AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,4
117 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Zouzou ?
5
4 critiques
4
8 critiques
3
5 critiques
2
6 critiques
1
3 critiques
0
5 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Utile! C'est le mot-clé que je garde de ce film, je dirais même qu'il mérite une reconnaissance d'utilité publique. Je serais curieuse de connaître les statistiques sur la connaissance des femmes de leur propre corps... Combien connaissent la morphologie d'un clitoris.. ? que la science continue de découvrir ! J'ai fait de l'éducation à la sexualité dans les collèges et lycées et ce film apporte une quantité d'informations salvatrices de bien des tabous qui persistent autour de ce sujet. Bien des professeurs qui se collent à cette obligation d'éducation à la sexualité inscrite dans la loi se retrouvent désemparés et abordent le sujet par la simple anatomie. Ce film est un très bel outil j'espère qu'il sera utilisé !
"L'éducation à la sexualité est une composante de la construction de la personne et de l'éducation du citoyen. À l'école, au collège et au lycée, elle vise à permettre aux élèves d'adopter des attitudes de responsabilité individuelle et sociale."
"L'éducation à la sexualité est une composante de la construction de la personne et de l'éducation du citoyen. À l'école, au collège et au lycée, elle vise à permettre aux élèves d'adopter des attitudes de responsabilité individuelle et sociale."
Film assez consternant. Vu en avant première à Rouen, fin décembre. A la base, le thème est intéressant et l'idée est bonne : plusieurs générations de femmes confrontent leurs regards et expériences sur l'affectivité et la sexualité. La concrétisation n'est malheureusement pas à la hauteur du thème. Si certains passages sont effectivement drôles, le ton de type "propagande féministe", les clichés, la médiocrité du intrinsèque du propos et enfin la vulgarité de certaines scènes (qui a déjà vu une femme se caresser le sexe en plein milieu du salon en lisant un livre (sur la théorie du genre entre nous soit dit), puis, se portant ses doigts aux narines, faire une grimace de dégoût ???) font de ce film un échec.
J'ai été particulièrement courroucé par le côté "donneuse de leçon" de l'actrice principale, sorte de bimbo déjantée, qui s'affirme "experte en mecs" pour les avoir collectionné par dizaines (centaines ?) dont la vie affective et sexuelle n'a en réalité - malgré ses 35 ans - jamais dépassé le stade des effervescences adolescentes. Faudrait mûrir, mademoiselle, au lieu de multiplier les conquêtes ! Et connaître réellement les hommes ne s'apprend pas sous la couette ! J'ai été aussi mal à l'aise par les rôles masculins, tous plus ou moins dévalorisants voire ridicules : entre le gentil amant qui, bien qu'intelligent et serviable, est lamentablement grimé en pauvre type moche et asocial et moqué à longueur de film et l'ancien copain à la ramasse, psychologiquement fragile, qui s'énerve à la première contradiction venue, on a du mal à imaginer que la réalisatrice, féministe assumée, ait une image réellement positive (si au moins, elle l'avait neutre !) du genre masculin.
De façon plus anodine, soulignons le cheveu sur la soupe incarné par cette pseudo-star américaine qui, apparemment, n'avait d'autre fonction, que de donner un rôle à une amie de la réalisatrice (elle l'a reconnu à demi-mots pendant les questions avec la salle). Elle la voulait comme touche burlesque, parait-il !
Je finirai sur l'absence totale de propos sur l'amour dans ce film. Il parle de sexualité, de pénis, de clitoris, de plaisir, d'orgasme, de désir, etc. Mais jamais d'amour. Hélas ...
