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    Le Tournoi
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    Hastur64
    Hastur64

    229 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2016
    Pour son premier film la réalisatrice Elodie Namer a choisi le monde assez méconnu des tournois d'échecs et des jeunes grands maîtres qui s'y affrontent. Dans cet univers assez fermé, qui n'est pas sans évoquer le croisement entre une convention de geeks et un championnat d'athlétisme, elle tisse un drame aux accents de thriller où un jeune homme au fait de sa gloire voit lentement ses certitudes, tant professionnelles que personnelles, lentement se déliter. Si le film commence comme une gentille comédie en compagnie de jeunes adultes dont le quotidien du tournoi ressemble plus à une gigantesque fête d'étudiants avec un jeune champion objet de tous les désirs et de tous les regards qui semble marcher sur l'eau, rapidement l'ambiance s'assombrie. Cal, le champion, qui semblait insubmersible, laisse paraître des failles : difficultés dans son jeu, tensions avec son entraîneur, rivalité avec ses coéquipiers et amis et également des difficultés dans ses relations avec sa petite-amie. Plus le film avance plus l'univers du jeune garçon semble devenir hostile et celui-ci perdre de plus en plus pied entre violence et peur. L'interprétation du rôle principal par Michelangelo Passaniti est très efficace et son jeu, plutôt sobre, permet très vite de s'attacher à son personnage, jeune adulte en manque de tendresse et de présence paternelle. Sur une heure vingt le film tient ses promesses et offre un drame tendu où les échecs offrent un fond à l'histoire vraiment bien intégré à la narration. Un vrai beau premier film qui laisse augurer pour la réalisatrice d'une carrière prometteuse.
    Shékiinä .
    Shékiinä .

    54 abonnés 678 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2016
    Un classique en devenir. Moi qui ne s'intéresse pas du tout aux échecs j'ai trouvé ce film très plaisant à regarder. Le thème est original, la mise en scène est léchée, dotée de bonnes trouvailles, et l'acteur principal joue bien, son rôle de surdoué calme et réfléchi lui va comme un gant. La réalisatrice a bien décrit (je pense) la tension psychologique et le côté stratège des tournois d'échec (bien que j'aurais aimé que ce soit encore plus mis en avant).
    benoitG80
    benoitG80

    3 429 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mai 2015
    "Le Tournoi" permet une plongée dans le monde des échecs mais au fond et surtout, à travers cette approche, ce film a vraiment la bonne idée et l'opportunité de nous confronter à une palette de personnages d'un milieu fermé, tous très instructifs en soi...
    On nous laisse ainsi entrevoir comment ce jeune champion de France Cal Fournier, son coach et les autres joueurs qui l'accompagnent, sont presque tous formatés rien que par le rapport particulier qu'ils ont entre eux...
    Ce genre de film qui permet l'étude d'un milieu, a toujours un côté fascinant, comme justement et précisément ici, car on pénètre complètement dans le mental calculateur, froid et presque déshumanisé de chacun, mais surtout dans celui de Cal, dont la compétition et ses succès ont déteint sur sa personnalité, son comportement en l'enfermant dans un véritable carcan...
    Même dans l'idylle amoureuse avec Lou, on reste saisi par les paris, les enjeux qui sont fixés entre eux !
    Malgré les fêtes et les soirées arrosées, les relations entre les uns et les autres atteignent un degré de cynisme et de dureté très net, que ce soit dans l'amour, le jeu ou la préparation au jeu...
    À ce niveau, bien qu'ils soient de nature différente, chacun des personnages est intéressant à suivre et à comprendre, ceci grâce à une excellente prestation des acteurs, dont celle de Michelangelo Passaniti très sombre, et même de plus en plus noir par cet aspect perturbé qui petit à petit, l'habite et l'envahit même...
    L'atmosphère des tournois successifs et la fébrilité qui les précède, sont aussi un atout de cette réalisation.
    En outre, le scénario est franchement habile et permet d'être pris par cette histoire avec intérêt, d'autant plus que son évolution suit et s'imprègne de celle des personnages, en abordant des thèmes judicieux par ailleurs bien étudiés et surtout analysés avec tact...
    La mise en scène vaut le détour par les images et la lumière très belle, dont Budapest et surtout le magnifique hôtel Gellert avec ses célèbre bains, sont une redécouverte avec ce décor flamboyant, complètement inespéré et forcément agréable à l'œil...
    La fin sans la dévoiler offre de plus une réflexion intéressante et bien amenée sur la libération de l'esprit et ses conséquences...
    Alors sans hésitation, un film de Elodie Namer réussi plutôt étonnant, dont la presse en grande partie n'a pas ressenti le même élan !
    Plutôt curieux en fait ?
    À voir donc pour un tas de raisons variées et différentes, même si on n'en ressort pas pour autant champion d'échec !
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    139 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 avril 2015
    Depuis Les Combattants de Thomas Cailley (César 2014 du Meilleur premier film), on n’avait pas vu de scénario français aussi fin et inventif tout en étant précis - presque scolaire - et bien ficelé. Le film est enthousiasmant et touchant, même dans ses passages attendus et ses personnages secondaires archétypaux.

