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MediaShow
« Avant Toi », réalisé par Thea Sharrock est une parfaite combinaison scénaristique entre « Intouchables » et « Nos étoiles contraires ». Simple, légère et émouvante, la trame narrative ose aborder des sujets, parfois délicats, et réussit finalement à créer une belle alchimie romantique et pudique. Enfin, le casting est porté par un magnifique duo ! Un ensemble vraiment plaisant et attachant !
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Un coup de cœur dès les premières secondes
Alors comment vous dire… Dès les 5 premières minutes, même secondes, je suis tombée amoureuse de ce chef-d’œuvre ! En quelques secondes seulement j’ai su qu’il serait le meilleur, le plus beau, le plus merveilleux, le plus émouvant film que je n’ai jamais vu. En quelques secondes il a détrôné mon film fétiche depuis plusieurs années The Last Song – que j’ai vu, vu, et revu un bon million de fois maintenant. Comment ai-je su que j’allais adorer, je dirai même idolâtrer, ce film ? J’ose dire l’instinct.
J’avais beaucoup entendu parler du roman de Jojo Moyes, rapidement de ce qu’il découlait de l’histoire, et lorsque mon acolyte de toujours, Florian, et moi-même avons décidé d’aller voir son adaptation au cinéma, je m’attendais à un film émouvant, certes, mais pas à ce point là. Je pense pouvoir dire que je n’ai jamais autant pleuré devant un film, de vraies larmes, pas uniquement d’un sentiment intérieur.
Dès les premières secondes, donc, nous sommes immergés dans l’histoire à son commencement, à ce moment où la vie d’un homme bascule. On s’attend à toutes les situations possibles, tous les accidents qui auraient pu engendrer cette paralysie, et pourtant la mise en scène du début nous surprend déjà. On entre ensuite tout aussi rapidement dans deux univers bien différents, mais qui finalement vont merveilleusement s’accorder à force de volonté, au départ de la part du personnage de Louisa, interprété par Emilia Clark. Nous entrons donc dans l’univers pour le moins détruit et déprimant – voir déprimé – de Will (Sam Claflin *-*), dont la joie de vivre à bien disparue depuis son accident. À l’opposé, nous avons Louisa, jeune femme exubérante, au look pour le moins douteux, mais plein de vie, qui, de par son caractère optimiste, fera tout pour redonner la joie de vivre à Will. Ce sont deux mondes qui, à force de travail, d’empathie, d’écoute et de soutien, parviennent à se réunir pour former une harmonie absolue.
Un sujet poignant
Les acteurs, principaux comme secondaires, endossent par ailleurs merveilleusement bien leurs rôles. Chacun amène sa part de joie et de tristesse à sa manière, au cours des différentes étapes d’une vie qui a semblé s’arrêter subitement au détour d’une rue. Chaque personnage tente de garder ou de se faire une place dans un monde où la vie peut être bien cruelle, de différentes manières, et surtout avec de l’amour. Mais au-delà de ce sentiment qui est régulièrement présent dans la fiction et dans le cinéma, Avant toi traite d’un thème particulier, celui de l’euthanasie. Il nous donne les clés qui nous permettent de nous questionner sur ce sujet, sur ce débat qui se ‘joue’ entre la vie et la mort, et où le choix est bien souvent partagé entre la personne atteinte et son entourage. Ce film nous montre également le quotidien des personnes souffrant de paralysie, il nous permet e nous rendre un peu mieux compte de ce qu’ils vivent et surtout pensent chaque jour.
Alors comment vous dire… Dès les 5 premières minutes, même secondes, je suis tombée amoureuse de ce chef-d’œuvre ! En quelques secondes seulement j’ai su qu’il serait le meilleur, le plus beau, le plus merveilleux, le plus émouvant film que je n’ai jamais vu. En quelques secondes il a détrôné mon film fétiche depuis plusieurs années The Last Song – que j’ai vu, vu, et revu un bon million de fois maintenant. Comment ai-je su que j’allais adorer, je dirai même idolâtrer, ce film ? J’ose dire l’instinct.
