Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Positif
par Pascal Binétruy
(...) ce premier film, qui représente la Jordanie aux Oscars, exploite avec finesse et un sens du récit parfaitement maîtrisé une situation très minimaliste, mais riche en rebondissements.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Jusqu'au final ambigu, le film se sera transformé en un des plus beaux et tragiques westerns vus depuis longtemps.
Critikat.com
par Benoît Smith
C’est sur ce regard à la fois jeune et durci, en quête de maturité mais avec encore des illusions à perdre, que s’alignent intelligemment le film et sa mise en scène qui se tient au plus près du point de vue de son petit héros.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Un film admirable d'authenticité où l'une des dernières tribus nomades de Bédouins nous délivrent une belle leçon d'hospitalité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ancré dans la culture jordanienne, par ses extérieurs splendides et son thème initiatique, "Theeb" aborde les liens fraternels entre deux jeunes bédouins sous une forme westernienne, tout en référence à la veine italienne du genre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Jean Roy
(...) les interprètes sont parvenus à rendre crédibles les personnages d’une action censée se dérouler en 1916 dans la péninsule Arabique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Tous les acteurs sont des non-professionnels, et le réalisateur, Naji Abu Nowar, fait ici ses débuts : récit d’apprentissage, épopée mineure, fable morale sur les conséquences de la guerre, le film (nommé pour l’oscar) est, selon le réalisateur, le premier "western arabe". Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Tout ça filmé en scope Kodak couleur dans des étendues arides et rocailleuses et des canyons dignes des westerns américains des années cinquante. Le tout interprété par des acteurs non professionnels bougrement charismatiques. Envoûtante expérience.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans un contexte qui fait forcément penser à “Lawrence d’Arabie”, une traversée du désert qui allie force du romanesque, beauté des paysages et intensité de la quête initiatique.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le scénario, simple et habile, montre aussi la vulnérabilité de ce monde que l’on pourrait croire immuable. Le chemin de fer construit par les Turcs a poussé les guides du hadj vers le banditisme, le progrès des armes à feu a bouleversé les règles du combat.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un premier film superbe, qu’il faut suivre avec la curiosité du désir de découverte.
Ouest France
par La Rédaction
Un western jordanien puissant.
Première
par Éric Vernay
La tension dramatique est constante, efficacement distillée par une mise en scène très classique, certes, mais limpide.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
La beauté des paysages impressionne autant qu'elle confère une âpreté à ce récit initiatique aux allures de western.
Bande à part
par Olivier Bombarda
Une belle initiation à la vie dans une étonnante traversée du désert.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
On est loin de "Moonfleet" mais l’ensemble a parfois un goût, pas si désagréable, de film désuet pour enfants, réveillé par l’énergie du jeune acteur principal et la grandeur des paysages.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Presque toujours à l’écran, le jeune Jacir Eid porte le film sur ses frêles épaules. Expressif avec retenue, il incarne la fragilité de son âge et la force attachée au nom de son personnage. Attachant, il permet au spectateur d’entrer pleinement dans cette histoire quasiment sans parole à mille lieues de nos références.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Julien Gester
Ce que le film perd en lisibilité à adopter le point de vue enfantin (...) et dilue dans la tiédeur de sa mise en scène, il le contrebalance par l’attention assez sensible avec laquelle il dépeint un à un les rites tels qu’ils sont transmis au gosse, puis reconduits par lui (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Nicolas Didier
(...) un récit d'apprentissage d'une rare âpreté (...) qu'il tourne dans les paysages arides et majestueux utilisés, jadis, par David Lean dans "Lawrence d'Arabie".
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
De superbes paysages de désert au service d’un récit laconique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
(...) ce premier film, qui représente la Jordanie aux Oscars, exploite avec finesse et un sens du récit parfaitement maîtrisé une situation très minimaliste, mais riche en rebondissements.
Transfuge
Jusqu'au final ambigu, le film se sera transformé en un des plus beaux et tragiques westerns vus depuis longtemps.
Critikat.com
C’est sur ce regard à la fois jeune et durci, en quête de maturité mais avec encore des illusions à perdre, que s’alignent intelligemment le film et sa mise en scène qui se tient au plus près du point de vue de son petit héros.
Culturopoing.com
Un film admirable d'authenticité où l'une des dernières tribus nomades de Bédouins nous délivrent une belle leçon d'hospitalité.
Franceinfo Culture
Ancré dans la culture jordanienne, par ses extérieurs splendides et son thème initiatique, "Theeb" aborde les liens fraternels entre deux jeunes bédouins sous une forme westernienne, tout en référence à la veine italienne du genre.
L'Humanité
(...) les interprètes sont parvenus à rendre crédibles les personnages d’une action censée se dérouler en 1916 dans la péninsule Arabique.
L'Obs
Tous les acteurs sont des non-professionnels, et le réalisateur, Naji Abu Nowar, fait ici ses débuts : récit d’apprentissage, épopée mineure, fable morale sur les conséquences de la guerre, le film (nommé pour l’oscar) est, selon le réalisateur, le premier "western arabe". Une réussite.
La Voix du Nord
Tout ça filmé en scope Kodak couleur dans des étendues arides et rocailleuses et des canyons dignes des westerns américains des années cinquante. Le tout interprété par des acteurs non professionnels bougrement charismatiques. Envoûtante expérience.
Le Dauphiné Libéré
Dans un contexte qui fait forcément penser à “Lawrence d’Arabie”, une traversée du désert qui allie force du romanesque, beauté des paysages et intensité de la quête initiatique.
Le Monde
Le scénario, simple et habile, montre aussi la vulnérabilité de ce monde que l’on pourrait croire immuable. Le chemin de fer construit par les Turcs a poussé les guides du hadj vers le banditisme, le progrès des armes à feu a bouleversé les règles du combat.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film superbe, qu’il faut suivre avec la curiosité du désir de découverte.
Ouest France
Un western jordanien puissant.
Première
La tension dramatique est constante, efficacement distillée par une mise en scène très classique, certes, mais limpide.
Studio Ciné Live
La beauté des paysages impressionne autant qu'elle confère une âpreté à ce récit initiatique aux allures de western.
Bande à part
Une belle initiation à la vie dans une étonnante traversée du désert.
Cahiers du Cinéma
On est loin de "Moonfleet" mais l’ensemble a parfois un goût, pas si désagréable, de film désuet pour enfants, réveillé par l’énergie du jeune acteur principal et la grandeur des paysages.
La Croix
Presque toujours à l’écran, le jeune Jacir Eid porte le film sur ses frêles épaules. Expressif avec retenue, il incarne la fragilité de son âge et la force attachée au nom de son personnage. Attachant, il permet au spectateur d’entrer pleinement dans cette histoire quasiment sans parole à mille lieues de nos références.
Libération
Ce que le film perd en lisibilité à adopter le point de vue enfantin (...) et dilue dans la tiédeur de sa mise en scène, il le contrebalance par l’attention assez sensible avec laquelle il dépeint un à un les rites tels qu’ils sont transmis au gosse, puis reconduits par lui (...).
Télérama
(...) un récit d'apprentissage d'une rare âpreté (...) qu'il tourne dans les paysages arides et majestueux utilisés, jadis, par David Lean dans "Lawrence d'Arabie".
aVoir-aLire.com
De superbes paysages de désert au service d’un récit laconique.