J'ai été particulièrement courroucé par le côté "donneuse de leçon" de l'actrice principale, sorte de bimbo déjantée, qui s'affirme "experte en mecs" pour les avoir collectionné par dizaines (centaines ?) dont la vie affective et sexuelle n'a en réalité - malgré ses 35 ans - jamais dépassé le stade des effervescences adolescentes. Faudrait mûrir, mademoiselle, au lieu de multiplier les conquêtes ! Et connaître réellement les hommes ne s'apprend pas sous la couette ! J'ai été aussi mal à l'aise par les rôles masculins, tous plus ou moins dévalorisants voire ridicules : entre le gentil amant qui, bien qu'intelligent et serviable, est lamentablement grimé en pauvre type moche et asocial et moqué à longueur de film et l'ancien copain à la ramasse, psychologiquement fragile, qui s'énerve à la première contradiction venue, on a du mal à imaginer que la réalisatrice, féministe assumée, ait une image réellement positive (si au moins, elle l'avait neutre !) du genre masculin.
De façon plus anodine, soulignons le cheveu sur la soupe incarné par cette pseudo-star américaine qui, apparemment, n'avait d'autre fonction, que de donner un rôle à une amie de la réalisatrice (elle l'a reconnu à demi-mots pendant les questions avec la salle). Elle la voulait comme touche burlesque, parait-il !
Je finirai sur l'absence totale de propos sur l'amour dans ce film. Il parle de sexualité, de pénis, de clitoris, de plaisir, d'orgasme, de désir, etc. Mais jamais d'amour. Hélas ...
Comédiens exceptionnels, moment de fraicheur - un film qui m'a été recommandé par un ami âgé de 17 ans et qui plait donc à toutes les générations et aux hommes comme aux femmes !
Fritz L
Tout ce qui faisait l’essence de la bande annonce, rendant le film attirant, se retrouve dans la première demie heure. Trois générations de femmes qui autour de la petite dernière Zouzou, se révèlent, se découvrent. La mamie très open, la fille coincée, l’autre adultère et la troisième sorte de féministe d’arrière garde. Ca discute beaucoup autour de la sexualité, c’est souvent drôle et plaisant. Mais cette seule conversation de salon ne suffit à combler un scénario en creux et les deux tiers du film restant ne deviennent qu’une espèce de farce hystérique sans intérêt et grotesque. C’est un style de cinéma… moins on a de choses à dire plus on jette des effets aux yeux des spectateurs. Pour ma part je n’y adhère pas. Même pas consommé que déjà oublié…
Un film drole et intelligent, qui change de ce qu'on voit au cinéma habituellement! C'est terriblement bien joué, à voir à tout prix!
C'est quoi ce film ? Mal éclairé, très mal joué, pas mis en scène...
et surtout pas drôle !! C'est lourd et limite misogyne.
Le personnage de la star américaine n'est pas crédible et très caricaturale.
C'est pas parce qu'on a pas de moyen qu'on peu pas faire des bons films, à éviter !!!
et surtout pas drôle !! C'est lourd et limite misogyne.
Le personnage de la star américaine n'est pas crédible et très caricaturale.
C'est pas parce qu'on a pas de moyen qu'on peu pas faire des bons films, à éviter !!!
vidalger
On pourra se contenter de regarder la bande annonce, le reste n'étant que dilution, bavardage et dialogues stupides. Le scénario nous renvoie à une vingtaine d'années en arrière. Le jeu des acteurs aurait gagné à être plus resserré et on aurait dû bannir l'improvisation tant du jeu que des dialogues.
C'est un navet !! Non mais ce n'est pas possible un film aussi mauvais !!
Des femmes qui parlent sexualité façon magazine féminin à deux balles. On nous explique ce qu'est le clitoris, une femme essaie de pisser debout.C'est mal joué, ennuyeux grotesque, aucun intérêt, passez votre chemin....
Des femmes qui parlent sexualité façon magazine féminin à deux balles. On nous explique ce qu'est le clitoris, une femme essaie de pisser debout.C'est mal joué, ennuyeux grotesque, aucun intérêt, passez votre chemin....
même si les personnages sont sympathiques, les ressorts comiques sont plutôt faibles et l'ensemble manque donc de punch. plus d'irrévérences aurait été le bienvenu, et aurait pu déclencher plus de rires (parce que rares, les rires). mais je tire mon chapeau aux comédiens, tous formidables.
