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Kylian 440
2 abonnés
49 critiques
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4,0
Publiée le 2 janvier 2019
Je trouve les critiques vraiment dures avec ce film .certe ce n est pas le film d horreur qui va vous marquer a jamais mais quand même, c est vraiment original .le réalisateur a su prendre de gros risques en fesant un film aussi original. Pendant tout le film vous êtes stocher a l écran et vous n attendez de savoir qu'une chose,qui va s en sortir ? Malgré quelques moment maladroit et des petites longueurs, le film sort vraiment des codes de l'horreur et instaure un nouveau genre d horreur .vous n aurez pas des sueurs froides mais vous passerez un très bon moment horrifique.
Un concept assez malin mais qui est loin de faire un bon film. C'est très fatigant à regarder, les ficelles sont un peu grosses et la fin risible. Le film a des qualités, malheureusement gâchées par ses énormes défauts.
une idée assez novatrice qui utilise la modernité des réseaux sociaux et l'attaque cybernétique. l'intrigue via les moyens de communication virtuels place le spectateur au centre du sujet et voyeur impuissant. une vraie descente en enfer dans un fonctionnement toutefois répétitif et une cacophonie générale. on peut se poser des questions jusqu'où peut aller le piratage de plus, aucune clé n'est donnée sur l'auteur(e) et l'ensemble nous laisse sur notre faim.
Sans que cela soit intentionnel (il y a fort à parier) Levan Gabriadze réalise ici un film-temps , en référence à Deuleuze et ses concepts d‘image-mouvement (cinéma classique) et d’image-temps (nouvelle forme de cinéma), novateur et bien dans l’air de notre temps. Il s’écarte formellement du slasher-ados traditionnel (« Souviens-toi l’été dernier », « Destination finale »), tout en en gardant les grands principes pour nous donner un film gadgtech, ludique, stressant et foncièrement malin.
C’est donc un le slalsher-ado, nouvelle formule mais respectueux du genre. On comprend donc mal pourquoi une certaine presse voudrait y trouver autre chose qu’une trame simpliste, quelques ados hystérico-neuneu décimés les uns après les autres, des incongruités et un survoltage ambiant. C’est le concept par excellence de ce type de films qui ont fait les beaux jours du cinéma d’horreur à la fin des années 90 et dans les années 2000 et tombés en désuétude depuis.
« Unfriended », ne vaut que par sa forme visuelle bien ancrée dans notre paysage numérique quotidien où se mêlent à l’écran tous supports pour chaque action, et évoque sur toutes ses faces la nouvelle peur bien rationnelle cette fois, celle de se faire happer (profiling, ciblage comportemental, harcèlement…). Le profil fantôme qui vient s’immiscer dans la conversation des 5 amis représente d’abord la peur (de l’inconnu), puis l’angoisse (est-ce l’un d’entre eux ?) et enfin la terreur (ils sont là pour en baver). Techniquement parlant, c’est génial ! Ce faux plan séquence (bien plus crédible que celui de « Birdman ») s’étalant sur tout le film est constamment parasité par les juxtapositions d’images et de sons familiers ou inquiétants. Toute la mécanique de l’angoisse repose sur ce stress permanent d’une mauvaise découverte au sens propre comme au figuré.
Mais ce concept révèle malheureusement ses limites, notamment en ce qui concerne l’unité de lieu trop cloisonnée (même si cela est logique). On se fatigue un peu sur la seconde partie (la découverte s’étant émoussée), elle est heureusement sauvée par un final ingénieux.
Et si l’on se reporte au minimaliste budget (1M de $) et à la durée du tournage (16 jours), on ne peut qu’être étonné, dans le bon sens du terme, et Gabiriadze de s’en sortir plutôt très bien !
