Ben moi j'ai bien aimé mais pas adoré. Déjà, j'aime l'Egypte et ses décors donc déjà un bon point pour le film. Je dois avouer que le début ne m'a pas trop emballé, j'ai même failli m'endormir mais bon je ne critique pas, comme chaque film il doit s'installer. Mais quand on est dans la pyramide, c'est là que le cauchemar commence et pas uniquement pour les protagonistes. J'ai sursauté à plusieurs moment, été effrayé et en même temps impressionné par la "bête". Je trouve injuste les critiques tellement négatives de beaucoup de personnes et je le déplore, ils ne doivent pas beaucoup avoir vu de films pour oser poser un commentaire de la sorte.
Après Pyramide, je ne peux que conseiller à Gregory Levasseur d’éviter des scénarios aussi plats. Car le film dispose de quelques qualités, notamment sa créature. Toutefois, elles sont malheureusement plombées par des répliques mollassonnes et des personnages caricaturaux. Ça reste tout de même mieux que cette daube d’Ouija.
Un film qui commence plutôt bien avec une bonne entrée en matière plutôt directe et convaincante. C'est dabord bien filmé pour du found footage avec une capture et des images logiques... Malheureusement ça "part en sucette" et ça devient un téléfilm moyen avec des effets spéciaux dignes de 1970 !! Vraiment dommage !
Ce film a été clairement vendu sous l'étiquette "AJA", surtout dans les médias. Bon. Alexandre Aja aurait peut-être mieux fait d'éloigner un peu plus son nom de ce film, pour sa réputation. Il y avait bien de la matière à un bon film d'horreur en huis-clos claustrophobe Les choix de caméra sont bizarres et donnent l'impression qu'aucun choix n'a été tranché : on insiste très longtemps avec des vues de caméra subjectives (le robot explorateur, camescopes, caméras frontales, caméras reporter) et puis par moments, on ne sait pas pourquoi, tiens ! un plan complètement extérieur. Comme si le réalisateur avait peur qu'on ne comprenne pas ce qu'il se passe avec les caméras subjectives.
Incohérences : spoiler: parmi celles-ci, le cas classique des gars qui se font déchiqueter en moins de 2 secondes, et pour la patite héroïne blonde, ben non. Il faut une plombe au monstre (au moins une demi minute voire une minute entière) avec l'héroïne, lui laissant le temps de se libérer sous son nez.
Et les chats qui s'en prennent à leur propre dieu ? Pourquoi ? Qu'est-ce ? D'où ?
Le monstre de l'affiche... spoiler: n'existe pas dans le film.
Le vrai monstre : spoiler: Anubis est censé peser les âmes avec Mâât, déesse de la rectitude et du droit. Pourtant Anubis fait tout tout seul.
Il n'y a rien de novateur dans ce énième film qui se déroule dans un environnement confiné et hostile. Au contraire, the descent qui offrait un spectacle bien plus captivant mélangeant suspense et horreur. Ici tout est banal et fade, servi par un scénario anorexique et ennuyeux. J'espère que le prochain projet et notamment Cobra space opera sera bien plus inspiré!
Réalisé par le français Grégory Levasseur, dont c'est la première expérience en solo dans cette fonction, et produit par son pote Alexandre Aja (d'habitude c'est le contraire...et d'habitude je suis plutôt réceptif...), « Pyramide » s'inscrit tranquillement dans une longue lignée de films found footage sans saveur, qui ressassent les mêmes codes vus et revus, ne s'embarrassant même pas d'une solide intrigue digne de ce nom, préférant mettre le paquet sur les effets jump scare faciles. Avec des références mythologiques dignes d'un cours d'Histoire/géo de 6ème et un final expédié car visiblement peu inspiré, ce mélange trop linéaire ne prend pas et ne fait jamais peur. Quelques passages axés sur les angoisses claustrophobiques, visiblement empruntés à « The Descent » de Neil Marshall, arrivent à susciter un peu d'intérêt mais cela ne suffit guère à faire clairement sortir ce « Pyramide » de la mêlée d'un paquet de réalisations du même style, dont les références resteront pour l'instant l'espagnol « REC » et l'américain « Blair Witch » (quoique que ce dernier mériterait un visionnage plus frais car ça fait un sacré bout de temps). Un film décevant car pas franchement novateur, à titre personnel j'en attendais un peu plus de la part de ce duo.
