et puissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Le sujet peut faire peur. Mais abhorrant l'inflation doloriste comme le concentré crapoteux, les frères Safdie parviennent par leur intelligence de regard et leur compassion innée envers les marginaux qu'ils filment à ennoblir un réel tragique et ainsi à rendre le parcours de Arielle Holmes impressionnant d'intensité.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Sidy Sakho
New York - ses faubourgs, ses passants - est le décor d'une tragédie urbaine dont on ressort amer, mais ému.
Télérama
par Bruno Icher
Le style des frères trouve un souffle plus intense grâce à la rencontre avec une actrice et une muse : Arielle Holmes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Une expérience à l'authenticité brute et chancelante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Tout le talent des Safdie (…) est alors une simple affaire de point de vue sur ces kids dépravés, irrécupérables, mais pris dans une sorte d’élégie, regardés avec une incroyable bienveillance…
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
La violence des sentiments affûtés par les excès se retrouvent dans le jeu naturaliste de comédiens, pour la plupart, amateurs. Ils apportent un cachet réel à cette oeuvre underground intrigante, parfois marquante, à défaut d’apporter l’extase du bouleversement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Ce film cousin de "Panique à Needle Park" se complaît tout de même un peu trop dans le glauque.
Positif
par Vincent Thabourey
Le sentiment de déjà-vu plombe le réel, car la mise en scène se perd fréquemment dans des effets de manche souvent douteux.
Cahiers du Cinéma
Rarement (sauf dans "Last Days"), on a ressenti cette évidence à être passé de l’autre côté, tout en tenant la note d’une gracieuse irréalité morbide en écho au romantisme noir du macadam.
Critikat.com
(...) d’emblée, cette romance de toxico applique les lois de la défonce – en quête d’un absolu a priori délivré de toute contingence, mais enchaînés aux caprices tout aussi suprêmes de la descente.
L'Express
En tout état de cause, le film marque les esprits, parfois un peu bruyant et surligné, mais représentatif d'un nouveau mouvement à suivre de près, le "mumblecore", long métrage indépendant tourné à l'arrache avec des comédiens pour la plupart non professionnels.
L'Humanité
D’autant plus convaincant et fort que l’auteur du récit dont le film est tiré, Arielle Holmes, joue le rôle principal. Déchirant.
L'Obs
On pense à "Panique à Needle Park", modèle revendiqué des réalisateurs, en mineur : les scènes du début et de la fin autour de l’amour totalement destructeur de Harley pour un de ses compagnons de rue sont d’une intensité et d’une urgence qui contrastent avec le reste du film, ingrate chronique d’une survie au jour le jour à New York.
Le Monde
Un romantisme brutal et halluciné, qui peut rouler dans le caniveau, brûler d'une fièvre intense et, la seconde d'après, s'évanouir dans la douceur d'une caresse.
Les Fiches du Cinéma
Josh & Ben Safdie mettent en scène sans concession l'histoire vraie d'Arielle Holmes, se démenant entre son addiction à l'héroïne et sa relation toxique avec son petit ami.
Libération
Outre son interprète, la force du film doit beaucoup à son inspiration plastique, à la sensibilité du cadre, à la nervosité de la focale d’un téléobjectif qui saisit l’errance de ces personnages comme dans les interstices de la foule et de la vie cossue du quartier, tenues à l’écart, presque invisibles.
Première
L’aspect documentaire nourrit les personnages sans les étouffer dans un naturalisme sordide. Au contraire : avec ses néons roses, ses fulgurances surréalistes et sa B.O. électronique, ce "mélo(-fi)" dégage un charme étrange et puissant.
TF1 News
Le sujet peut faire peur. Mais abhorrant l'inflation doloriste comme le concentré crapoteux, les frères Safdie parviennent par leur intelligence de regard et leur compassion innée envers les marginaux qu'ils filment à ennoblir un réel tragique et ainsi à rendre le parcours de Arielle Holmes impressionnant d'intensité.
Transfuge
New York - ses faubourgs, ses passants - est le décor d'une tragédie urbaine dont on ressort amer, mais ému.
Télérama
Le style des frères trouve un souffle plus intense grâce à la rencontre avec une actrice et une muse : Arielle Holmes.
Culturopoing.com
Une expérience à l'authenticité brute et chancelante.
Les Inrockuptibles
Tout le talent des Safdie (…) est alors une simple affaire de point de vue sur ces kids dépravés, irrécupérables, mais pris dans une sorte d’élégie, regardés avec une incroyable bienveillance…
aVoir-aLire.com
La violence des sentiments affûtés par les excès se retrouvent dans le jeu naturaliste de comédiens, pour la plupart, amateurs. Ils apportent un cachet réel à cette oeuvre underground intrigante, parfois marquante, à défaut d’apporter l’extase du bouleversement.
Studio Ciné Live
Ce film cousin de "Panique à Needle Park" se complaît tout de même un peu trop dans le glauque.
Positif
Le sentiment de déjà-vu plombe le réel, car la mise en scène se perd fréquemment dans des effets de manche souvent douteux.