Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Libération
par Alexandra Schwartzbrod
"La Belle Promise" («Villa Touma», en arabe) est un huis clos lourd, oppressant et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Bernard Achour
Une ambiance de conte cruel baigne ce quasi-huis clos dont I'élégance formelle n'a d'égale que son intensité. Champion dans I'art du contrepied, "La Belle Promise" arrache a son gynécée et à ses formidables actrices des accents où I' épouvante le dispute à I'indignation et à une douloureuse ironie avant que I'épilogue ne dégoupille une grenade émotionnelle dont I'explosion cisaille net.
Gala
par Camille Choteau
On apprécie tout particulièrement l’ironie avec laquelle elle filme ces femmes (...). Au delà de l’éclairage sur une guerre qui nous échappe, "La belle promise" compte également pour son scénario et ses rebondissements. Emotion, tendresse, amour et tragédie… Pas de doute, on est au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Le poids de la tradition face aux forces vives de la jeunesse : un film au ton tchékhovien, où la tragédie n’est jamais loin.
Les Fiches du Cinéma
par Angèle Essahli
La scénariste des “Citronniers” livre un premier film maîtrisé qui révèle le sort de l'aristocratie palestinienne après la guerre de 1967.
L'Obs
par François Forestier
Le film, un peu mince, restitue cependant une ambiance lourde et des rapports venimeux, avec style.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un film éprouvant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le scénariste des "Citronniers" signe, avec ce huit clos à l'atmosphère aussi délétère qu'étouffante, son premier film. Les névroses des trois soeurs de ce drôle de gynécée se dévoilent progressivement et installent un malaise qui finit par fasciner.
Le Monde
par Noémie Luciani
Si le quatuor d'actrices est remarquable, "La Belle Promise" met tant de soin à peindre l'étouffement de ces femmes prisonnières du passé que le film s'étouffe rapidement lui-même.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Dans le contexte du cinéma palestinien, cet intimisme et cet universalisme ne manquent pas d’originalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Bernard Génin
La noirceur de la soeur aînée, son obsession à marier sa nièce, donne quelques scènes un peu stéréotypées, mais le film s'anime avec la lutte de Badia, symbole de vie dans cette famille déchue mais fière.
Critikat.com
par Benoît Smith
"La Belle Promise" s'en tient à l'illustration prolongée d'une morale de conte, trop simple, trop courte et qu'on a vue venir trop tôt.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Pierre Murat
Avec beaucoup d'application, Suha Arraf (scénariste des Citronniers, d'Eran Riklis) tente de créer un climat ambigu et asphyxiant à la Polanski. Sa mise en scène, hélas, reste illustrative et étriquée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
La réalisation, hélas, se complaît dans une austérité qui invite rapidement à l'ennui.
Libération
"La Belle Promise" («Villa Touma», en arabe) est un huis clos lourd, oppressant et fascinant.
Première
Une ambiance de conte cruel baigne ce quasi-huis clos dont I'élégance formelle n'a d'égale que son intensité. Champion dans I'art du contrepied, "La Belle Promise" arrache a son gynécée et à ses formidables actrices des accents où I' épouvante le dispute à I'indignation et à une douloureuse ironie avant que I'épilogue ne dégoupille une grenade émotionnelle dont I'explosion cisaille net.
Gala
On apprécie tout particulièrement l’ironie avec laquelle elle filme ces femmes (...). Au delà de l’éclairage sur une guerre qui nous échappe, "La belle promise" compte également pour son scénario et ses rebondissements. Emotion, tendresse, amour et tragédie… Pas de doute, on est au cinéma.
Le Dauphiné Libéré
Le poids de la tradition face aux forces vives de la jeunesse : un film au ton tchékhovien, où la tragédie n’est jamais loin.
Les Fiches du Cinéma
La scénariste des “Citronniers” livre un premier film maîtrisé qui révèle le sort de l'aristocratie palestinienne après la guerre de 1967.
L'Obs
Le film, un peu mince, restitue cependant une ambiance lourde et des rapports venimeux, avec style.
La Croix
Un film éprouvant.
Le Journal du Dimanche
Le scénariste des "Citronniers" signe, avec ce huit clos à l'atmosphère aussi délétère qu'étouffante, son premier film. Les névroses des trois soeurs de ce drôle de gynécée se dévoilent progressivement et installent un malaise qui finit par fasciner.
Le Monde
Si le quatuor d'actrices est remarquable, "La Belle Promise" met tant de soin à peindre l'étouffement de ces femmes prisonnières du passé que le film s'étouffe rapidement lui-même.
Les Inrockuptibles
Dans le contexte du cinéma palestinien, cet intimisme et cet universalisme ne manquent pas d’originalité.
Positif
La noirceur de la soeur aînée, son obsession à marier sa nièce, donne quelques scènes un peu stéréotypées, mais le film s'anime avec la lutte de Badia, symbole de vie dans cette famille déchue mais fière.
Critikat.com
"La Belle Promise" s'en tient à l'illustration prolongée d'une morale de conte, trop simple, trop courte et qu'on a vue venir trop tôt.
Télérama
Avec beaucoup d'application, Suha Arraf (scénariste des Citronniers, d'Eran Riklis) tente de créer un climat ambigu et asphyxiant à la Polanski. Sa mise en scène, hélas, reste illustrative et étriquée.
Studio Ciné Live
La réalisation, hélas, se complaît dans une austérité qui invite rapidement à l'ennui.