Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un message d'espoir qu'on garde en tête en quittant cette œuvre généreuse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une fable parfois un peu lourde sur la dictature et sur la fin des dictateurs, mais qui ne manque pas de courage ni de pertinence.
Libération
par Guillaume Tion
Inspirée des printemps arabes, une fable drolatique de l’Iranien Mohsen Makhmalbaf qui en dit plus sur la survie en milieu hostile que sur l’aspiration d’un peuple à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
par Ardrien Lozachmeur
(...) le film séduit par la pertinence des ses idées politiques et par certaines situations burlesques et poétiques qui le font sortir de son cadre théorique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Pascal Mérigaud
La réflexion n'est pas d'une folle originalité, mais heureusement le plaisir du cinéma l'emporte sur la volonté pédagogique.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Les jolis moments de poésie font oublier la caricature, pleine d’humour certes, mais appuyée des abus de pouvoir du président et de sa famille bling-bling.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Lorenzo Codelli
Malgré les performances très justes de la part des interprètes géorgiens, et quelques clous pénétrants au prologue, le cinéaste iranien s'échappe, tel son protagoniste, de son parcours batailleur, en brouillant le ton satyrique emprunté à Kusturica, l'intimisme à la Farhadi, les tournants épiques style Pontecorvo.
Première
par Isabelle Danel
Dans des décors d’un autre temps, le message de bon aloi produit des images au sens très actuel. Reçu cinq sur cinq.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Le film a beau épouser la structure d'un conte, avec sa succession d'épisodes, la linéarité est sans cesse parasitée par des visions quasi surréalistes.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Le point de vue innocent d’un enfant, les dialogues au didactisme grossier, l’esthétisme de carte postale, les symboles édifiants ou encore ces regards pleins de dignité accusatrice qui transforment la moindre scène en petit tableau moralisateur. Tout cela est bien rance (…)
Critikat.com
par Josué Morel
C’est tout le problème du "Président" : sur le terrain de la fable politique comme du récit d’aventure, le film pâtit d’un penchant pour le pittoresque plutôt adapté pour restituer une imagerie dictatoriale (palais clinquants et uniformes carnavalesques) mais qui plombe l’intrigue dès que cette dernière lorgne vers le drame intimiste et la chronique sociale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Franck Nouchi
Voulant accréditer l'idée que les dictateurs ont leur part d'innocence, cette fable est assez ambiguë.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Mathilde Blottière
Cette fable pacifiste pesante déplore l'usage de la violence, qu'elle soit le fait des princes ou des peuples. Jusque-là, on est d'accord. Le hic, c'est que le cinéaste iranien s'en tient là...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Un message d'espoir qu'on garde en tête en quittant cette œuvre généreuse.
Le Dauphiné Libéré
Une fable parfois un peu lourde sur la dictature et sur la fin des dictateurs, mais qui ne manque pas de courage ni de pertinence.
Libération
Inspirée des printemps arabes, une fable drolatique de l’Iranien Mohsen Makhmalbaf qui en dit plus sur la survie en milieu hostile que sur l’aspiration d’un peuple à la liberté.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
(...) le film séduit par la pertinence des ses idées politiques et par certaines situations burlesques et poétiques qui le font sortir de son cadre théorique.
L'Obs
La réflexion n'est pas d'une folle originalité, mais heureusement le plaisir du cinéma l'emporte sur la volonté pédagogique.
Le Journal du Dimanche
Les jolis moments de poésie font oublier la caricature, pleine d’humour certes, mais appuyée des abus de pouvoir du président et de sa famille bling-bling.
Positif
Malgré les performances très justes de la part des interprètes géorgiens, et quelques clous pénétrants au prologue, le cinéaste iranien s'échappe, tel son protagoniste, de son parcours batailleur, en brouillant le ton satyrique emprunté à Kusturica, l'intimisme à la Farhadi, les tournants épiques style Pontecorvo.
Première
Dans des décors d’un autre temps, le message de bon aloi produit des images au sens très actuel. Reçu cinq sur cinq.
Transfuge
Le film a beau épouser la structure d'un conte, avec sa succession d'épisodes, la linéarité est sans cesse parasitée par des visions quasi surréalistes.
Cahiers du Cinéma
Le point de vue innocent d’un enfant, les dialogues au didactisme grossier, l’esthétisme de carte postale, les symboles édifiants ou encore ces regards pleins de dignité accusatrice qui transforment la moindre scène en petit tableau moralisateur. Tout cela est bien rance (…)
Critikat.com
C’est tout le problème du "Président" : sur le terrain de la fable politique comme du récit d’aventure, le film pâtit d’un penchant pour le pittoresque plutôt adapté pour restituer une imagerie dictatoriale (palais clinquants et uniformes carnavalesques) mais qui plombe l’intrigue dès que cette dernière lorgne vers le drame intimiste et la chronique sociale.
Le Monde
Voulant accréditer l'idée que les dictateurs ont leur part d'innocence, cette fable est assez ambiguë.
Télérama
Cette fable pacifiste pesante déplore l'usage de la violence, qu'elle soit le fait des princes ou des peuples. Jusque-là, on est d'accord. Le hic, c'est que le cinéaste iranien s'en tient là...