Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un drame poignant.
L'Express
par Antoine Le Fur
(...) passionnant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une belle histoire, authentique.
Le Point
par Mathilde Cesbron
Vérité, mensonges et tragédie au cœur d'un biopic maritime haletant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Voici
par La Rédaction
En dépit de quèlques redondances, cette histoire vraie, troublante chronique d'un homme face à sa mortalité, vibre de l'interprétation habitée de Colin Firth et d'un joli travail de mise en scène.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le périple en mer d’un aventurier timoré et mal préparé : tour à tour intrigant et horripilant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Au final, le film prend le cap de la chronique humaine d’un jusqu’au-boutiste une nouvelle fois parfaitement incarné par Colin Firth.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Le film est honnête mais il en fait presque un héros romantique et passe à côté des richesses offertes par cette double aventure, physique et psychologique.
Première
par Thierry Chèze
En explorant les contradictions de Crowhurst sans jouer les procureurs ou les avocats, Marsh signe une réflexion pertinente sur des thèmes qui n'ont pas pris une ride en cinquante ans.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Drame poignant porté par un Colin Firth d’une grande sensibilité et par une Rachel Weisz fragile mais déterminée, Le Jour de mon retour est avant tout un pamphlet contre la dictature du profit et de l’argent, souvent en contradiction avec la sécurité la plus élémentaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
James Marsh en donne un récit minutieux, propre et glamour qui réhabilite son « héros », victime de son orgueil mais surtout d’une aventure et d’enjeux qui le dépassent.
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’histoire de Donald Crowhurst (...) est assez fascinante pour que l’on prenne plaisir à la découvrir, interprétée par Colin Firth. Mais la mise en scène illustrative de James Marsh passe à côté de la part de folie de cette odyssée grandiose et minable.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Pas très bien réalisé par James Marsh, manquant de réalisme, le film vaut surtout pour l’interprétation de Colin Firth, très crédible dans le rôle de Crowhurst.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clara Tabard
Le film souffre d’un académisme certain et d’une morale usée, et Colin Firth peine à convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Il faut attendre les dix dernières minutes pour découvrir que le véritable enjeu de cette odyssée est ailleurs. Mais c'est trop tard pour sauver cette équipée, où la mise en scène d'antiquaire et l'interprétation de Colin Firth, concentrée dans sa barbe en broussaille et ses faux cernes, sont amorphes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Gros pudding indigeste où Colin Firth essaie de garder le cap.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Nicolas Didier
James Marsh relate bien trop sagement l’odyssée absurde de Donald Crowhurst, navigateur amateur qui embarqua, en 1968, pour un tour du monde en solitaire et sans escale. Et n’en fait qu’un bien fade mélo.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Un drame poignant.
L'Express
(...) passionnant.
Le Dauphiné Libéré
Une belle histoire, authentique.
Le Point
Vérité, mensonges et tragédie au cœur d'un biopic maritime haletant.
Voici
En dépit de quèlques redondances, cette histoire vraie, troublante chronique d'un homme face à sa mortalité, vibre de l'interprétation habitée de Colin Firth et d'un joli travail de mise en scène.
CinemaTeaser
Le périple en mer d’un aventurier timoré et mal préparé : tour à tour intrigant et horripilant.
Paris Match
Au final, le film prend le cap de la chronique humaine d’un jusqu’au-boutiste une nouvelle fois parfaitement incarné par Colin Firth.
Positif
Le film est honnête mais il en fait presque un héros romantique et passe à côté des richesses offertes par cette double aventure, physique et psychologique.
Première
En explorant les contradictions de Crowhurst sans jouer les procureurs ou les avocats, Marsh signe une réflexion pertinente sur des thèmes qui n'ont pas pris une ride en cinquante ans.
aVoir-aLire.com
Drame poignant porté par un Colin Firth d’une grande sensibilité et par une Rachel Weisz fragile mais déterminée, Le Jour de mon retour est avant tout un pamphlet contre la dictature du profit et de l’argent, souvent en contradiction avec la sécurité la plus élémentaire.
Le Journal du Dimanche
James Marsh en donne un récit minutieux, propre et glamour qui réhabilite son « héros », victime de son orgueil mais surtout d’une aventure et d’enjeux qui le dépassent.
Le Monde
L’histoire de Donald Crowhurst (...) est assez fascinante pour que l’on prenne plaisir à la découvrir, interprétée par Colin Firth. Mais la mise en scène illustrative de James Marsh passe à côté de la part de folie de cette odyssée grandiose et minable.
Le Parisien
Pas très bien réalisé par James Marsh, manquant de réalisme, le film vaut surtout pour l’interprétation de Colin Firth, très crédible dans le rôle de Crowhurst.
Les Fiches du Cinéma
Le film souffre d’un académisme certain et d’une morale usée, et Colin Firth peine à convaincre.
L'Obs
Il faut attendre les dix dernières minutes pour découvrir que le véritable enjeu de cette odyssée est ailleurs. Mais c'est trop tard pour sauver cette équipée, où la mise en scène d'antiquaire et l'interprétation de Colin Firth, concentrée dans sa barbe en broussaille et ses faux cernes, sont amorphes.
Le Figaro
Gros pudding indigeste où Colin Firth essaie de garder le cap.
Télérama
James Marsh relate bien trop sagement l’odyssée absurde de Donald Crowhurst, navigateur amateur qui embarqua, en 1968, pour un tour du monde en solitaire et sans escale. Et n’en fait qu’un bien fade mélo.