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Daniel C.
150 abonnés
721 critiques
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4,5
Publiée le 17 février 2015
Quelle belle histoire que celle-ci, qui nous raconte que la population d'Israël est constituée pour un cinquième par des arabes. Ca n'est pas rien tout de même, cela n'a rien d'insignifiant. Ce film nous montre également qu'on peut être juif et raciste, qu'on peut être juif et tolérant et antiraciste, qu'on peut être arabe et raciste ou antisémite ou être juste arabe ou juif et que ça ne résume en rien l'individu. Je n'ai pas beaucoup de sympathie pour les militaires israëliens, qui sont souvent montrés comme brutaux et irrespectueux au cinéma. Ce qui est surtout stupéfiant dans ce film, C'est de voir la guerre surmédiatisée en Irak depuis les toits d'un quartier arabe. C'est d'une toute autre actualité que celle télévisuelle, qui nous était servie. "Mon fils" est un film vraiment touchant, qui montre qu'on peut être autre chose que des frères ennemis, même si tout n'est pas partageable...
Superbes images, musique envoûtante, mais scénario peut crédible à la fin, situation impossible ,on n'y crois pas , scène du cimetière inimaginable dans le contexte actuel, on quitte la salle rempli de questions sans réponses. Très bon casting.
l'amour et l'amitié sont bien plus puissants que la bêtise humaine ou la guerre. c'est avec beaucoup de finesse que ce film nous le rappelle. un plébiscite pour la paix.
Film plein de bons sentiments, l'idée de montrer qu'on peut être israélien arabe et s'en sortir est très intéressante, mais on a peine à croire que la manière exposée dans le film soit réaliste et possible.
beau, intelligent, jamais ennuyeux voilà quelques unes des qualités de ce film ; le scénario n'a rien d'innovateur le combat éternel entre les juifs et les palestiniens qui vivent sur cette même bande de terre étroite aux conflits sans fins ; ici le réalisateur a choisi l'angle de la jeunesse; la vision de ce jeune paléstinien qui obtient le privilège d'étudier à Jérusalem dans une école juive et qui tombe amoureux d'une de ses camarades juive et donc commencent pour eux les problèmes: il faut s'aimer caché; un Roméo et Juliette? pas seulement; il y a aussi ce jeune israélien fortement handicapé qui deviendra pour le héros un ami très proche ( on est un peu du côté de Intouchables) et qu'il assistera jusqu'au bout avec cet échange de vie un peu surréaliste ; le réalisateur a voulu démontrer que l'on soit juif ou paléstinien ce qui compte c'est la vie, les hommes sont tous semblables face aux difficultés de la vie et face aux joies parfois ; il serait plus simple de s'entendre, cesser de se faire la guerre mais cela est une autre histoire
L'action se passe principalement à Jérusalem. Les scènes montrent la vie d'un palestinien y vivant. Les images sont choisies pour ne montrer que la part arabe de Jérusalem. Le rapport palestinien/israélien est partiellement rendu. Les jeunes lycéens nous donnent un peu d'espoir, maigre quand même pour faire un bon film. La fin est un peu "too much" c'est dommage.
Très beau film tout en nuances et en dignité ou tout est suggéré. Il montre l'absurdité d'un conflit entre deux populations proches séparées par l'histoire, la religion et les préjugés. Ce film efface subtilement les différences grâce aux sentiments amicaux ou amoureux. Les acteurs sont parfaits dans leur vérité et leur sobriété. Ce film démontré bien l'incohérence du racisme qui repose sur des préjugés.
Un film bien réalisé qui aborde un sujet sensible de la société israélienne. La musique du film est également très agréable. On regrette cependant, quelques moments plat, et un fin de scénario complètement irréaliste.
Film gentillet qui se voudrait profond, évoquant le cas particulier d'un arabe israélien brillant qui se démarque tôt de l'antisionisme et des souhaits de mort de sa famille à l'égard de la population juive. Son talent lui permet d'accéder au "lycée Henri IV" de Jérusalem où il côtoie une jeunesse juive qui surmontera rapidement ses a priori à son égard. Il tisse une tendre histoire d'amour avec une jeune juive qui plus tard, devra le quitter et intègrera les services du renseignement. En même temps, il se lie d'amitié pour un adolescent gravement malade qu'il soutiendra fraternellement jusqu'à sa mort. La mère de l'adolescent fait glisser son sentiment maternel de son fils qui se meurt vers notre jeune arabe plein d'avenir, qui substitue son identité pour s'intégrer ou réussir plus facilement. Il aurait pu réussir en restant arabe mais il rompt avec sa propre famille au décès de sa grand-mère bien-aimée et les circonstances aidant, il fait ce choix d'endosser l'identité de son ami juif, qu'on pourrait trouver contestable. spoiler: La mère juive et l'adolescent arabe enterreront ensemble l'adolescent juif en cimetière musulman.
Scénario un peu facile et simpliste. Des longueurs sur l'histoire d'amour et celle de la maladie de l'ami juif. Peu d'énergie dans le relationnel. Beaux acteurs au jeu correct. Fin invraisemblable qui a du mal à passer même dans le cadre d'une allégorie sur la relativité des identités et l'absurdité de la guerre entre frères.
Très beau film, très bons acteurs dont une merveilleuse Yaël Abecassis. Le résumé pouvait faire craindre les clichés et le manichéisme mais il n'en est rien. On les aime tous, arabes comme juifs, et on se dit que cette guerre est un vrai désastre.
Ce film a au moins le mérite de traiter le sujet Palestine Israël, juifs et arabes. Mais j'ai été déçu de la tournure que prend le film. Trop prévisible donc on forcément cela enlève de l'intérêt que l'on porte à la fin.
Un hymne à l'amour... Une volonté pour le cinéaste de réconcilier deux peuples qui s'opposent et se détestent farouchement... La preuve qu'il existe une gauche israëlienne qui se désolidarise de la politique criminelle d'Israël et souhaite mettre un terme à cette guerre fratricide.
Merci à tous ces combattants de la paix d'où qu'ils viennent.