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Elliot Alderson
16 abonnés
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3,0
Publiée le 25 février 2016
Une idée novatrice du film d'horreur 2.0, une tension maintenue : le tout via "Skype" un concept respecté jusqu'au souci du détail. Un film d'épouvante-horreur moyen, mais qui se laisse regardait, on ne sursaute pas de son siège pour autant.
En matière d’horreur, il faut innover si on veut continuer à surprendre le public. Après le « Projet Blairwitch » et « Rec » qui proposaient des films en caméras embarquées, « Unfriended » utilise le support des réseaux sociaux. Si le « found footage » est moins exploité au cinéma depuis quelques temps, le principe de caméra subjective n’ajoute pas toujours de valeur ajoutée. Ici indispensable dans l’exploitation du sujet, elle passe à côté de son rôle essentiel : nous embarquer dans l’intrigue et nous surprendre. Le soufflé retombe bien vite et finit par être presque indigeste… dommage car le principe était intéressant mais avec un scénario peu innovant, difficile de faire un film convaincant !
Alors que le cyber-harcèlement se fait de plus en plus courant et que les sensibilisations auprès de nos jeunes sur les déviances d’Internet pénètrent au cœur de nos classes, nous nous sommes penchés sur le phénomène « Unfriended » avec une certaine curiosité. Même si le film est loin d’être un chef d’œuvre, il a le mérite de mettre à jour un phénomène de société catastrophique qui pousse certains adolescents à commettre le pire.
Si le sujet peut paraître intéressant et son support original, on se lasse très vite du film et de son manque d’action. Présenté en temps réel, il se base sur des discussions instantanées, des échanges « Skype » ou des publications Facebook… et cela pèse un peu sur l’ambiance générale du long métrage. Mis à part quelques scènes « trash », on restera un spectateur passif et peu impliqué quoique... peut-être que nos ados, accros au « que se passe-t-il sur la toile ? » percevront davantage la tension présentée dans « Unfriended ».
Le casting est composé de jeunes comédiens presqu’anonymes. Hormis Shelley Henning (que l’on a vu dernièrement dans « Ouija ») nous découvrons les autres comédiens pour la première fois : Renee Olstead, Moses Jacob Storm, Will Peltz, Jacob Wysocki et Courtney Halverson. S’ils semblent investis dans leurs rôles, la distance créée entre les doubles écrans (celui de notre téléviseur et celui de l’ordinateur filmé par le réalisateur) ne nous permet pas de juger réellement leur prestation qui, aux premiers abords, semble tout à fait correcte. Même le réalisateur est inconnu au bataillon : Levan Gabriatze, vous connaissez ?
« Unfriended » est un bon objet d’enquête sociologique… et encore ! Un peu plat et répétitif, il recèle quelques scènes dégoûtantes mais n’arrive pas à maintenir une atmosphère intrigante. Loin d’être un must en la matière, vous ne manquerez pas grand-chose si vous passez à côté du dernier « phénomène ».
Alors que l'on pouvait craindre le pire, "Unfriended" est à l'arrivée une plutôt bonne surprise, le type même de long-métrage dont le concept arrive à tout transcender sur son passage. En effet, ce n'est pas du côté du fond qui, filmé de manière conventionnel, serait aussi palpitant qu'un épisode de la série "Pretty Little Liars" (et ce n'est pas un compliment : un an après le suicide d'une amie commune, une bande de jeunes est harcelée sur le net par un mystérieux inconnu qui va mettre en lumière leurs plus intimes secrets, waouuuh, du jamais vu !) qu'"Unfriended" parvient à se démarquer mais bien dans sa manière de complètement dynamiter son récit au travers d'une réalisation basée uniquement sur un écran d'ordinateur et donc de fenêtres Skype, Youtube, Facebook, Messenger et j'en passe. Très malin et finalement pour ne pas raconter grand chose de nouveau, le film arrive à tout le temps captiver en saisissant l'émotion d'un personnage à travers l'hésitation d'un mot tapé ou l'attente d'une réponse (on a tous connu ça), en utilisant les fonctionnalités de réseaux sociaux de manière angoissante ou en créant de véritables montées en puissance de suspens dans des conversations via Skype. Bien plus convaincant qu'un "Open Windows" dans le même style (la dernière partie de celui-ci partait dans tout un tas de rebondissements absurdes en oubliant l'intelligence de son concept), "Unfriended", lui, utilise à merveille sa forme si particulière pour maintenir en haleine le spectateur. Mais, on espère juste qu'à l'avenir ce genre visuel (car c'est sans doute appelé à devenir un genre au même titre que le found-footage, qu'on aime ou pas, il va falloir s'y faire) soit mis au service d'une histoire bien plus originale que ça.
