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vivaBFG
13 abonnés
1 282 critiques
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4,5
Publiée le 5 décembre 2022
Excellent documentaire sur le groupe musical le plus populaire (plus que Jésus!) dans le monde entier. Sa force est surtout dans la chronologie respectée à la lettre, et on suit ces 4 garçons du tout début de leur carrière jusqu'en 1969, peu de temps avant leur séparation. On peut y voir un panel de leur concert, dans le monde entier (tiens, il n'y a pas l'URSS!). Seul fait étrange, aucune allusion au décès de leur mentor, impresario, manager : Brian Epstein mort en 1967 qui allait un peu précipiter leur séparation. On y apprend plein de chose : que les américains sont toujours aussi stupides dès qu'une malheureuse phrase semble critiquer Jésus. Que les journalistes sont pareillement stupides dans certaines de leur question quand ils font face à une vedette, etc; etc A voir par tous les fans des Beatles, mais je crois que c'est déjà fait, mais par tout le monde pour bien comprendre ce que ce groupe a vécut et apporté à la musique.
Ce biographie va être le meilleur sur les Beatles. le montage est très passionnant, les documents très recherchés mis au goût du jour, remastérisé, avec des séquences inédites et des interviews des principaux concerné et des guest stars. Ron Howard, n'avait pas fait un film comme ça depuis un moment. on a vraiment l'impression que ça a été tourné la veille or ces documents date des années 60 ce qui est prodigieux. on sent bien évidemment la folie beatlemania qui est l'un des sujet abordés. Dans leur première année jusqu'à la fin de leur règne, sur des live et studio performance où on entend pas toujours les chansons les plus connues ce qui rend ces scènes particulièrement inédite, ce qui est génial pour les fanatiques de ce groupe. de leur début de gloire tonitruante, de leur carrière qui se périclite donc à cause de certains faits. des propos outrecuidance qui ont plombé le groupe. et sa Renaissance. Ce documentaire est un vrai petit bijou, il faut écouté également le petit message vocals que les Beatles rend hommage au fans, en générique de fin !
Concentré exclusivement sur les premières années de la Beatlemania (avant que le groupe se transforme définitivement en monstre des studios au détriment de la scène), ce documentaire signé Ron Howard, s'il n'apporte rien de bien nouveau sous le soleil, offre toutefois une illustration assez juste du contexte de l'époque et de l'état d'esprit des Fab Four, entre réactions des fans et de la presse, face au phénomène qu'ils étaient en train de devenir. Pas révolutionnaire mais intéressant, et puis la musique demeure...
4 511 abonnés
18 103 critiques
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3,5
Publiée le 5 février 2021
Réalisé principalement à partir d'images d'archives et la plupart recolorées c'est un beau et bon documentaire. Quoi de plus familier que les Beatles. Ce n'est certainement pas une histoire facile à redonner vie. Cinquante ans après il reste assez incroyable de voir l'engouement qu'ils ont suscité, à quel point ils étaient nouveaux, frais, bruts. Alors que le film a une énergie énorme dans ses deux premiers tiers il s'essouffle plutôt dans sa dernière partie. Un peu comme les Beatles l'ont fait en fait. Il y a aussi des éléments comme la fumée qui s'élève des cigarettes de la photo et qui devient un peu fatigante. Mais c'est un film très agréable à regarder pour les quinquagénaires et pour tous les fans, jeunes et moins jeunes. Notez que le documentaire lui-même dure environ 90 minutes avec 30 minutes supplémentaires de musique de concert en direct a la fin...
excellent ! je ne voulais pas que ça se termine... Depuis the Beatles Anthology sorti en 1995 je dois dire que les autres documentaires faisaient pâle figure et qu’ il était difficile de rivaliser. Donc, un grand merci et un grand bravo à Ron Howard! quand un réalisateur talentueux est derrière la caméra on est rarement déçu. A voir ou à revoir ! The Beatles get back forever
Ce film à destination des fans n'apporte que peu d'éléments inédits. Les fans s'y retrouvent néanmoins et les autres, seront au mieux, indifférents. Ce documentaire est brouillon, on voit mal la progression de la "beatles-mania"
Ron Howard, auteur entre autres de "Willow" et de "Da Vinci Code", réalise pour la seconde fois un documentaire toujours sur l'univers de la musique. Après "Made in America" sur le festival organisé par Jay-Z, Howard s'intéresse cette fois aux Beatles. Tout a déjà était dit et montré sur ce groupe de pop anglaise et "Eight Days a Week" n'apporte pas plus de choses que d'autres documentaires sur ce même sujet d'autant plus qu'il est toujours malaisé de réduire une décennie de carrière en 1h40. Du coup, le traitement se fait inévitablement en surface et retrace s'attarde uniquement sur les faits marquants que tout un chacun connait sûrement. Cependant, c'est toujours avec plaisir que l'on se plonge dans les sixties à travers des vidéos d'archives et la musique du groupe. Ron Howard assure en plus son travail de réalisateur/monteur et le résultat est de qualité. Un bon documentaire mais qui n'apporte rien de véritablement neuf.
