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    Unfriended
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    Gody G.
    Gody G.

    21 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juillet 2016
    Loin d'être originale, cette histoire a le mérite de plaire grâce à la manière dont elle est racontée. La caméra subjective via les écrans d'ordinateur montre bien comment nos vies sont de plus en plus enfermées dans ces petits écrans. Par ailleurs j'avoue que la caméra subjective tout le long du film pourrait s'avérer fatigant même si c'est cela qui fait l'originalité même du film.Les acteurs sont également excellents ! Ils sont bluffants ! On croirait une télé-réalité.
    Ce film est un excellent outil pédagogique pour sensibiliser les jeunes aux dangers d'intérêt.
    Elthib7
    Elthib7

    74 abonnés 1 287 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2016
    Un film au concept vraiment original puisqu'il se déroule exclusivement sur le PC d'une des personnages. Une histoire d'épouvante avec un fond de vengeance très prenante et on a pas le temps de s'ennuyer tellement les évènements s'enchainent, je le recommande ! 4/5
    A noter qu'un 2e opus est prévu d'aprés ce que j'ai vu^^
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 juillet 2016
    Mon dieu quelle catastrophe ! On voit la bande-annonce et on se dit "Le film a l'air bien ! Il doit y avoir un bon suspens"
    Puis finalement on s'ennuie, c'est très plat, on assiste à des gamineries non intéressantes
    De plus, tout est tellement prévisible ! Quant à la fin, je ne me prononcerai pas tellement c'est une déception !
    C'est vraiment regrettable...
    kikito g
    kikito g

    9 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juin 2016
    Le réalisateur a voulu à travers son oeuvre, alerter les personnes sur les dangers que peut apporter internet. Pour un film à petit budget, unfriended réussit le pari d'être à la fois original dans son genre et d'être stressant du début à la fin, tout comme paranormal activity lors de sa sortie. Bien que la mise en scène et le jeu d'acteur ne soient pas transcendants, on est facilement captivé par ce qu'il se passe, et on s'impatiente de s'avoir qui est derrière ces malsains agissements. Il s'agit donc d'un film à voir au moins une fois, d'une part par son originalité, mais aussi pour se rendre compte que nos appareils connectés peuvent être un danger pour qui que ce soit, et Gabriadze fait bien de le rappeler.
    Anna_
    Anna_

    27 abonnés 743 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juin 2016
    En lisant le synopsis je pensais que le film allait tourner en rond mais c'est une très bonne surprise ! Le film est tourné de façon originale et je pense qu'il faut avoir utilisé un peu les logiciels tels que skype, facebook, pour pouvoir réellement apprécier à sa juste valeur.
    Je regarde beaucoup de film épouvante/horreur et celui là sort vraiment du lot.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 mai 2016
    Unfriended. Il s'agit d'un slasher movie assez classique en termes de facture scénaristique s'appuyant sur les poncifs du genre spoiler: (groupe de jeunes pas très futes-futes, contexte d'une date de commémoration d'un événement tragique, faute commise oubliée/ou passé trouble des protagonistes, jeu de massacre méthodique d'un tueur mystérieux)
    . Il n'est pas particulièrement mémorable sur ce point. Mais ce qui le rend intéressant voire attrayant au départ, c'est certainement son concept de mise en scène: à savoir que toute la narration, tous les éléments de l'intrigue et du montage sont construits exclusivement à partir des images et des échanges provenant d'interfaces numériques (skype, facebook, youtube, messagerie mail, et autres tchat, etc.). On peut voir ce concept comme une sorte de variation originale du format found-footage (narration par caméra subjective). Cela favorise la plongée dans un climat claustrophobique dans la mesure où le spectateur ne dispose d'aucun autre plan permettant d'avoir une vue extérieure aux actions et interactions qui se déroulent sur les écrans des personnages. Ce concept permet donc de jouer de façon intéressante sur la tension, car on ne peut rien voir d'autre que ce qui s'échange entre les différent-e-s protagonistes. Cela rajoute au mystère de l'identité et de la nature du/de la tueu-r-euse.