    Le spectateur découvre la vie des tournoi d'échecs, en étant enfermé dans un hôtel de luxe au milieu de l'émulation de cavaliers, de dames et de fous. En mode colonie de vacances, la bande d'amis de Cal redouble d’idées de paris pour s'occuper entre les matchs : chat striptease, pyramide de meubles, jeux d’alcool en tous genres... Drôles et sales gosses, ils donnent beaucoup de charme au film.

    Plus sombre est le parcours de Lou (Lou de Laâge), concurrente du tournoi et petite amie de Cal, qui mène un combat usant contre la misogynie du monde des échecs : un personnage tragique porté par une partition intelligente.

    Le grand risque que courait Le Tournoi, c’était le mauvais kitsch. Grâce à la densité du scénario, l’écueil est assez bien évité, à l’exception d’une photo qui aurait mérité d’être plus "léchée" et d'une musique parfois déroutante.

    Bref, Le Tournoi est un film fin, drôle et bien ficelé !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 avril 2015
    Pour son premier film, Elodie Namer nous entraîne dans le monde des échecs. Placée au sein d'un tournoi international, le film nous fait découvrir l'avant, le pendant et l'après de cet univers trop souvent méconnu. De la compétition acharnée entre jeunes prodiges aux festivités nocturnes en passant par les préparations d'avant match, le film, rythmé et captivant, nous fait ressentir toutes les émotions des protagonistes, comme si, nous aussi nous prenions part à la compétition.

    Je vous conseille, vous aussi, de goûter à cette compétition. A vous de jouer. Les noirs appuient et les blancs jouent.
    Piwi47
    Piwi47

    46 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2015
    Le Tournoi est sorti discrètement dans les salles. Pourtant, ce premier film d’Élodie Namer mérite davantage l’attention car c’est peut-être la surprise française de ce mois de mai, voire de ce premier semestre 2015. Imparfait mais bourré de qualités, d’envies, de fulgurances, Le Tournoi détonne complètement au sein du paysage cinématographique hexagonal actuel et fait l’effet d’une (petite) bombe. Le récit est simple : Cal, un jeune prodige des échecs, participe à un tournoi (celui du titre) à Budapest entouré de son équipe et de son mentor. Ensemble, ils espèrent bien connaître l’ascension vers la victoire. En s’intéressant au cadre original et privilégié d’un tournoi d’échecs, Elodie Namer offre aux spectateurs un scénario inventif et bien ficelé, où se mélange pêle-mêle des combats acharnés autour des échiquiers, la pression des tournois, l’exaltation des réussites, la rage des défaites mais pas seulement. Le Tournoi permet à la jeune cinéaste de bâtir un propos sombre et plus malin qu’il n’y paraît sur la déshumanisation de ce type de confrontations, qui abrasent parfois les émotions, étape directe (voire nécessaire ?) vers le succès. L’influence majeure semble être l’auteur Bret Easton Ellis, avec ses personnages qui relèvent de spectres, déambulant dans une espèce de purgatoire (ici l’hôtel de luxe hongrois), dont l’aspect excessif (la bande d’amis s’adonnent à toutes sortes de superstitions, paris et rituels entre les matches : d’un mixage du chat perché et du strip-poker à une pyramide de meubles dans la chambre, en passant par des parties de jambes en l’air, des jeux à boire ou des prières matinales) cache en réalité des relations froides et désincarnées. Plus tragique encore est le parcours de Lou, protagoniste féminin du Tournoi et petite-amie de Cal, dont le combat est davantage celui de lutter contre la misogynie du monde des échecs pour s’affirmer. Riche en atmosphère singulière, Le Tournoi ressemble parfois à l’univers romanesque de Sofia Coppola, loin de tout naturalisme, près d’une certaine grâce. Elodie Namer pose un regard attendri et pur, presque poétique, sur ces jeunes sportifs mentaux, des figures errantes et lasses du monde environnant, souvent trop rapide, trop bruyant, trop diachronique pour elles. Bémol en revanche du côté de certains personnages secondaires, caractérisés comme des archétypes et dont l’évolution prend une tournure attendue. De même, on regrettera certains clichés usants sur le lien qui unit un entraîneur et son élève.