Un documentaire de Ron Howard sur la beatlemania vu au travers des concerts des britanniques. Il faut dire que le côté artistique n'est ici pas au centre du documentaire. Ici ce qui intéresse c'est pourquoi les Beatles sont devenus un objet de culte à travers les foules. Même si on a bien du mal à le comprendre en regardant ce film il faut dire qu'on a l'impression d'assister à la naissance d'un mythe. Oui ici les meilleurs chansons des Beatles ne sont pas présentes (les albums à partir de "Ruber Soul", car ils ne les joueront jamais en concert, ceux sont tout leurs tubes pop qui même si ils feront mieux, sont vraiment enthousiasmant et rafraichissant. A côté de cela les interviews sont super marrants et jamais lassants. Un bon documentaire, même si ça reste trop grand public à mon gout.
Formidable documentaire sur les Beatles qui nous fait découvrir ceux-ci sans fards et comprendre leur évolution grâce à une proximité intimiste sans voyeurisme.
Un documentaire fascinant sur la vie d'abord idyllique du mythique groupe des Beatles, puis sur le déclin cauchemardesque auxquels ces jeunes dans le vent ont dû faire face. Les plus grands tubes sont bien là, au travers d'images d'archives rares et impressionnantes, on a presque la sensation d'en avoir l'exclusivité tellement les concerts nous sont inconnus par moments. Les commentaires des concernés sont les bienvenus pour mettre en lumière certaines anecdotes, certaines versions des faits que nous ignorions. Le film n'est pas lassant et sait se renouveler grâce justement à ces interventions et ces vidéos rares, la pédagogie divertissante est ici assurée. Les scandales auxquels les Beatles n'ont pas échappés, les ratés de parcours et les accidents malheureux jusqu'à leur dissolution commune, rien n'est caché au spectateur, et cette volonté de franchise et de transparence touche beaucoup quand l'on imagine que cela pourrait ternir la réputation du groupe devenu avec le temps mythique. Mais jamais on a l'impression que le documentaire accuse, au contraire, le spectateur se sent d'autant plus proche de ces artistes de talent qu'il s'aperçoit de leurs ratés, très humains après tout.
Ah, voici un petit documentaire sympathique sur un jeune groupe prometteur et qui risque de faire parler de lui dans les années à venir... Hein ? On me dit d'arrêter de déconner un peu. Alors ? Est-il encore possible de dire quoi que ce soit sur les Beatles ? Si ce n'est qu'il s'agit d'un des plus grands groupes de musique, si ce n'est le plus grand qu'on ait un jour connu. Jamais on ne mettra suffisamment l'accent sur l'impact que ce groupe a pu avoir sur la musique. « The Beatles : Eight days a week » traite donc de la période 1962-1966, appelée couramment « Beatlemania » durant laquelle les 4 musiciens n'avaient pas une minute de répit. Enchaînant albums sur albums, singles sur singles et tournées sur tournées dans des conditions parfois dantesques, parfois dangereuses. Le problème avec ce documentaire de Ron Howard, c'est qu'il divisera franchement l'auditoire. Quelqu'un qui ne connait pas bien l'histoire et l'oeuvre du groupe britannique trouvera sans doute sans compte. A contrario, quelqu'un qui est averti en la matière (ce qui est mon cas), le trouvera bien trop gentillet. Ron Howard semble occulter volontairement les côtés sombres du groupe. Quid de la consommation abusive d'herbe à partir de la rencontre avec Bob Dylan ? Quid du snobisme du duo Lennon/McCartney envers les compositions de George Harrisson ? Quid des très faibles royalties perçus par ce même Harrisson alors que Lennon et Macca en touchaient dix fois plus ? Clairement, Howard ne va pas au fond des choses. Il en va de même pour l'aspect musical. 1962-1966, implique donc l'année 1965, année où les Beatles (toujours sous l'emprise de dope) ont commencé à évoluer en s'éloignant des codes de la chanson pop traditionnelle de l'époque. En incluant de nouveaux instruments (comme le sitar ou l'harmonium). En expérimentant de nouvelles méthodes d'enregistrement (instruments passés à travers différents équipements, ralentissement ou accélération des bandes produisant des effets jamais entendus à l'époque). Tout cela pour le compte de l'album « Rubber Soul » . Il en sera de même l'année suivante pour les sessions de l'album « Revolver » où la folie créatrice des Beatles va franchir un nouveau cap avec encore plus d'instruments, avec encore plus d'expérimentations. Tout cela Howard le survole. Pourquoi trois étoiles alors ? Parce que même si le documentaire est très consensuel, il se suit avec plaisir et donc sans ennui, puis c'est toujours un plaisir que d'entendre encore les chansons des Beatles, même si eux aussi ont pondu quelques bouses irrécupérables comme tous les grands autres groupes.
Quelques images d'archives inédites et sympas mais rein de bien renversant dans ce documentaire de Ron Howard sur la bealtlesmania, rien que l'on ne sache ou presque sur la gloire qu'à connu le groupe durant un peu plus de 10 ans. Un documentaire vu du côté des fans, avec toujours les mêmes images d’hystérie collective. Un doc bien lisse où il est rarement question de création comme c'était le cas dans "Soundbreaking" diffusé sur arte en février 2017.
Après "Anthologie", ce documentaire n'a rien d'indispensable pour les fans en dehors de quelques images inédites et du récit d'un journaliste américain ayant suivi la tournée américaine des Beatles. Paul et Ringo n'apportent rien de plus et on aurait sans doute préféré des témoignages d'anonymes que de célébrités. Montage trop nerveux également, ça va trop vite, les séquences sont bien trop courtes (où est la patte Ron Howard ?). Cependant, cela reste un nouveau document d'estime sur le plus grand groupe des temps modernes, très bien pour les néophytes.