    L'idée est bien trouvée. Seulement, comme dans de nombreux cas de found-footage, le film se retrouve vite piégé par ce choix formel, car plus restrictif au niveau des possibilités qu'il n'y paraît: cela nuit, par moments, à la crédibilité de certaines des actions et des réactions des personnages présentés. En effet, vu que le film s'interdit de présenter l'action par d'autres moyens que par ce biais (sauf dans la dernière scène), il se retrouve fatalement limité dans ses moyens : pour que le spectateur puisse suivre correctement les événements, le film est de fait contraint de clouer ses personnages devant leurs webcams jusqu'au bout. Ce n'est vraiment pas crédible. Face à de telles situations de terreur et de menaces qui s'enchaînent, il est difficile de croire que la totalité des protagonistes puisse se contenter de rester sagement devant leurs caméras jusqu'au bout, juste pour que le spectateur puisse bien suivre ce qu'il leur arrive. Et d'ailleurs, même quand les personnages cherchent à s'enfuir, ils gardent la webcam en face d'eux, pour que le spectateur sache bien dans quel état ils se trouvent. Même en admettant qu'il s'agisse de téléphones, il est rare qu'un-e personnage paniqué-e dans l'action, soit attenti-f-ve à bien cadrer ce qui lui arrive avec son téléphone. Ce n'est pas crédible et cela dénote un parti pris : celui qui consiste à présupposer que le spectateur est trop idiot pour imaginer par lui-même ce qui se passe hors du champ de la caméra. Et pourtant, la force de nombre de films d'horreur et de fantastique, c'est au contraire, de parier sur l'imagination et la capacité du spectateur à inférer sans voir.

    Autre travers peu crédible, c'est quand Blaire (la principale protagoniste) décroche des discussions en vidéo-conférence sans prévenir et part tchater en même temps, tout en restant connectée sur Skype. Dans la plupart des cas, les autres protagonistes se taisent curieusement et attendent sagement qu'elle ait fini de tchater en privé (en posant rarement des questions sur ce qu'elle fait)...Et oui, il ne faudrait surtout pas perturber le spectateur moyen, en lui délivrant trop d'informations en même temps: lire une conversation par tchat, en même temps que les autres parlent, ce serait apparemment trop compliqué à suivre. Du coup, les autres restent bêtement figés et muets, du moins la plupart du temps. Ce choix narratif peu crédible en dit long là encore, à mon sens, sur l'image type du spectateur à qui le réalisateur semble s'adresser en premier lieu. On facilite la digestion du spectateur moyen.

    On m'objectera que c'est de la fiction après tout et que dans l'absolu, un film n'est pas tenu d'être réaliste. Soit. Seulement, au regard du choix de l'histoire et des partis-pris, il y a manifestement une volonté de chercher le réalisme. Et puis, dans ce cadre, un souci plus prononcé du réalisme et de la psychologie permet de renforcer d'autant plus le sentiment de terreur chez le spectateur. À partir du moment, où le spectateur n'y croit pas un tant soit peu, l'intensité de la terreur retombe comme un soufflet. C'est hélas ce qui se passe. spoiler: Je n'ai pas non plus trouvé crédible, le passage où ils commencent à se disputer mutuellement, au cours du jeu que leur impose le/la tueu-r-se les forçant à révéler des informations compromettantes sur les uns et les autres. Ils se crêpent virtuellement le chignon pour des histoires de trahison personnelle, comme s'ils oubliaient le vrai enjeu, la vraie menace qui pèse sur eux, à savoir que la close du jeu c'est que le perdant doit mourir.