    Fort heureusement, le casting séduisant a de la gueule : Lou de Laâge (aperçue dans Jappeloup en 2013, nommée cette année aux César du meilleur espoir pour Respire) livre une prestation concluante en incarnant avec brio un rôle beau et bien écrit. De son côté, le jeune boxer Michelangelo Passaniti, alias Cal, est convaincant (même s’il doit encore faire ses preuves) en surdoué au physique carré. L’alchimie est là, et accrédite les questionnements autour des relations humaines. Bon point également sur le plan formel : la mise en scène d’Élodie Namer est dynamique et inspirée (travellings gracieux, travail sur la symétrie et la mobilité des formes, évitement du statisme de la discipline en veillant à éviter les redondances), la photographie léchée, armée de lumières aux couleurs saturées et contrastées. Quant à la bande-son envoûtante, tantôt robotique, tantôt organique, composée par le talentueux Dombrance (un fan de Carpenter), elle tient une place primordiale en participant à l’ambiance si particulière du long-métrage. Félicitations à Elodie Namer qui, en transformant une salle de tournoi d’échecs en un lieu troublant, à la fois sexy, flippant et attirant, a réussi une première œuvre prometteuse, mêlant récit d’initiation prenant, teen-movie habile et fable pop intelligente.
    Pauline_R
    Pauline_R

    179 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 avril 2015
    Un premier film plutôt sympa et prenant même s'il n'évite pas certains clichés et certaines invraisemblances. Si les scènes de fêtes et beuveries entre deux tours semblent assez peu crédibles, celles du tournoi sont plutôt réussies et bien étudiées, ce qui fait que le film oscille sans cesse entre mise en scène pop certes parfois recherchée mais un peu too much et réalisme du milieu de la compétition des échecs vraiment intéressant. Le scénario en lui-même est sans grosses surprises, on devine un peu la tournure des événements au fur et à mesure que le film progresse, mais on se laisse volontiers porter par l'ambiance de compétition et les enjeux qui en découlent pour le personnage principal. Les jeunes comédiens sont plutôt bons même si les seconds rôles sont un peu caricaturaux : Michelangelo Passaniti, de tous les plans, a une vraie présence, bien qu'un peu monoexpressif, et Lou de Laage "bouffe" l'écran à chacune de ses apparitions.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 mai 2015
    Une plongée au coeur de l’univers des échecs, ce monde mystérieux qui ne laisse rien transparaître, un monde exaltant où les plus fins stratèges s’affrontent à coup de bluff, de combats acharnés, de tactiques déstabilisantes et de calculs machiavéliques, un monde fascinant qui révéla les limites de l’homme face aux machines (citons la célèbre partie remportée par l’ordinateur Deep Blue face au champion du monde Garry Kasparov en 1997, souvent controversée depuis lors). Le tableau séduit d’entrée de jeu.

    Mais ne nous y trompons pas : Le Tournoi est avant tout l’histoire d’un jeune espoir, « programmé » pour gagner. La réalisatrice Elodie Namer raconte : « L’enjeu [du film], c’est de comprendre comment Cal s’affranchit de l’emprise de son esprit. Comment le robot s’humanise et devient autre chose qu’un cerveau sur pattes. »

    Les échecs ne sont finalement qu’un prétexte à ce portrait d’un joueur blasé et suffisant, pour qui l’avenir semblait tout tracé, qui se retrouve à perdre pied face à un adversaire insaisissable.

    L’intérêt du film réside dans sa façon de capter l’enfermement des joueurs, déconnectés de la réalité, prisonniers dans un hôtel oppressant où l’on tue le temps en se lançant des défis débiles ou en enchaînant les cuites entre deux parties. Filmés à huis clos, les joueurs tombent les masquent et révèlent que derrière la maîtrise extrême face à l’échiquier, ils ne sont eux-mêmes que des pions fragiles et puérils, livrés aux mains de leur entraîneur. [...]
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 avril 2015
    Un super premier film, qui nous fait rentrer dans le monde des échecs comme personne ne l'a imaginé. Des acteurs touchants. Le tout rythmée par une BO incroyable.
    Le cinéma français accueille de nouveaux talents !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 avril 2015
    Film vu à l'avant-première de Cannes.

    Le Tournoi est ce genre de film que l'on ne risque pas d'oublier après l'avoir vu : intense, rythmé captivant et même envoûtant, il nous propose une balade dans un monde méconnu à la délicieuse complexité : les tournois d'échecs.

