Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
La Croix
par Arnaud Schwratz
Les arbres pour décor et ces bruits d’armes lourdes, omniprésents, envahissants, qui ne laissent au spectateur aucun répit : si la première partie du film peut sembler appuyée, la suite se fait toujours plus émouvante, dans une mise en scène parfois proche du théâtre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Alexandra Schwartzbrod
Tout est fait pour provoquer l’imaginaire du spectateur. Le silence, les bruits de la nature, les aboiements, les cris en allemand. La musique n’intervient qu’à la fin, quand la guerre est finie. On rentre dedans ou on ne rentre pas, il faut se laisser embarquer, accepter pour une fois de ne pas être guidé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Loup Bourget
Le coeur du film montre en effet longuement comment la jeune Tsili survit dans la forêt (...) Cette partie-là, souvent filmée à la verticale, du point de vue de l'"oeil de Dieu", est admirable. (...) Plus discutable, en revanche, est le dispositif compliqué dans lequel Gitai a inséré son "coeur de récit".
Critikat.com
par Marie Gueden
"Tsili" parvient difficilement à rivaliser avec ses déchirantes et inoubliables consœurs – Mouchette et Estike.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une évocation de la shoah, qui choisit de ne pas la montrer mais qui l’évoque par une construction un peu esthétisante qui ne convainc pas.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si les concepts apparaissent dans leur pureté (et parfois dans leur beauté), la vie s'est enfuie du film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Réduit à sa plus simple expression, le montage se contente d’enchaîner des séquences séparées par des fondus au noir, amputant le film de toute continuité dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Nicolas Didier
Ce qui frappe surtout, c'est le simplisme des concepts : perdus parmi les artifices, les personnages existent à peine, condamnés à l'animalité et à l'incommunicabilité. A contrario, les dernières images, des archives montrant le bonheur d'enfants juifs d'Europe de l'Est juste avant la Shoah, sont bouleversantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Là où le livre d’Aharon Appelfeld disait sa propre expérience d’une fuite en forêt, le film d’Amos Gitaï retranscrit aussi la sienne : l’errance en festivals à la poursuite d’une idée.
Première
par Eric Vernay
Trop affectée pour susciter la moindre empathie, sa mise en scène multiplie les effets chics, comme cette danse abstraite sur fond noir ou le choix d’une narration tellement elliptique qu’elle en devient incompréhensible. Un spectacle apathique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Hugo Harnois
Seule après que sa famille a été déportée dans les camps, Tsili erre en pleine forêt. Ce film ne convainc guère, et les nombreux plans séquences ne font qu'aggraver la pesanteur du récit.
La Croix
Les arbres pour décor et ces bruits d’armes lourdes, omniprésents, envahissants, qui ne laissent au spectateur aucun répit : si la première partie du film peut sembler appuyée, la suite se fait toujours plus émouvante, dans une mise en scène parfois proche du théâtre.
Libération
Tout est fait pour provoquer l’imaginaire du spectateur. Le silence, les bruits de la nature, les aboiements, les cris en allemand. La musique n’intervient qu’à la fin, quand la guerre est finie. On rentre dedans ou on ne rentre pas, il faut se laisser embarquer, accepter pour une fois de ne pas être guidé.
Positif
Le coeur du film montre en effet longuement comment la jeune Tsili survit dans la forêt (...) Cette partie-là, souvent filmée à la verticale, du point de vue de l'"oeil de Dieu", est admirable. (...) Plus discutable, en revanche, est le dispositif compliqué dans lequel Gitai a inséré son "coeur de récit".
Critikat.com
"Tsili" parvient difficilement à rivaliser avec ses déchirantes et inoubliables consœurs – Mouchette et Estike.
Le Dauphiné Libéré
Une évocation de la shoah, qui choisit de ne pas la montrer mais qui l’évoque par une construction un peu esthétisante qui ne convainc pas.
Le Monde
Si les concepts apparaissent dans leur pureté (et parfois dans leur beauté), la vie s'est enfuie du film.
Les Inrockuptibles
Réduit à sa plus simple expression, le montage se contente d’enchaîner des séquences séparées par des fondus au noir, amputant le film de toute continuité dramatique.
Télérama
Ce qui frappe surtout, c'est le simplisme des concepts : perdus parmi les artifices, les personnages existent à peine, condamnés à l'animalité et à l'incommunicabilité. A contrario, les dernières images, des archives montrant le bonheur d'enfants juifs d'Europe de l'Est juste avant la Shoah, sont bouleversantes.
Cahiers du Cinéma
Là où le livre d’Aharon Appelfeld disait sa propre expérience d’une fuite en forêt, le film d’Amos Gitaï retranscrit aussi la sienne : l’errance en festivals à la poursuite d’une idée.
Première
Trop affectée pour susciter la moindre empathie, sa mise en scène multiplie les effets chics, comme cette danse abstraite sur fond noir ou le choix d’une narration tellement elliptique qu’elle en devient incompréhensible. Un spectacle apathique.
Studio Ciné Live
Seule après que sa famille a été déportée dans les camps, Tsili erre en pleine forêt. Ce film ne convainc guère, et les nombreux plans séquences ne font qu'aggraver la pesanteur du récit.