    Mais le film n'est pas si mauvais que ça en soi : il se laisse regarder. Il y a quand même beaucoup d'idées intéressantes. Le concept est ingénieux et intéressant à exploiter. L'argument du film est également intéressant : il s'agit au fond d'une dénonciation du cyberharcèlement et de l’humiliation en ligne, pratique si courante aujourd'hui qui conduit tant d'adolescent-e-s au suicide. En somme, ça prend la forme d'une fable qui cherche à faire la leçon en faisant peur au public adolescent, et en particulier la frange de ce public, qui serait potentiellement encline à troller et à pourrir la réputation des camarades sur internet. Le choix du concept de mise en scène se prête bien à cette idée. Cela favorise une mise en abîme ironique dans la mesure où le propos du film est aussi de dénoncer le voyeurisme du harcèlement en ligne : il place le spectateur dans cette même position de voyeur spoiler: qui assiste au harcèlement en ligne d'anciens responsables harcèlement en ligne.


    Mais le film est très classique, voire maladroit et parfois simpliste dans son traitement des personnages et du scénario. Il n'y a rien de saisissant ou de mémorable. Il est linéaire, sans surprise et d'aucuns déploreront qu'il n'y ait pas de véritable twist final qui aurait pu enrichir l'intérêt de l'histoire. Ce n'est pas complètement faux en soi, mais j'estime qu'il y en a quand même quelque chose qui s'apparente à un twist, même s'il est loin d'avoir la force d'une révélation qui renverserait toute la lecture du film : spoiler: le choix de nous placer du point de vue de l'écran de Blaire en tant que principale protagoniste permet de brouiller astucieusement les pistes quant à la révélation de fin sur ce personnage... Le procédé qui consiste à nous placer du point de vue de ce personnage invite insidieusement le spectateur à accorder l'innocence au personnage principal, ou du moins, à laisser penser au spectateur que Blaire est probablement celle qui a le moins se reprocher sur la cause du harcèlement vengeur fomenté à leur encontre, alors qu'elle en est la première responsable. Cette révélation progressive n'est pas si inintéressante que ça, même si nombre de films d'horreur ont exploité maintes fois le principe de la secrète culpabilité des victimes de tueurs comme motif initial aux massacres (c'en est même un lieu commun). Mais ce procédé fonctionne bien au regard de la finalité morale de l'histoire. Mais il est dommage que le film ne ménage pas de façon plus contrastée cette révélation pour servir un revirement plus dramatique de l'histoire.
    bsalvert
    bsalvert

    418 abonnés 3 596 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mai 2016
    OK le film se regarde mais s'oublie aussitôt, on ne gardera rien, aucun sujet de dicussio, d'interrogation personnelle, pas emballé par la musique ni l'ambiance en général, en bref limite perte de temps.
    PLV : à réserver aux jeunes, ils paraissent jeunes dans le film mais vivent sans leurs parents? pas tout compris
    Hastur64
    Hastur64