Un film court qui en plus met beaucoup trop de temps pour se mettre en place, une fin décevante qui aurait pu être traitée différemment. Point positif, la musique et les effets sonores sont bien effectués mais sinon des acteurs lisses, des discussions chiantes en langage sms stupides et des prestations peu convaincantes. Dommage le concept de base était plutôt sympa.
Qui a dit que faire un film d'horreur en utilisant skype était une mauvaise Idée ? Unfriended vous démontre le contraire, pas le film d’horreur du siècle mais une bonne série B bien gore qui a le mérite d'exploiter son concept à fond .
J'ai tout simplement adoré ce film, qui est une sorte d'obu et on ne sait pas quand il va exploser. J'ai rarement vu un film avec une ambiance aussi travaillée que dans celui-ci. Elle est angoissante et oppressante au possible, et c'est pour tout ce travail que je lui attribue la note de 5/5. Je trouve qu'il révolutionne le genre, et il le fait très bien. Tout d'abord, parlons des acteurs... Alléluia !! ENFIN des acteurs censés ! L'identité malfaisante donne des ordres (exemple : ne te déconnecte pas sinon tu meurs) et dans les films hollywoodiens incensés, un des garçons ou une des filles, la première chose qu'il fait c'est : "j'ai trop peur, je suis désolé mais je me déconnecte, au risque de me faire tuer mais je me déconnecte, ciao !), alors qu'ici ce n'est pas le cas (bon oui c'est un film hollywoodien signé Blumhouse mais il y a zéro cliché, je vous l'assure !). Ils savent qu'ils ont fais une bêtise donc ils sont attentifs à l'individu mystère, ce qui nous tient en haleine pendant tout le film. Je l'ai aussi trouvé excellent de par son scénario recherché, les morts, les pièges, les jeux, les bugs, "l'esprit Skype" et le message transmis qui est très fort. Un petit conseil avant de regarder le film : n'attendez vous pas à ce que ce ne soit plus tourné sur Skype, il y a deux ou trois éléments qui divergent pendant le long métrage mais c'est toujours filmé sur Skype, mais ça n'en devient en aucun cas ennuyant car l'ambiance est là, tellement elle est prenante qu'on ne peut pas lâcher l'écran des yeux ! Et il y a un dénouement superbe, ce qu'on attendait et se qu'on voulait depuis le début (mais qui a posté la vidéo ? Suspense...!). J'ai vu qu'un deuxième opus était en préparation, même si celui-ci se suffit à lui-même, et qu'a la fin, la boucle est bouclée... Bref, je vous le conseille vivement ! Un de mes plus gros coups de coeurs de cette année 2015 !