J’avais beaucoup entendu parler du roman de Jojo Moyes, rapidement de ce qu’il découlait de l’histoire, et lorsque mon acolyte de toujours, Florian, et moi-même avons décidé d’aller voir son adaptation au cinéma, je m’attendais à un film émouvant, certes, mais pas à ce point là. Je pense pouvoir dire que je n’ai jamais autant pleuré devant un film, de vraies larmes, pas uniquement d’un sentiment intérieur.
Dès les premières secondes, donc, nous sommes immergés dans l’histoire à son commencement, à ce moment où la vie d’un homme bascule. On s’attend à toutes les situations possibles, tous les accidents qui auraient pu engendrer cette paralysie, et pourtant la mise en scène du début nous surprend déjà. On entre ensuite tout aussi rapidement dans deux univers bien différents, mais qui finalement vont merveilleusement s’accorder à force de volonté, au départ de la part du personnage de Louisa, interprété par Emilia Clark. Nous entrons donc dans l’univers pour le moins détruit et déprimant – voir déprimé – de Will (Sam Claflin *-*), dont la joie de vivre à bien disparue depuis son accident. À l’opposé, nous avons Louisa, jeune femme exubérante, au look pour le moins douteux, mais plein de vie, qui, de par son caractère optimiste, fera tout pour redonner la joie de vivre à Will. Ce sont deux mondes qui, à force de travail, d’empathie, d’écoute et de soutien, parviennent à se réunir pour former une harmonie absolue.
Un sujet poignant
Les acteurs, principaux comme secondaires, endossent par ailleurs merveilleusement bien leurs rôles. Chacun amène sa part de joie et de tristesse à sa manière, au cours des différentes étapes d’une vie qui a semblé s’arrêter subitement au détour d’une rue. Chaque personnage tente de garder ou de se faire une place dans un monde où la vie peut être bien cruelle, de différentes manières, et surtout avec de l’amour. Mais au-delà de ce sentiment qui est régulièrement présent dans la fiction et dans le cinéma, Avant toi traite d’un thème particulier, celui de l’euthanasie. Il nous donne les clés qui nous permettent de nous questionner sur ce sujet, sur ce débat qui se ‘joue’ entre la vie et la mort, et où le choix est bien souvent partagé entre la personne atteinte et son entourage. Ce film nous montre également le quotidien des personnes souffrant de paralysie, il nous permet e nous rendre un peu mieux compte de ce qu’ils vivent et surtout pensent chaque jour.
Clémentine K.
Une belle adaptation du livre, une histoire si bouleversante et triste. Cependant, j'ai eu du mal à supporter la prestation de Emilia Clarke, qui me rappelait trop Jennifer Garner dans 30 sinon rien.
C'est fou comme une perruque peut vous changer complètement une personne. Emilia Clarke en Daenerys Targaryen dans "Game of Thrones" soit Emilia Clarke en blonde soit en véritable bombe sexuelle devant laquelle on se contente de baver tellement celle-ci nous parait inaccessible. Emilia Clarke en petite brune parait beaucoup accessible, d'autant plus qu'elle porte des habits pour le moins colorés, en girl-next-door très mignonne qu'on aimerait bien avoir comme petite amie... En fait, si j'ai regardé ce film c'est surtout pour elle, enfin uniquement pour elle...
Bien que le fait qu'on ait l'impression de faire un autre coucou à "GOT" (Charles Dance !!!), un coucou à "Downton Abbey" (Brendan Coyle !!!) et un autre à "Doctor Who" (Jenna Coleman !!!) rajoute un soupçon d'intérêt à ce beau petit package.
Ben oui parce qu'il ne faut pas s'attendre à un film d'un grand réalisme sur l'handicap spoiler: en fait seule la fin détonne
mais plutôt à un truc glamour, qui se regarde sans déplaisir, pas vraiment dans le drame difficile donc, parce que Sam Claflin est beau gosse, parce que son personnage est hyper-riche et parce que d'aspect ça reste propret, il y a pas un poil qui dépasse.