Un film concept assez excellent. Bon ça fait bizarre de se déconnecter de Skype et FB pour regarder ce film sur mon ordi portable, plusieurs fois j'ai eu l'impression que j'étais encore connecté justement et pas de regarder un film. Mais du coup, l'immersion était parfaite. Bon après clairement ce film ne va pas plaire aux vieux qui ne connaissent pas Skype et FB^^
Au final le film n'est pas vraiment déplaisant bien au contraire il s'agit d'un concept nouveau qui vaut le regard. On regarde pendant plus d'une heure un écran d'ordinateur une multitude d'échange de tchat de Skype vidéo.... plutôt bien monter ce qui nous tiens en suspense une bonne partie du film. Critique contemporaine des réseaux sociaux et de cette vie on Line et des dangers poussés à l'extrême... cependant pendant plus d'une heure ce format n'est pas le plus appréciable toutes ces fenêtre, petits textes à lire.....il faut suivre et avoir une bonne vue. C'est aussi souvent un brouhaha à l'écran.... le final est un peu sorti du chapeau je trouve... on s'attend pas trop à ça. Pour autant le concept est novateur est mérité des encouragements
C'est plutôt orignal comme concept, un plan séquence de 90 minutes d'une conversation Skype. On ne voit rien de bien méchant (gore, scènes choc). Le réalisateur gère plutôt bien son film et le monde informatique, ses codes et arrive à nous faire presque psychoter car si on se retrouvai dans cette citation...on flipperai bien. Après voilà, on voit les choses arriver, la révélation final n'est pas franchement une surprise...mais autrement c'est un bon film.
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12 474 critiques
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1,5
Publiée le 12 septembre 2018
Un film d'èpouvante au concept original mais qui montre bien vite ses limites avec l'impression d'avoir contemplè un ècran d'ordinateur durant tout le mètrage! spoiler: On suit un groupe d'ados qui discutent sur Skype à l'occasion de l'anniversaire du suicide de l'une de leurs amies! Mais lors de leurs èchanges, les cinq ados se rendent compte qu'un intrus s'est incrustè dans leur discussion et commence à prendre un petit peu le contrôle de tout! Du coup, toute l'intrigue va se passer sur cette tension là! Bienvenue dans le « found footage » new generation, pratique courante aujourd'hui! Le monde hyper-connectè comme si vous y ètiez avec la question du cyber-harcèlement et la façon dont on communique sur le web! D'ailleurs, on se croit vraiment derrière son ècran et on se dit au final qu'on ètait plus tranquille avant que les rèseaux sociaux (YouTube, Facebook, Instagram, Skype...) envahissent notre quotidien! Que dire de ce film calibrè pour ados ? Aucun suspense, aucun frisson, "Unfriended" tourne finalement à la caricature avec des passages sans rèel importance! Dommage car niveau immersion et climat claustrophobique ça faisait son petit effet! Surtout la nuit, sur un ècran d'ordinateur...
Le found footage, c'est nul ? Mal exploité, oui mais quand un petit malin exploite un scénario bien construit avec les bons outils, ça peut donner quelque chose d'assez enthousiasmant. A partir d'un écran d'ordi (un truc repris ailleurs depuis dans les séries TV), le cinéaste construit un suspense habile, qui utilise l’environnement informatique d notre époque avec acuité et pertinence dans le sens où il utilise les textes effacés puis repris par le narrateur comme des révélateurs de la personnalité et de l'état d'esprit de l'héroïne, tout comme sa navigation sur l'écran, bien souvent désynchronisée du reste de l'action. Il en résulte un petit slasher malin, bien troussé, avec de brusques montées de tension. Le tout reste aussi assez anecdotique à d'autres niveaux mais en l'état, c'est un bon petit divertissement, avec des acteurs pas trop têtes à claques et plutôt bons. D'autres critiques sur
Un film qui dénonce un fait de société grave et qui à pour mérite d'osé film un écran skype durant 1h30. Pour le coup c'est réussi, néanmoins le côté horreur laisse à désiré et n'est pas très convainquant, quand au scénario, il reste très simpliste et pas vraiment accrocheur notamment à cause de bons nombre de scène longue et agaçante. Un avis mitigé pour un film pas complètement réussi.