Encore un enieme remake de REC, the cave etc. Film très decevant, il faut attendre les 15 dernieres minutes pour voir quelque chose qui le classe plus dans la categorie film fantastique que film d'horreur. A eviter.
En partant d'une idée avec un fort potentiel, on se rend vite compte que celle n'a pas été correctement exploité. Le début est prometteur avec cette pyramide pour le moins atypique. Mais dès que l'action se lance, tout perd petit à petit en crédibilité et en sens jusqu'à la fin qui tient plus de la mauvaise série B que d'une véritable film d'épouvante. Les 10 dernières minutes nous font bien ressentir l'incapacité totale du réalisateur a trouver une fin descente.
(...) Le style found footage, éculé depuis un moment, n’aide pas le film dans sa recherche de sa tension. L’art du teasing et du hors-champ fonctionne au rabais. On est condamné à voir quasiment rien durant une bonne heure et il faut attendre les dernières scènes pour vraiment être confronté à la créature qui traque le petit groupe. Levasseur n’assume pas totalement son parti-pris de mise en scène et se permet d’introduire de temps à temps des plans venant d’une caméra extérieur à l’histoire. Le manque de cohérence saute aux yeux et joue en défaveur du métrage puisque les plans les plus sympathiques interviennent lorsqu’on sort d’une des caméra d’un des personnages. On aurait aimé voir ce qu’aurait donné cette histoire si tout avait été mis en image de façon plus classique. De ce choix de mise en scène découle pleins d’autres défauts. Comme la lumière. On est plongé dans un noir fade, duquel ne se dégage aucune ambiance pesante. Le sentiment de claustrophobie n’émerge jamais. On a carrément envie de dire que le film sonne cheap dans sa teneur visuelle. Et ce sentiment est amplifié en découvrant la créature. Les effets spéciaux ne sont pas convaincants, voir laids. Avec une mythologie aussi intéressante, on s’attendait à voir des ennemis un peu plus badass ! Il n’y a aucune générosité qui se dégage de Pyramide et dans un genre aussi disputé que celui du found footage, il n’arrive à aucun moment à tirer son épingle du jeu (...
critique par MAXIME - l'intégralité, sur le Blog du Cinéma
Le premier film de Levasseur se montre comme une production hyper fainéante, beaucoup trop rarement efficace. Le sentiment de déjà-vu se fait sentir et le film n’évite à aucun moment les ficelles classiques du found-footage bien commercial. Une bien belle déception ...
Malgré une bonne idée de départ, le film se perd un peu vers la fin. Si le film est intéressant, il ne fait pas peur et reste plutôt light niveau hémoglobine. Au final sans être une purge, il est décevant et reste loin d'un The Descent dans le même genre.
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1,5
Publiée le 9 septembre 2018
Avec "Pyramide", Grègory Levasseur a choisi de bâtir son film sur le thème de la claustrophobie! C'est dans une pyramide ègyptienne que se dèroule l'action où une groupe d'archèologues se retrouvent piègès en plein printemps arabe! Une pyramide qui semble avoir ètè construite dans un but prècis : celui d'empêcher de sortir quiconque y pènètrera! On ne dira pas par quoi le petit groupe en question est attaquè mais on se doute que ce n'est pas par une salamandre ou un mulot! Tout ce qui peut être mauvais ou complètement surrèaliste dans un film d'horreur est dans "Pyramide". La mise en scène est un mèlange de found footage et de "Chernobyl Diaries". Spatialement, on perd tout parce qu'il n'y a plus de repère visuel! On passe d'un coup à la mise en scène found footage et d'un coup à la mise en scène traditionnelle, sachant que nous sommes ici dans un espace clos avec peu de personnages! Ajoutons aussi que les acteurs ne sont pas très bons (sauvons Denis O'Hare qui se coltine la voix française d'Harrison Ford), que toutes les situations sont prèvisibles et que certains F/X sonnent faux! C'est vraiment dommage car le concept aurait pu être sympa car mettre un film de genre dans une pyramide, c'ètait plutôt original sur le papier! Deux, trois scènes choc et puis s'en va...