Pourquoi après tout ??? Tous les films sur les handicapés ne sont pas obligés de virer dans le réalisme le plus pur. Mais reste que c'est tellement dans cette optique plaisante, pour un sujet qui est loin de l'être, que ça en devient vite superficiel, ça se maintient toujours à la surface du point de vue psychologique. Le protagoniste passe du personnage le plus insupportable à sympa en un clin d’œil, pas d'évolution subtile. Même reproche pour l'héroïne qui fait cela elle par a-coup. On ne fermera pas les yeux sur les beaux sentiments bien dégoulinants. Ça passe sans marquer, sans être inattendu. Là encore si on excepte spoiler: la fin, dérangeante et pour le coup vraiment inattendue, qui pousse à se poser des questions profondes sur nos rapports à la vie et à la mort.
Avec beaucoup de subtilité, de sobriété, ça aurait pu donner quelque chose de très bon, voire même de très très bon, je me contenterais de 110 minutes qui passent vite (on peut pas dire le contraire !!!), spoiler: de la fin,
et du changement de cheveux.
Bien que le fait qu'on ait l'impression de faire un autre coucou à "GOT" (Charles Dance !!!), un coucou à "Downton Abbey" (Brendan Coyle !!!) et un autre à "Doctor Who" (Jenna Coleman !!!) rajoute un soupçon d'intérêt à ce beau petit package.
Ben oui parce qu'il ne faut pas s'attendre à un film d'un grand réalisme sur l'handicap spoiler: en fait seule la fin détonne
mais plutôt à un truc glamour, qui se regarde sans déplaisir, pas vraiment dans le drame difficile donc, parce que Sam Claflin est beau gosse, parce que son personnage est hyper-riche et parce que d'aspect ça reste propret, il y a pas un poil qui dépasse.
Pourquoi après tout ??? Tous les films sur les handicapés ne sont pas obligés de virer dans le réalisme le plus pur. Mais reste que c'est tellement dans cette optique plaisante, pour un sujet qui est loin de l'être, que ça en devient vite superficiel, ça se maintient toujours à la surface du point de vue psychologique. Le protagoniste passe du personnage le plus insupportable à sympa en un clin d’œil, pas d'évolution subtile. Même reproche pour l'héroïne qui fait cela elle par a-coup. On ne fermera pas les yeux sur les beaux sentiments bien dégoulinants. Ça passe sans marquer, sans être inattendu. Là encore si on excepte spoiler: la fin, dérangeante et pour le coup vraiment inattendue, qui pousse à se poser des questions profondes sur nos rapports à la vie et à la mort.
Avec beaucoup de subtilité, de sobriété, ça aurait pu donner quelque chose de très bon, voire même de très très bon, je me contenterais de 110 minutes qui passent vite (on peut pas dire le contraire !!!), spoiler: de la fin,
et du changement de cheveux.
Une vraie comédie romantico dramatique comme on les aime... Très touchant, on rit, on pleure... Très joli moment
Absolument sans intérêt ce film inspiré de la comedie intouchable entre une fille au goût très mauvais pour se vêtir s'éprend du beau mâle paraplégique . cette bluette cousue de fil blanc sans surprise est un très mauvais film .
Un conte de fée sympathique mais très bancal sauvé par une très belle interprétation d’Emilia Clarke.
Sous couvert de film romantique, cliché à l’extrême, Avant toi a le mérite d’offrir une réflexion intéressante sur le handicap et surtout sur la condition d’un homme ne pouvant plus être l’Homme qu’il a été (séduction, virilité, rapport avec les femmes …). Le réalisateur assume de bout en bout ce parti pris clairement défini dès les premiers plans, décors, lumières et couleurs.
A défaut d’être original dans son traitement (handicapé cynique riche et assistante pleine de vie pauvre), le film souffre de son manque de fulgurances, d’idées et de sa faible écriture qui amène une lenteur au milieu du récit et qui casse la mécanique narrative. Malgré une réalisation plate, le duo Emilia Clarke et Sam Clafin fonctionne quand même.
Emilia Clarke (Games of Thrones) est méconnaissable et transpose le rôle de princesse de dessin animé dans ce film, c’est bluffant. Elle a construit un personnage excentrique et touchant qui illumine le film par sa grâce.
Bref, c’est passable mais oubliable.
PS : je vous conseille « le temps d’un Week-end » avec Al Pacino qui porte sur le même sujet.