    228 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2016
    Un film d’épouvante d’une heure vingt et des poussières, avec un casting d’illustres inconnus, avec à la manœuvre un réalisateur russo-géorgien, le tout filmé via les caméras d’ordinateurs, ne pouvait que laisser dubitatif devant le résultat que cela amènerait et laissait surtout augurer un vrai navet. Autant dire que quand je me suis mis devant c’était sans grandes attentes, assez persuadé que, le film finit, ma critique serait assassine. Eh bien..., parfois la vie (et le cinéma) vous réserve quelques surprises, car je dois avouer (peut-être un peu honteux) que j’ai vraiment apprécié ce petit long-métrage sans prétention. Le film joue à fond la carte de l’évolution technologique dans les relations entre personne et particulièrement dans les relations entre les ados. Il base son intrigue sur le phénomène assez terrifiant du harcèlement via les réseaux sociaux de jeunes qui, ne supportant plus cette persécution jusque dans leur intimité la plus profonde, finissent par mettre fin à leur jour. Les persécuteurs, souvent des suiveurs sans réelle antipathie pour la victime (voire ne la connaissant même pas !), se cachent derrière l’anonymat et l’effet de groupe et sont donc difficilement identifiables. Que se passerait-il s’ils étaient identifiés et que les outils qui ont permis leurs méfaits étaient retournés contre eux ? C’est le point de départ de ce film. On suit donc cette vengeance via l’écran d’une des protagonistes et pendant cette grosse heure vingt, Skype, Google, Facebook, etc, servent d’armes et de champs de bataille à ce persécuteur contre cette bande de jeunes dont les secrets les moins avouables vont se retourner contre eux. On pourrait croire que ce parti-pris esthétique est un peu laid à regarder - après tout on a comme image celle d’un écran d’ordinateur et les visages de ces sept protagonistes sont filmés quasi tout le temps en gros plan - mais, finalement, ce n’est pas plus insupportable que le found-footage et cela fait sens dans le cadre de cette intrigue. Le côté épouvante est finalement peu exploité (certains le regretteront) au profit d’une ambiance de thriller/revenge-movie qui offre un peu plus d’une heure d’un spectacle finalement assez immersif dans cette discussion virtuelle qui a des effets bien réels sur les personnages. Un film sur les réseaux sociaux et la puissance de ceux-ci dans la capacité de nuisance qu’ils ont sur la vie de ceux qui s’y adonnent sans réserve et qui offrent un long-métrage d’épouvante finalement plutôt malin et très prenant. Ce n’est certes pas un chef-d’oeuvre, mais il fait beaucoup mieux que bien des films du même genre cinématographique et mérite vraiment le coup d’oeil. À mon plus grand étonnement, je me sens obligé de le recommander !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 avril 2016
    Sur papier ce film me posait problème, comment tenir 1h20 avec un film qui ne montre qu'un écran d'ordinateur et dont l'action est en temps réel et comment arriver à y incruster des moments de frayeurs ?
    Et bien je dois dire que ce film s'en sort plus que très bien , on ne s'ennuie pas du tout malgré l'absence d'action, on est prit du début à la fin , l'originalité de la réalisation et la prise de risque est assez osée .
    Une bande d'amis se retrouvent par web cam et sur facebook tout les soirs lorsque une étudiante qui s'était suicidée à cause de moqueries et diffusion d'images dégradantes d'elle sur facebook vient s'incruster dans leur discussion et va les faire jouer à un jeu mortel pour les faire payer .
    Du found footage qui n'en est pas , un film d'horreur pas si effrayant que ça , aucune action et pourtant ce film est très bon grâce à sa tension qu'il dégage . Chapeau pour l'idée !!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 avril 2016
    J'ai trouvé ce film moyen, car bien que l'idée de base soit bonne, que les acteurs jouent plutôt bien, et que la morale de ce film est on ne peut plus réaliste, j'ai trouvé que d'un côté, l'histoire est peu crédible, même d'un point de vue ésotérique: Comment un fantôme peut-il, pirater un ordinateur ? Normalement, il n'est pas sensé juste provoquer des parasites, des troubles dans les disjoncteurs et les lampes ? J'ai du mal à croire qu'un fantôme, puisse avoir un total contrôle sur une machine aussi complexe soit-elle, mêlant informatique et bien sûr, électronique/électrique à la fois. C'est surtout pour ça que c'est peu crédible.

    Quand à la morale de ce film, ainsi que des meurtres qui s'y produisent, j'ai trouvé que c'était très juste et honnête de la part de l'esprit: On ne pousse pas quelqu'un au suicide, ou (si il y a une vrai justice et/ou des anges exterminateurs dans le monde), on devra en payer les conséquence d'une manière ou d'une autre.

    Et justement, la morale de ce film, est l'un de ses plus gros point fort. Car ça parait petit, mais pourtant, il en vaut la peine de rappeler que faire le mal, c'est mal. Et le mal doit être puni. Et que ce soit un fantôme ou un chasseur de sorcières qui daigne s'en charger, cela ne change rien à ce principe. Malheureusement dans la vie, c'est tout le contraire. C'est justement le problème de la plupart des films, ou les ordures sont en général sensés s'en sortir à bon compte, et ou les rôles entre les gentils et les méchants, sont souvent confus, du fait des clichés cinématographique genre "gentil = beau", et "moche = méchant". Là on a le droit au contraire. La vraie justice prend place dans ce film. Même si j'avouerais que les punitions infligées à ces jeunes arrogants sont plutôt gores et immorales en soit (Il y a des moyens plus rapide et moins douloureux d'éliminer d'arrogants nuisibles

