Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Chef-d'oeuvre à la beauté picturale foudroyante, d'une grande richesse thématique, politique et esthétique, bouleversant jusque dans sa volonté presque bressonienne de faire de ses acteurs de majestueux blocs d'impassibilité sur lesquels le désespoir d'un regard ou une larme roulant à l'improviste trahit une profonde émotion, Ventura (Cavalo Dinheiro) s'avère être l'un des films majeurs à sortir en salles cette année.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
Mêlant passé et présent, le film met en scène un manœuvre retraité, le corps usé, hanté par les fantômes des amis et des amours perdus. Le récit, quasi mythologique, fait circuler le personnage dans son pyjama rayé, depuis les ténèbres des souterrains humides, jusqu’aux couloirs anonymes d’un hôpital, comme un passage entre la mort et la vie. Chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
La force terrestre se renforce à chaque plan. D’un bidonville à une prison, d’une usine à un chantier, les lieux déploient leurs grandes figures immobiles, des épouvantails mémoriels plantés dans la nuit, soumis à la seule logique de la rêverie : l’émergence poétique de l’enracinement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Ventura est du genre à ouvrir de nouveaux états de conscience. On peut passer tout le film à se demander de quoi ces états sont faits, d’où ils viennent. Ce sont comme des rêves que l’on fait quand on ne dort pas, une nuit de la psyché cernée par un silence rampant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
Dans des salles d’attente où l’on meurt d’attendre, des cabinets médicaux qui pourraient aussi bien être des salles d’interrogatoire et des ascenseurs qui ne mènent nulle part, Ventura esquisse la carte cauchemardesque d’une vie emmurée dans l’oubli. Les film est ainsi l’histoire de ce que la migration fait à la mémoire, « l’histoire d’un homme qui a perdu l’oubli », dirait Marker, condamné à vivre avec ses morts.
Critikat.com
par Corentin Lê
Attendu depuis 2014, Ventura (Cavalo Dinheiro), film à la beauté vénéneuse, étend encore davantage le dédale d’images et de figures mémorables bâti par Pedro Costa.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Ventura revient, après En avant jeunesse !, et confronte la douleur d’un passé qui ne passe pas à son absence d’horizon. Film oublié, presque aspiré par la nuit, Ventura creuse sous la peau d’un homme qui aimerait que l’Histoire vienne un peu plus le hanter.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Nicolas Bauche
Chez Pedro Costa la composante sociale est toujours le support d’un geste esthétique, visuel ou sonore. Les premiers plans, révélant la descente de Ventura vers l’Hadès, imprimeront longtemps l’imaginaire des spectateurs.
Télérama
par François Ekchajzer
Ventura offre à qui ne craint pas l’inconfort au cinéma l’occasion de se frotter à l’univers fascinant du réalisateur portugais, auquel le musée du Jeu de paume consacre une rétrospective jusqu’au 26 juin, et le Centre Pompidou, une exposition jusqu’au 22 août.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Chef-d'oeuvre à la beauté picturale foudroyante, d'une grande richesse thématique, politique et esthétique, bouleversant jusque dans sa volonté presque bressonienne de faire de ses acteurs de majestueux blocs d'impassibilité sur lesquels le désespoir d'un regard ou une larme roulant à l'improviste trahit une profonde émotion, Ventura (Cavalo Dinheiro) s'avère être l'un des films majeurs à sortir en salles cette année.
Le Monde
Mêlant passé et présent, le film met en scène un manœuvre retraité, le corps usé, hanté par les fantômes des amis et des amours perdus. Le récit, quasi mythologique, fait circuler le personnage dans son pyjama rayé, depuis les ténèbres des souterrains humides, jusqu’aux couloirs anonymes d’un hôpital, comme un passage entre la mort et la vie. Chef-d’œuvre.
Les Inrockuptibles
La force terrestre se renforce à chaque plan. D’un bidonville à une prison, d’une usine à un chantier, les lieux déploient leurs grandes figures immobiles, des épouvantails mémoriels plantés dans la nuit, soumis à la seule logique de la rêverie : l’émergence poétique de l’enracinement.
Libération
Ventura est du genre à ouvrir de nouveaux états de conscience. On peut passer tout le film à se demander de quoi ces états sont faits, d’où ils viennent. Ce sont comme des rêves que l’on fait quand on ne dort pas, une nuit de la psyché cernée par un silence rampant.
Cahiers du Cinéma
Dans des salles d’attente où l’on meurt d’attendre, des cabinets médicaux qui pourraient aussi bien être des salles d’interrogatoire et des ascenseurs qui ne mènent nulle part, Ventura esquisse la carte cauchemardesque d’une vie emmurée dans l’oubli. Les film est ainsi l’histoire de ce que la migration fait à la mémoire, « l’histoire d’un homme qui a perdu l’oubli », dirait Marker, condamné à vivre avec ses morts.
Critikat.com
Attendu depuis 2014, Ventura (Cavalo Dinheiro), film à la beauté vénéneuse, étend encore davantage le dédale d’images et de figures mémorables bâti par Pedro Costa.
Les Fiches du Cinéma
Ventura revient, après En avant jeunesse !, et confronte la douleur d’un passé qui ne passe pas à son absence d’horizon. Film oublié, presque aspiré par la nuit, Ventura creuse sous la peau d’un homme qui aimerait que l’Histoire vienne un peu plus le hanter.
Positif
Chez Pedro Costa la composante sociale est toujours le support d’un geste esthétique, visuel ou sonore. Les premiers plans, révélant la descente de Ventura vers l’Hadès, imprimeront longtemps l’imaginaire des spectateurs.
Télérama
Ventura offre à qui ne craint pas l’inconfort au cinéma l’occasion de se frotter à l’univers fascinant du réalisateur portugais, auquel le musée du Jeu de paume consacre une rétrospective jusqu’au 26 juin, et le Centre Pompidou, une exposition jusqu’au 22 août.