Sous couvert de film romantique, cliché à l’extrême, Avant toi a le mérite d’offrir une réflexion intéressante sur le handicap et surtout sur la condition d’un homme ne pouvant plus être l’Homme qu’il a été (séduction, virilité, rapport avec les femmes …). Le réalisateur assume de bout en bout ce parti pris clairement défini dès les premiers plans, décors, lumières et couleurs.
A défaut d’être original dans son traitement (handicapé cynique riche et assistante pleine de vie pauvre), le film souffre de son manque de fulgurances, d’idées et de sa faible écriture qui amène une lenteur au milieu du récit et qui casse la mécanique narrative. Malgré une réalisation plate, le duo Emilia Clarke et Sam Clafin fonctionne quand même.
Emilia Clarke (Games of Thrones) est méconnaissable et transpose le rôle de princesse de dessin animé dans ce film, c’est bluffant. Elle a construit un personnage excentrique et touchant qui illumine le film par sa grâce.
Bref, c’est passable mais oubliable.
PS : je vous conseille « le temps d’un Week-end » avec Al Pacino qui porte sur le même sujet.
Une très belle romance comédie dramatique. Très sombre sur le fond et adroitement joviale (trop ?) sur le forme. Sans avoir lu le roman, je trouve que les mimiques de Clarke sont excessives même avec son personnage rayonnant, ma seule critique négative. Le reste est émouvant. 4/5 !!!
Superbe histoire pleine d'amour et de fantaisie, nous fait penser à plusieurs films du genre mais pourtant on se fait convaincre.
J'ai lu le livre avant et je peux dire que l'adaption est très réussi , très fidèle au livre , le film nous prend au cœur, on en reste bouleversé à la fin, je conseillerai ce film vraiment à tout le monde
On aurait pu croire que le film risque de tomber dans la facilité mélodramatique ; mais non, l'histoire tient bien, Emilia Clarke assure à merveille son rôle.
C'est vraiment un chef d'oeuvre et un des meilleurs film que j'ai vu ces dernières années.
Beaucoup l'ont comparé à spoiler: Intouchable
, mais c'est carrément une autre histoire.
C'est vraiment un chef d'oeuvre et un des meilleurs film que j'ai vu ces dernières années.
Beaucoup l'ont comparé à spoiler: Intouchable
, mais c'est carrément une autre histoire.
Incité par ma copine qui le considère comme son film préféré, je me suis lancé dans le visionnage de Me before You. Et ça a été un véritable calvaire. Emilia Clarke en fait trop, beaucoup trop, et est très énervante, Sam Caflin fait du Sam Caflin et les autres personnages sont trop clichés. Le scénario est très prévisible tout comme la fin qui donne d'ailleurs une morale pas terrible juste pour donner la larme à l'oeil et se dire que c'est trop triste. Certains le considère comme un excellent film romantique mais c'est pour moi l'un des plus mauvais.
J'ai découvert le lire après avoir vu le bande d'annonce de ce film ... le jour même j'ai acheté le lire que j'ai lu d'un trait ....
et je vous laisse imaginer ma très grande déception face au film ... il dénature l'histoire ... le film ressemble au récit de 10 pages arrachés à l'aveugle du livre ... il dénature le message et l'essence de l'histoire c'est assez dommage ...
bref ne regardez pas ce film ... lisez le roman.
et je vous laisse imaginer ma très grande déception face au film ... il dénature l'histoire ... le film ressemble au récit de 10 pages arrachés à l'aveugle du livre ... il dénature le message et l'essence de l'histoire c'est assez dommage ...
bref ne regardez pas ce film ... lisez le roman.
Belle comédie sur un sujet émouvant.
Le départ est un peu poussif, mais on se laisse rapidement emporter dans cette histoire dont le dénouement est vraiment touchant. 3.5/5
Le départ est un peu poussif, mais on se laisse rapidement emporter dans cette histoire dont le dénouement est vraiment touchant. 3.5/5
Avant de voir ce film , j'étais curieux de voir Emilia Clarke ailleur que dans GOT . En regardant "Avant toi" , on oublie qui elle est ,tellement que son personnage est appréciable et gentille . Cette histoire est bien réussi et touchant à la fois . Une belle surprise
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