    En tout cas, ce film, globalement est moyen. Bien pour certaines choses, idiotes ou dommages pour d'autres. Je pense qu'il aurait du être un peu plus long. Et que l'adversaires de ces jeunes aurait du être autre chose spoiler: qu'un fantôme. (quelque chose de plus réaliste.
    . Cela aurait pu permettre d'amorcer le doute des visionneurs, en jouant sur plus de scènes à suspense, comme les intrusions, la traque de chacun des jeunes cherchant chez eux à savoir ou se cache le fameux croque mitaine, etc... Ca aurait rallongé le film et rajouté un peu de suspense (je trouve).
    Nicolas C
    Nicolas C

    163 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2016
    Un film concept assez excellent. Bon ça fait bizarre de se déconnecter de Skype et FB pour regarder ce film sur mon ordi portable, plusieurs fois j'ai eu l'impression que j'étais encore connecté justement et pas de regarder un film. Mais du coup, l'immersion était parfaite. Bon après clairement ce film ne va pas plaire aux vieux qui ne connaissent pas Skype et FB^^
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 mars 2016
    super film pour ma part original, cela fait rappeler nos conversations skype....., et les bug et lags qu l'on rencontres.
    Le scénario est tous aussi sympas il traite un sujet qui est d'actualité car beaucoup de jeunes ce trouve dans ce genre de situations (je parle du cyber harcèlement) et en rajoutant de l'horreur avec le personnage de la victime qui revient. c'est une très bonne idée perso j'ai adorée une première dans les film d'horreur que j'ai pu voir.
    weezlesanguinaire
    weezlesanguinaire

    74 abonnés 457 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2016
    Le film d horreur 2.0 avec son lot d acteurs sexy et actrices sexy qui hurle à tout va .Le scénario vu et revu cent fois réserve son lot de rebondissements plus ou moins prévisibles . On sort du film en se disant que ça passait le temps mais que ça cassait pas des barres non plus . Pour ce qui est de la peur je n ai même pas eut un soupçon de sursaut ou de frisson .
    Gauthier F.
    Gauthier F.

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mars 2016
    Franchement je suis déçu je m'attendais à un film avec un style différent, la peur n'est pas présent et c'est assez répétitif je ne le conseille pas :/
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 février 2016
    Véritable exercice de mise en scène, la réalisation s’adapte à son sujet dès les premières minutes. Nous sommes projetés sur une vidéo internet, assistant au suicide d’une étudiante. Image choc et originelle qui n’aura de cesse de hanter le long-métrage. En effet, le film est intégralement filmé comme un écran d’ordinateur, sans recul. Le spectateur est lié aux décisions de la protagoniste principale, entre visites de sites internet et conversations Skype. De la phase d’exposition au dénouement, impossible de se « déconnecter ». Et c’est là le premier tout de force réussi du film : sa retranscription du virtuel.

    Plutôt que de tenter une approche abstraite (Existenz de Cronenberg), il s’évertue à recréer un réalisme froid et imparfait. Les fenêtres ont parfois besoin de quelques secondes pour s’ouvrir, le clic de la souris est hasardeux et des fautes d’orthographes se greffent aux recherches. Un réalisme qui participe à l’immersion du spectateur, notamment pour ceux nés après 1985 qui ont connu le maniement d’une souris et d’un clavier depuis l’enfance, ont participé à l’éclosion des modes de communications informatiques (forums, chats…) et ont expérimenté les réseaux sociaux depuis leur début. Véritable tour de force, qui loin d’être gratuit, permet au réalisateur d’en extraire tout le potentiel afin de faire naître la peur chez le spectateur. Il se joue des sons, des temps de latence, des fenêtres vides et des messages inquiétants afin de créer un vrai sentiment d’insécurité. A ce titre, l’alarme Skype n’a jamais était aussi traumatisante, light motif insidieux qui n’a de cesse de jouer sur les nerfs.

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