Ce film est une arnaque de a à z. Franchement n'allez pas voir ce film, je n'ai jamais vu un film d'horreur aussi nul au cinéma. Le film est à première vue original, le concept internet et la cyber horreur est plutôt novatrice. Voilà pourquoi je suis allé voir ce film. J'ai été on ne peut plus déçu... Je m'explique : Le film tarde à commencer, il y a des scènes vraiment longues et sans intérêt, pour combler le temps du film sûrement (en effet le film est assez court --> à peine plus d'une heure). On plonge vite dans l'action, en effet le "hacker" commence à taquiner nos personnages et leur faire peur, on est prit dans le jeu, ou du moins au début.. Ensuite bien évidemment il y a des scènes de meurtre, mais la webcam ne les films qu'à moitié. Les personnages meurent de façon étrange, les uns après les autres, mais bon, c'est pour ça qu'on est venu, mais un problème se pose, on ne s'est absolument pas pourquoi ils se tuent : un esprit, une possession.. On sait pas, on saura sûrement à la fin... Mais voilà : ATTENTION SPOIL À la fin on apprend que tout est la faute de l'héroïne, puis un fantôme la tue. Alors "pourquoi ? Comment ? Qui est-ce ? Rien n'est expliqué, il y a une vraie faille au niveau du scénario, à la fin du film la moitié de la salle à crié rembourser (sans rigoler). Alors le film n'a coûté qu'un million à produire il a déjà fait beaucoup de recettes, donc bon cou p de leur part, mais ça n'en fait pas un bon film néanmoins. Dommage le concept était pas mal.
Sur le papier, Unfriended avait tout de la série alliant nullité et stupidité affligeante. A l'arrivée, la dernière production Blumhouse est une bonne surprise, film d'horreur informatique où l'on se surprend à angoisser, stresser. Un indicateur qui témoigne en sa faveur. Avec son concept geek radical, Unfriended fonctionne et son apparence médiocrité pendant 40 bonnes minutes n'est en réalité qu'une fausse détour pour nous prendre dans les mailles de son filet de son univers, pour mieux nous accrocher une fois le train de l'épouvante lancé.
N'ayant pas vu la bande annonce , je fus surpris de la réalisation originale du film . Démarrage un peu long à mon goût , on reste néanmoins attentif tout au long de l'histoire . Film à petit budget , il n'en reste pas moins un bon petit divertissement :) Vu pendant la fête du cinéma donc places à petit prix .... j'aurais été déçu de payer plein pot pour ce film ...
J'ai rarement vu vu un navet pareil. La totalité du film se passe entre des jeunes sur skype et Facebook. Aucune action, rien. Je me demande comment certains ont pu aimer.
J'ai beaucoup apprécié ce film. Le scénario est vraiment très original, j'ai trouvé que c'est une très bonne idée cette histoire. Juste un bémol : comme cela ne se passe que sur ordinateur, à la fin cela m'a un peu donné mal à la tête. Mais à part ça, il y a vraiment beaucoup de suspens et des émotions.
OK le film se regarde mais s'oublie aussitôt, on ne gardera rien, aucun sujet de dicussio, d'interrogation personnelle, pas emballé par la musique ni l'ambiance en général, en bref limite perte de temps. PLV : à réserver aux jeunes, ils paraissent jeunes dans le film mais vivent sans leurs parents? pas tout compris
Le film se passe exclusivement, uniquement que sur skype ! Des ados parlent pendant 1h30 sur skype et à l'écran, on peut voir l'écran de l'ordinateur de Blaire, la protagoniste. 1h30 de "est ce que j'envoie ce message ?" de "qui a posté cette vidéo ?" et de "Je flippe Mitch !" L'idée est originale mais devient vite ennuyeuse car il n'y a du coup qu'une scène et peu de personnages. Le point positif est que l'histoire avance tout de même et on découvre les secrets de ces ados. C'est un film réserve aux "teens" car le langage qu'ils emploient l'ai et il peut aussi peut être interrogé sur l'amitié "?!"
Un point intéressant du film : le style de mise en scène. Le style avec toutes les visus sur les caméras est intéressant.
Mais sorti de ça j'avoue ne pas y avoir trouvé mon compte. Sans doute un film pour les jeunes amateur du web à outrance.
Pour ma part je conseil ce film à toutes les ménagère de moins de 50 ans qui lors d'une préparation d'une soupe ce rende compte qu'il leur manque une chose.... Un navet !