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Pari réussi: les problèmes d'identité, religieuse, nationale ou même physique, ont rarement été abordés avec une telle intensité grâce à un quatuor de comédiens exceptionnels.
Sur une histoire ancrée dans la réalité du pays et de ses problèmes, Eran Riklis fait basculer son récit vers la fable de façon ingénieuse et qui suscite la réflexion.
Ce film témoigne avec tact, entre humour et tragédie, des contradictions d’Israël. Il est aussi porté par une belle galerie de personnages, à commencer par l’épatant Tawfeek Barhom.
Le film est en tout cas à la fois drôle, et triste ; grave et léger. Beaucoup plus profond qu’il n’y paraît au premier abord. Un effet tout à fait calculé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
(...) le film sait se rendre attachant en évoquant les premières amours d’Iyad avec une jeune étudiante israélienne qui doit cacher sa relation, mais aussi en montrant de manière drolatique la réaction d’une communauté désespérée pendant la guerre du Golfe (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La relation presque fraternelle des adolescents cristallise le jeu sur l'identité qui fonde le film. Mais cette question de l'identité est traitée avec maladresse : Riklis boucle son récit par une facilité et, dès lors, celui-ci perd en crédibilité.
Malgré un arc narratif qui peine à unifier les différentes intrigues, le discours pacifiste du cinéaste défend une idée tourmentée mais forte : l’apaisement identitaire passe également par la transgression des règles établies et par une nécessaire confrontation avec la morale dominante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Des anecdotes d’une normalité déroutante qui font le sel de ce long métrage signé par le réalisateur israélien Eran Riklis, pourtant tourné dans l’une des régions les plus tourmentées du globe.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
Après "Les Citronniers", l'Israélien Eran Riklis continue à rendre compte de la complexité de son pays. (...) "Mon fils" n'est pas toujours aussi adroit dans la démonstration et a tendance à s'éparpiller.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le réalisateur des « Citronniers » signe un film doux-amer pointant la discrimination perpétuelle des Arabes israéliens. Une histoire cruelle qui pèche toutefois par sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Evidemment, les raccourcis sont légion, le schématisme au rendez-vous et la mise en scène vieillotte, mais pour une fois Riklis réussit à créer un personnage avec des imperfections et des subtilités.
Ouest France
Un propos généreux porté par la présence de Yaël Abecassis.
Positif
Pari réussi: les problèmes d'identité, religieuse, nationale ou même physique, ont rarement été abordés avec une telle intensité grâce à un quatuor de comédiens exceptionnels.
Femme Actuelle
Ce beau film d’Eran Riklis aborde avec sensibilité et originalité la question du dialogue et de la tolérance entre deux cultures.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Dauphiné Libéré
Sur une histoire ancrée dans la réalité du pays et de ses problèmes, Eran Riklis fait basculer son récit vers la fable de façon ingénieuse et qui suscite la réflexion.
Le Journal du Dimanche
Ce film témoigne avec tact, entre humour et tragédie, des contradictions d’Israël. Il est aussi porté par une belle galerie de personnages, à commencer par l’épatant Tawfeek Barhom.
Le Monde
(...) "Mon fils" est un beau film, remarquablement interprété.
Paris Match
Le film est en tout cas à la fois drôle, et triste ; grave et léger. Beaucoup plus profond qu’il n’y paraît au premier abord. Un effet tout à fait calculé.
Critikat.com
"Mon fils", s’il tracte parfois, surprend souvent par sa capacité à insinuer.
L'Obs
Riklis fait preuve d'une sûreté de toucher et d'un sens de la mesure qui empêchent le film de verser dans la démonstration.
La Croix
(...) le film sait se rendre attachant en évoquant les premières amours d’Iyad avec une jeune étudiante israélienne qui doit cacher sa relation, mais aussi en montrant de manière drolatique la réaction d’une communauté désespérée pendant la guerre du Golfe (...).
Les Fiches du Cinéma
La relation presque fraternelle des adolescents cristallise le jeu sur l'identité qui fonde le film. Mais cette question de l'identité est traitée avec maladresse : Riklis boucle son récit par une facilité et, dès lors, celui-ci perd en crédibilité.
Première
Malgré un arc narratif qui peine à unifier les différentes intrigues, le discours pacifiste du cinéaste défend une idée tourmentée mais forte : l’apaisement identitaire passe également par la transgression des règles établies et par une nécessaire confrontation avec la morale dominante.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Time Out Paris
Des anecdotes d’une normalité déroutante qui font le sel de ce long métrage signé par le réalisateur israélien Eran Riklis, pourtant tourné dans l’une des régions les plus tourmentées du globe.
Télérama
Après "Les Citronniers", l'Israélien Eran Riklis continue à rendre compte de la complexité de son pays. (...) "Mon fils" n'est pas toujours aussi adroit dans la démonstration et a tendance à s'éparpiller.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur des « Citronniers » signe un film doux-amer pointant la discrimination perpétuelle des Arabes israéliens. Une histoire cruelle qui pèche toutefois par sa mise en scène.
Les Inrockuptibles
Evidemment, les raccourcis sont légion, le schématisme au rendez-vous et la mise en scène vieillotte, mais pour une fois Riklis réussit à créer un personnage avec des imperfections et des subtilités.