    Un jeu d'acteur juste et touchant et une bande originale puissante viennent servir un scénario original dans un univers électrisé où tout est prétexte au jeu et à la fête. Mais au delà de cette ambiance générale, le film amène à un réel questionnement sur des faits de société actuels qui ne laissent personne indifférent.

    Je vous conseille donc vivement d'y goûter, vous ne serez certainement pas déçus!
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 mai 2015
    Attention aux critiques trop laudatrices, certes le film est très élégant techniquement (son, photos, cadrages, etc....), mais force est de constater que le scénario n'a pas beaucoup de surprises, et que les personnages pour moi n'ont pas eu vraiment d'émotions, ressemblant parfois à des mécaniques bien huilées dans leur interprétation et dans des rôles plutôt convenus spoiler: (l'enfant prodige, le champion de France, le mentor abusif)......
    Au crédit du film cependant, et là c'est une douce virtuosité, c'est la métaphore amoureuse de la partie d'échecs, qui est le moment le plus fort du film, je ne dévoile pas le pitch......On admettra aussi que les parties d'échecs sont bien scénarisées ainsi que l'atmosphère des compétitions......Il m'a manqué simplement une tension, que ce soit dans les émotions amoureuses, ou les compétitions d'échecs, et une plus grande profondeur psychologique des personnages (là ils manquent d'une certaine maturité) bref une touche plus sombre de thriller, et un peu de folie dans les dialogues....le film se voit quand même avec un certain plaisir......
    Septième Sens
    Septième Sens

    87 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 avril 2015
    Sur un principe original (tournoi d'échec en huis-clos dans un hôtel), la réalisatrice s'est trompée sur tout la ligne. Accumulant les clichés (figure pourrie de l'entraineur, copain d'échec puceau, surdoué arrogant), tout son récit est desservi par l'angle choisi : Cal. Ici, la narration doit être prise à la première personne et le spectateur a pour but de s'identifier directement à ce jeune homme. Tout le poids du scénario se retrouve sur les épaules du frêle Michelangelo Passaniti, et finit vite par s'écrouler. Ce dernier s'avère interpréter son rôle avec très peu de nuances. Ne souriant jamais, il est également incapable de réagir à n'importe quel évènement. Le spectateur suit donc un mur du début à la fin, et passe à côté d'une histoire lourde et sans relief. Echec.

    L'histoire d'amour entre Cal et Lou aurait pu être pertinente, novatrice et furieuse. Il n'en est rien. Leurs disputes sonnent faux et le public anticipera leurs dialogues avec un coup d'avance. Cette volonté enfin d'inscrire le récit dans une ambiance psychédélique enfonce définitivement le clou du mauvais goût. En effet, le tournoi n'est ni un thriller, ni un polar, ni un film psychologique. Seulement un hors-sujet avec quelques bonnes intentions. Echec et mat.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 avril 2015
    J'ai bien aimé ce film. Bien joué et bien réalisé. Il décrit avec justesse l'univers confiné de la compétition lors d'un tournoi d'échecs. On découvre la dictature du résultat, le titre de champion de France impliquant de gagner constamment, d'avoir un état d'esprit belliqueux, sans état d'âme. On ressent l'autarcie inhérente à ce sport cérébral dans un environnement quasi carcéral, mais aussi une relative phallocratie traitée lors d'un scène entre le champion et sa "maitresse", joueuse désespérée de ne pas être considérée comme les hommes. La scène finale m'a beaucoup plu, mais je ne vous dévoilerai rien... Bref, vous l'aurez compris, ce film est réussi les acteurs incarnent à merveille ces joueurs "froids" presque sans émotions.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 avril 2015
    Pour un premier film, la réalisatrice nous offre un huis-clos passionnant dans le monde des échecs. Un scénario simple et efficace porté par une lumière et une bande-son lumineuse, et par des acteurs impressionnants de naturel.
    Je ne sais pas si c'était le but, mais c'est en plus un beau film sur le passage à l'âge adulte. Une réussite. Et j'espère qu'Élodie Namer nous en offrira d'autres...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 avril 2015
    Certes quelques clichés et quelques scènes sans surprise, mais le film reste très agréable à regarder et bien rythmé. Surtout, le monde des échecs est très bien abordé, spoiler: pendant la partie à l'aveugle par exemple
    et le scénario parvient tout de même à éviter trop de bons sentiments ou de lieux communs spoiler: (pas de réconciliation entre Cal et Lou)
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