Un film d’épouvante d’une heure vingt et des poussières, avec un casting d’illustres inconnus, avec à la manœuvre un réalisateur russo-géorgien, le tout filmé via les caméras d’ordinateurs, ne pouvait que laisser dubitatif devant le résultat que cela amènerait et laissait surtout augurer un vrai navet. Autant dire que quand je me suis mis devant c’était sans grandes attentes, assez persuadé que, le film finit, ma critique serait assassine. Eh bien..., parfois la vie (et le cinéma) vous réserve quelques surprises, car je dois avouer (peut-être un peu honteux) que j’ai vraiment apprécié ce petit long-métrage sans prétention. Le film joue à fond la carte de l’évolution technologique dans les relations entre personne et particulièrement dans les relations entre les ados. Il base son intrigue sur le phénomène assez terrifiant du harcèlement via les réseaux sociaux de jeunes qui, ne supportant plus cette persécution jusque dans leur intimité la plus profonde, finissent par mettre fin à leur jour. Les persécuteurs, souvent des suiveurs sans réelle antipathie pour la victime (voire ne la connaissant même pas !), se cachent derrière l’anonymat et l’effet de groupe et sont donc difficilement identifiables. Que se passerait-il s’ils étaient identifiés et que les outils qui ont permis leurs méfaits étaient retournés contre eux ? C’est le point de départ de ce film. On suit donc cette vengeance via l’écran d’une des protagonistes et pendant cette grosse heure vingt, Skype, Google, Facebook, etc, servent d’armes et de champs de bataille à ce persécuteur contre cette bande de jeunes dont les secrets les moins avouables vont se retourner contre eux. On pourrait croire que ce parti-pris esthétique est un peu laid à regarder - après tout on a comme image celle d’un écran d’ordinateur et les visages de ces sept protagonistes sont filmés quasi tout le temps en gros plan - mais, finalement, ce n’est pas plus insupportable que le found-footage et cela fait sens dans le cadre de cette intrigue. Le côté épouvante est finalement peu exploité (certains le regretteront) au profit d’une ambiance de thriller/revenge-movie qui offre un peu plus d’une heure d’un spectacle finalement assez immersif dans cette discussion virtuelle qui a des effets bien réels sur les personnages. Un film sur les réseaux sociaux et la puissance de ceux-ci dans la capacité de nuisance qu’ils ont sur la vie de ceux qui s’y adonnent sans réserve et qui offrent un long-métrage d’épouvante finalement plutôt malin et très prenant. Ce n’est certes pas un chef-d’oeuvre, mais il fait beaucoup mieux que bien des films du même genre cinématographique et mérite vraiment le coup d’oeil. À mon plus grand étonnement, je me sens obligé de le recommander !
THE SOCIAL NETWORK. Souviens toi... l'été dernier. La curiosité des réseaux sociaux, une cyberattaque et une prise de position osé dans la réalisation. Par contre, ne pas chercher midi à quatorze heures pour l'explications des meurtres. Film pour adolescent convaincu que Facebook est l'avenir ou pour des demoiselles qui veulent se blottir contre un homme.
Ce petit film au budget très serré se défend quand même bien. Après le point intéressant c'est l'endroit où se passe l'action, on est sur un écran d'ordinateur et on suit l'action via plusieurs sites de discussion, surtout skype. Je crois moyen à la morale et à l'interprétation, la mise en scène et le déroulement des séquences de suspens sont le plus captivant.
Si It Follows est/sera clairement le meilleur film d’horreur sorti cette année, Unfriended n’a rien de déshonorant. Ce dernier ne fait pas aussi peur que le film de David Robert Mitchell, pas du tout même, mais les deux films possèdent leur propre concept habile et novateur. Toute la force du film réside dans sa mise en scène. Ici pas de va-et-vient entre le tueur/esprit et sa victime mais une caméra fixée sur un écran d’ordinateur appartenant à l’une des héroïnes incarnée par Shelley Hennig (Teen Wolf, Ouija). On suit avec intérêt le curseur qui se balade entre Skype, Facebook… et sans qu’on y prenne gare, la tension monte, le suspens avec. Sans être un chef d’oeuvre, Unfriended a le mérite...
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Quel dommage que le film lag autant. On a compris qu'on était sur skype, pas la peine de faire croire à une connexion 512k. Des secrets jetés à la face des protagonistes qui essaient de nous effrayer à coup de cris et de pleurs assez fatiguants. L'idée était drôle mais le rendu est tout simplement ridicule, digne d'un téléfilm MTV diffusé un soir de tempête. Révélations au rabais et histoire de suicide bien triste mais peu crédible. Pas aussi mauvais que ce qu'on pouvait penser, quelques bonnes idées mais Unfriended ne dépasse jamais le film pour ado et tout ça manque d'émoticones