Zouzou, ne serait-ce pas le féminin de "zizi" ? Il est question de sexe dans ce film, de comment s'en parler, de comment en dire quelque chose à ses enfants en "appelant un chat un chat", sans verser dans l'incestuel, ni la morale répressive. plutôt que de bêtifier, nommer avec les termes justes ne serait pas nécessairement impudique. Il est question du savoir des femmes et de sa possible transmission entre mères et filles. Qu'une jeune adolescente vienne à rencontrer un garçon et voilà comment cette découverte entraîne un séisme familial transgénérationnel. Ce film est frais, subtil, hommes et femmes y circulent avec finesse. Et comme dans le dialogue incroyable au restaurant dans "Ceci est mon corps", le leurre de la monstration pornographique est dénoncé : non le marteau-piqueur n'est pas la figure de style obligé du coït, la saveur se tient peut-être ailleurs... Légèreté et gravité se mêlent pour produire un film durant lequel on rit souvent. Freud parlait du "faire-pipi" pour désigner le pénis. Mais que se passe-t-il autour du faire-pipi féminin, qui interroge toutes ces cinéastes et déconcerte certains spectateurs ? Ici, c'est Laure Calamy (Lucie) qui s'emploie à montrer comment les filles peuvent faire pipi debout. Dans "Gaby Baby Doll", l'héroïne faisait pipi tout au long du film, d'abord de façon ostensible, puis au fil de l'histoire, la pudeur venait à naître. Notons que lorsque Lucie fait sa démonstration du pipi debout, il n'y a pas de personnage masculin présent.
un film de femmes, je dirais presque pour les femmes, mais ce serait trop restrictif.....On assiste à un vrai cours d'éducation sexuelle au début du film, peut être trop beaucoup (too much) comme cette scène où une femme pisse debout pour indiquer aux autres l'orientation du jet ( mieux vaut en rire, ce n'est pas de très bon goût......Mais le film à part cela est surtout un film de dialogues avec une scène de querelle entre deux sœurs fracassante....On ne s'ennuie pas, c'est plutôt écrit et l'on navigue dans une famille où il n'y a que des femmes et des histoires de relations.....Heureusement des éléments extérieurs interviennent dans le scénario.....Il y a eu des rires dans la salle (moi pas beaucoup, j'intériorise énormément) ce qui prouve que le ton du film est quand même celui de la bonne humeur.....Trois générations sont en scène, la grand mère, les trois filles et une petite fille qui flirte à 14 ans ......., cela fonctionne avec rythme et intimité, une intimité très souvent féminine, car c'est l'adjectif qui qualifie selon moi le mieux ce film......Intéressant comme le jeu des acteurs......
Un film qui laisse apparaître, sous des aspects légers, une vraie réflexion sur la sexualité féminine.
Solange a un nouvel amour. Et 3 filles. Chacune d’entre elles entretient des rapports différents avec les hommes : Agathe est une mère célibataire, Sophie enchaîne les conquêtes et Marie est heureuse (apparemment) dans son couple. Quant à Zouzou, la fille d’Agathe, à 14 ans, elle connaît sa première relation. L’annonce du nouveau bonheur de la grand-mère puis des premiers rapports intimes de la petite-fille vont donner à chacune de ces femmes la possibilité de s’exprimer sur un sujet que l’on évoque peu en famille : la sexualité.
Pour son premier long-métrage, Blandine LENOIR traite un sujet peu abordé au cinéma car trop risqué: la sexualité féminine. Mais là où la réalisatrice réussit son pari, c’est qu’elle le fait avec humour aidée en cela par un casting impeccable. Si certains dialogues sont osés, ils ne tombent jamais dans la vulgarité. Bien au contraire, leur angle pédagogique confère au film un aspect très sain. De plus, Blandine LENOIR ne s’interdit pas quelques incursions dans l’onirisme et nous offre des moments hilarants à l’image de cette conversation en « Brossage des dents » sous-titrée. Pour résumer, voici un long-métrage à la fois riche et léger, tel qu’on aimerait en voir plus souvent.
Après avoir signé des courts-métrages remarqués, Blandine LENOIR passe au long avec une oeuvre audacieuse et populaire puisqu’elle a remporté le Prix du Public de la Compétition Française du Festival du Cinéma Européen en Essonne. Un bel encouragement pour la suite de la carrière de cette jeune cinéaste dont on espère qu’elle gardera cette liberté de ton si précieuse.
