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Rarement Vecchiali aura aussi clairement circonscrit et surtout concentré son cinéma. Le va-et-vient du réel et du jeu, du possible et de l'illusion, tout est visible sur cette jetée, tournée vers le rivage.
Des quatre adaptations de la nouvelle de Dostoïevski, "Nuits blanches sur la jetée" est sans doute l'une des plus cruelles : quelques plans implacables y suffisent pour déchirer cette ouate nocturne qui promettait la rédemption des solitaires dans une joyeuse union des cœurs.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Une excellente adaptation de Dostoïevski signée Paul Vecchiali : la ronde de deux personnages, un instituteur noctambule et "sa créature", pris dans les sortilèges et l'irréalité de la nuit. Une économie magistrale de mise en scène pour un ton toujours singulier ; mélange très aérien de malice et de cruauté.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Et Paul Vecchali, ici comme ailleurs, s'avère être un grand cinéaste de l'irruption: irruption du fantastique, irruption de la comédie musicale et de l'entertainment hollywoodien.
A 84 ans, Vecchiali nous revient libre et souverain dans cette adaptation des Nuits blanches, de Dostoïevski. Où le minimalisme — deux acteurs (ou presque) et un décor unique — s'allie à une qualité rare d'écriture dans les dialogues.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C’est le dispositif à la fois rigoureux et souple mis en place par Vecchiali, sa mise en scène à première vue sommaire, minimaliste, et finalement très subtile qui permet à ses acteurs d’atteindre à l’écran une telle intensité de présence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cette hétérogénéité est ici d’autant plus précieuse qu’elle s’inscrit paradoxalement dans un dispositif on ne peut plus strict (...), faisant tout reposer sur l’incessante interaction entre la préciosité singulière du verbe et la grâce d’une mise en scène qui en serait à la fois le refuge et le miroir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
À la fois dépouillée et ludique, cette version repose essentiellement sur la parole d’une femme insaisissable et d’un homme évanescent, mais ne manque ni de charme ni de fièvre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Cahiers du Cinéma
Rarement Vecchiali aura aussi clairement circonscrit et surtout concentré son cinéma. Le va-et-vient du réel et du jeu, du possible et de l'illusion, tout est visible sur cette jetée, tournée vers le rivage.
Chronic'art.com
Des quatre adaptations de la nouvelle de Dostoïevski, "Nuits blanches sur la jetée" est sans doute l'une des plus cruelles : quelques plans implacables y suffisent pour déchirer cette ouate nocturne qui promettait la rédemption des solitaires dans une joyeuse union des cœurs.
Culturopoing.com
Une excellente adaptation de Dostoïevski signée Paul Vecchiali : la ronde de deux personnages, un instituteur noctambule et "sa créature", pris dans les sortilèges et l'irréalité de la nuit. Une économie magistrale de mise en scène pour un ton toujours singulier ; mélange très aérien de malice et de cruauté.
Le Monde
Filmé par le dernier auteur libre du cinéma français, ce sacrifice-là tient au sublime.
Les Inrockuptibles
Toujours souriant aussi, même contre l’iniquité et la cruauté des sentiments. Des acteurs et un film sublimes.
Positif
Adapté d'une nouvelle de Dostoïevski, "Nuits blanches sur la jetée" est un petit objet coquet pas aussi modeste qu'il en a l'air.
Transfuge
Et Paul Vecchali, ici comme ailleurs, s'avère être un grand cinéaste de l'irruption: irruption du fantastique, irruption de la comédie musicale et de l'entertainment hollywoodien.
Télérama
A 84 ans, Vecchiali nous revient libre et souverain dans cette adaptation des Nuits blanches, de Dostoïevski. Où le minimalisme — deux acteurs (ou presque) et un décor unique — s'allie à une qualité rare d'écriture dans les dialogues.
aVoir-aLire.com
C’est le dispositif à la fois rigoureux et souple mis en place par Vecchiali, sa mise en scène à première vue sommaire, minimaliste, et finalement très subtile qui permet à ses acteurs d’atteindre à l’écran une telle intensité de présence.
Critikat.com
Cette hétérogénéité est ici d’autant plus précieuse qu’elle s’inscrit paradoxalement dans un dispositif on ne peut plus strict (...), faisant tout reposer sur l’incessante interaction entre la préciosité singulière du verbe et la grâce d’une mise en scène qui en serait à la fois le refuge et le miroir.
L'Humanité
À la fois dépouillée et ludique, cette version repose essentiellement sur la parole d’une femme insaisissable et d’un homme évanescent, mais ne manque ni de charme ni de fièvre.
Les Fiches du Cinéma
Vecchiali signe une adaptation de Dostoïevski à la fois érudite et légère, parfois statique et souvent inventive.