Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
Epaulé par des comédiens toujours au plus près de leurs personnages, Francesco Munzi filme ses "héros" dans leur jus, le plus sobrement possible et avec une attention de documentariste soucieux de livrer le portrait le plus juste de son sujet d'études.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une vision sans romanesque de l’engrenage du crime et de la vengeance, bien menée et à forte puissance dramatique.
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ce drame shakespearien sur fond de règlement de comptes fratricide offre un portrait sombre et tragique d'une population et d'une économie minées par des décennies de domination criminelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Evidemment, "Les Âmes noires" est un produit plus classique, moins sauvage. Mais tout de même, la rugosité des êtres et des situations y contraste idéalement avec le détachement de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean A.Gili
Les Âmes noires est un ballet d'hommes terrifiants [...] Une épure d'autant plus efficace que Munzi a plusieurs fois à des ellipses narratives donnant à son film une nécéssité interne loin de toute situation convenue.
Première
par Christophe Narbonne
Un voyage sans retour vers l'enfer, solidement interprété, qui confirme le talent de Francesco Munzi, révélé à la Quinzaine des réalisateurs en 2008.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Scénario et filmage relativement classiques, avec néanmoins divers partis pris narratifs qui distinguent ce drame du tout-venant des polars sur la mafia. Il y a d’une part un accent régionaliste très convaincant et d’autre part une sorte de distanciation qui se traduit par une certaine lenteur, par une insistance sur le paysage.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le film de mafia – fût-il italien – est un genre tellement exploré – et par les meilleurs ! – qu’il en devient risqué. Avec "Les Âmes noires", à travers ce personnage essayant avec courage de s’extraire de la fatalité, Francesco Munzi offre pourtant un point de vue original.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Plus près de "Gomorra" que du "Parrain", cette chronique d'une destruction annoncée, si elle soigne le récit de son engrenage tragique, est un peu entravée par sa mise en scène anonyme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Malgré son intrigue un peu sommaire, le film captive par sa densité, sa tension souterraine, sourde, constante. Qui explose littéralement au cours du bain de sang final, pour le coup original et, paradoxalement, libérateur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marc Quaglieri
Ici pas de scènes spectaculaires, ni de règlements de comptes en rafale, ni même multiplications de meurtres, Les Ames noires se contente d’aller à son train de sénateur, en une lente et inexorable montée en puissance vers un final digne d’une tragédie antique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Cela reste corseté dans un artisanat de film noir certes bien mené, sans trop de chichis maniéristes comme son cousin napolitain "Gomorra", mais aboutissant à peu de chose que la mémoire cinéphile n’ait déjà bien établi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le jeu des acteurs, l'inscription programmée de la fatalité n'évitent pas un certain folklore ni une manière un peu compassée de raconter une histoire déjà souvent contée.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Charlie Hebdo
Epaulé par des comédiens toujours au plus près de leurs personnages, Francesco Munzi filme ses "héros" dans leur jus, le plus sobrement possible et avec une attention de documentariste soucieux de livrer le portrait le plus juste de son sujet d'études.
Le Dauphiné Libéré
Une vision sans romanesque de l’engrenage du crime et de la vengeance, bien menée et à forte puissance dramatique.
Le Parisien
Ce drame shakespearien sur fond de règlement de comptes fratricide offre un portrait sombre et tragique d'une population et d'une économie minées par des décennies de domination criminelle.
Les Inrockuptibles
Evidemment, "Les Âmes noires" est un produit plus classique, moins sauvage. Mais tout de même, la rugosité des êtres et des situations y contraste idéalement avec le détachement de la mise en scène.
Positif
Les Âmes noires est un ballet d'hommes terrifiants [...] Une épure d'autant plus efficace que Munzi a plusieurs fois à des ellipses narratives donnant à son film une nécéssité interne loin de toute situation convenue.
Première
Un voyage sans retour vers l'enfer, solidement interprété, qui confirme le talent de Francesco Munzi, révélé à la Quinzaine des réalisateurs en 2008.
L'Humanité
Scénario et filmage relativement classiques, avec néanmoins divers partis pris narratifs qui distinguent ce drame du tout-venant des polars sur la mafia. Il y a d’une part un accent régionaliste très convaincant et d’autre part une sorte de distanciation qui se traduit par une certaine lenteur, par une insistance sur le paysage.
La Croix
Le film de mafia – fût-il italien – est un genre tellement exploré – et par les meilleurs ! – qu’il en devient risqué. Avec "Les Âmes noires", à travers ce personnage essayant avec courage de s’extraire de la fatalité, Francesco Munzi offre pourtant un point de vue original.
Les Fiches du Cinéma
Plus près de "Gomorra" que du "Parrain", cette chronique d'une destruction annoncée, si elle soigne le récit de son engrenage tragique, est un peu entravée par sa mise en scène anonyme.
Télérama
Malgré son intrigue un peu sommaire, le film captive par sa densité, sa tension souterraine, sourde, constante. Qui explose littéralement au cours du bain de sang final, pour le coup original et, paradoxalement, libérateur.
aVoir-aLire.com
Ici pas de scènes spectaculaires, ni de règlements de comptes en rafale, ni même multiplications de meurtres, Les Ames noires se contente d’aller à son train de sénateur, en une lente et inexorable montée en puissance vers un final digne d’une tragédie antique.
Critikat.com
Cela reste corseté dans un artisanat de film noir certes bien mené, sans trop de chichis maniéristes comme son cousin napolitain "Gomorra", mais aboutissant à peu de chose que la mémoire cinéphile n’ait déjà bien établi.
Le Monde
Le jeu des acteurs, l'inscription programmée de la fatalité n'évitent pas un certain folklore ni une manière un peu compassée de raconter une histoire déjà souvent contée.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.