Solange a un nouvel amour. Et 3 filles. Chacune d’entre elles entretient des rapports différents avec les hommes : Agathe est une mère célibataire, Sophie enchaîne les conquêtes et Marie est heureuse (apparemment) dans son couple. Quant à Zouzou, la fille d’Agathe, à 14 ans, elle connaît sa première relation. L’annonce du nouveau bonheur de la grand-mère puis des premiers rapports intimes de la petite-fille vont donner à chacune de ces femmes la possibilité de s’exprimer sur un sujet que l’on évoque peu en famille : la sexualité.
Pour son premier long-métrage, Blandine LENOIR traite un sujet peu abordé au cinéma car trop risqué: la sexualité féminine. Mais là où la réalisatrice réussit son pari, c’est qu’elle le fait avec humour aidée en cela par un casting impeccable. Si certains dialogues sont osés, ils ne tombent jamais dans la vulgarité. Bien au contraire, leur angle pédagogique confère au film un aspect très sain. De plus, Blandine LENOIR ne s’interdit pas quelques incursions dans l’onirisme et nous offre des moments hilarants à l’image de cette conversation en « Brossage des dents » sous-titrée. Pour résumer, voici un long-métrage à la fois riche et léger, tel qu’on aimerait en voir plus souvent.
Après avoir signé des courts-métrages remarqués, Blandine LENOIR passe au long avec une oeuvre audacieuse et populaire puisqu’elle a remporté le Prix du Public de la Compétition Française du Festival du Cinéma Européen en Essonne. Un bel encouragement pour la suite de la carrière de cette jeune cinéaste dont on espère qu’elle gardera cette liberté de ton si précieuse.
Quel navet. Des acteurs en roue libre avec des dialogues totalement improvisés et des actrices paumées qui en font des tonnes pour masquer le vide sidéral du scénario. Une seule chose à sauver de ce naufrage : l’acteur olivier broche qui comme d’habitude marque l’écran. En plus c’est un film à charge contre les hommes qui passent pour des crétins finis et faibles. Un film féministe de plus totalement raté. Le pompon est une scène où une des actrices (?) enlève sa culotte pour nous imposer de faire pipi debout. Niveau zéro du cinéma. A fuir (le seul bon point c’est qu’on était très peu dans la salle ce qui prouve que ce film de blandine lenoir est déjà un échec).
J'ai rarement autant ri ! c'est drôle, émouvant, juste. Les acteurs sont formidables (particulièrement Laure Calamy et Olivier Broche). Je ne me fierai plus aux critiques presse, souvent snobes et qui passe à côté parce que les acteurs ne sont pas forcément connus du grand public. Certes rien à voir avec "sous les jupes des filles" qu'une partie de la presse féminine a défendu. Beaucoup plus subtil.
Courez voir ce film, qui parle des femmes et qui va parler aux hommes...
Courez voir ce film, qui parle des femmes et qui va parler aux hommes...
J'ai eu la chance de voir « Zouzou » en avant-première hier soir à l'UGC des Halles. Je ne me souviens pas d'avoir autant ri devant une comédie française. L'écriture est remarquable de sensibilité, de subtilité, d'intelligence... Le film ne recourt jamais aux effets faciles. Tout y est original, surprenant, et il y a plusieurs scènes d’anthologie. Des dialogues resteront et nourriront les conversations des fans, un peu comme pour « Le Père Noël est une ordure ». Tout n'est pas parfait, mais une partie du charme extraordinaire de ce film vient aussi de son aspect bancale, de moments de flottement, de personnages lunaires, rêveurs... Et par ailleurs, certaines scènes sont inoubliables. Ah ! Il nous faut davantage de réalisatrices ! Sans elles, nous sommes condamnés à la gravité ! Ou à la robotisation. « Zouzou », c'est un hommage hyper drôle à l'humanité et aux femmes ! Ne ratez pas cette petite merveille !
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse