Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Au-delà de sa réussite plastique, le film déploie une intelligence rare sur un sujet dans l’air du temps et pourtant déjà éculé : la disparition du secret à l’heure des réseaux sociaux et de l’information instantanée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
POUR : Un film concept, mais au moins, le concept est exploité à fond.
Metro
par Mehdi Omaïs
Basé sur un dispositif beaucoup plus complexe qu’il n’y parait – le spectateur ne quitte jamais l’écran d’ordinateur de l’héroïne et son curseur tremblant –, le résultat final surprend par son efficacité et sa fluidité formelle.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Le Dauphiné Libéré
par Cécile Mury
Une curiosité juste assez habile et maligne pour qu'on « clique » jusqu'au bout, sans se déconnecter.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Monde
par Jean-François Rauger
L'épouvante mêlée habilement à un principe expérimental.
Première
par Bernard Achour
Entièrement cadré sur un écran d'ordinateur, le film orchestre une ahurissante arborescence de dialogues par Skype, empile les conversations, démultiplie les images incrustées, convoque YouTube, Facebook et autre Google, jongle avec la bande-son... A l'arrivée, un bon coup de flip 2.0.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Film "générationnel" typique qui, de ce fait, se permet d'oublier tout ce qui a déjà été fait en tablant sur la virginité de son public, "Unfriended" n'est pas totalement déplaisant (...) mais ne conviendra pas à quiconque a quitté le lycée depuis plusieurs années.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Film d’épouvante dont la seule originalité est le sujet.
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
La nouvelle étape après “Paranormal Activity” : un film d'horreur sur ordinateur. Le résultat est intéressant par sa roublardise parfois inventive, mais demeure épuisant de platitude.
Libération
par Clément Ghys
"Unfriended" est un objet qui aspire l’imagerie contemporaine numérisée, la prend comme un simple décor. Mais ce simple cadre est d’une telle richesse qu’il ne peut s’empêcher de déborder, d’innerver les ficelles trop faciles du film, sa structure convenue ou son dénouement final trop attendu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
On passe son temps à hurler mentalement aux personnages de lever le nez de leur écran ou d’aller cliquer ailleurs, pour qu’enfin quelque chose se passe.
L'Obs
par François Forestier
Aussi passionant que de regarder l'herbe pousser (et encore !).
Mad Movies
par Didier Allouch
CONTRE: Gardez vos sous et retournez voir Mad Max.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un film d'horreur anodin.
Positif
par Philippe Rouyer
Les créateurs du film aimeraient que nous applaudissions le tour de force, mais, lassé par la répétition des procédés visuels comme par des rebondissements prévisibles et la psychologie convenue des personnages, j'ai vite été démangé par l'envie d'aller surfer sur d'autres écrans.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Tout pour la forme donc... mais rien pour le fond.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un pur avatar horrifique de son époque, faussement malin, toujours opportuniste.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
Au-delà de sa réussite plastique, le film déploie une intelligence rare sur un sujet dans l’air du temps et pourtant déjà éculé : la disparition du secret à l’heure des réseaux sociaux et de l’information instantanée.
Mad Movies
POUR : Un film concept, mais au moins, le concept est exploité à fond.
Metro
Basé sur un dispositif beaucoup plus complexe qu’il n’y parait – le spectateur ne quitte jamais l’écran d’ordinateur de l’héroïne et son curseur tremblant –, le résultat final surprend par son efficacité et sa fluidité formelle.
Le Dauphiné Libéré
Une curiosité juste assez habile et maligne pour qu'on « clique » jusqu'au bout, sans se déconnecter.
Le Monde
L'épouvante mêlée habilement à un principe expérimental.
Première
Entièrement cadré sur un écran d'ordinateur, le film orchestre une ahurissante arborescence de dialogues par Skype, empile les conversations, démultiplie les images incrustées, convoque YouTube, Facebook et autre Google, jongle avec la bande-son... A l'arrivée, un bon coup de flip 2.0.
L'Ecran Fantastique
Film "générationnel" typique qui, de ce fait, se permet d'oublier tout ce qui a déjà été fait en tablant sur la virginité de son public, "Unfriended" n'est pas totalement déplaisant (...) mais ne conviendra pas à quiconque a quitté le lycée depuis plusieurs années.
Le Dauphiné Libéré
Film d’épouvante dont la seule originalité est le sujet.
Les Fiches du Cinéma
La nouvelle étape après “Paranormal Activity” : un film d'horreur sur ordinateur. Le résultat est intéressant par sa roublardise parfois inventive, mais demeure épuisant de platitude.
Libération
"Unfriended" est un objet qui aspire l’imagerie contemporaine numérisée, la prend comme un simple décor. Mais ce simple cadre est d’une telle richesse qu’il ne peut s’empêcher de déborder, d’innerver les ficelles trop faciles du film, sa structure convenue ou son dénouement final trop attendu.
Cahiers du Cinéma
On passe son temps à hurler mentalement aux personnages de lever le nez de leur écran ou d’aller cliquer ailleurs, pour qu’enfin quelque chose se passe.
L'Obs
Aussi passionant que de regarder l'herbe pousser (et encore !).
Mad Movies
CONTRE: Gardez vos sous et retournez voir Mad Max.
Ouest France
Un film d'horreur anodin.
Positif
Les créateurs du film aimeraient que nous applaudissions le tour de force, mais, lassé par la répétition des procédés visuels comme par des rebondissements prévisibles et la psychologie convenue des personnages, j'ai vite été démangé par l'envie d'aller surfer sur d'autres écrans.
Studio Ciné Live
Tout pour la forme donc... mais rien pour le fond.
aVoir-aLire.com
Un pur avatar horrifique de son époque, faussement malin, toujours opportuniste.