Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Elle
par Alix Girod De L'Ain
Le premier film d'Elodie Namer, hypnotique et vibrant, est une réussite.
Paris Match
par Alain Spira
"Le tournoi" bénéficie d'une mise en scène très réfléchie, d'une musique pertinente et d'une photographie léchée (...). Bravo, Elodie Namer, avec ce film, vous avez gagné votre pari et votre partie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Express
par Christophe Carrière
C'est bien parce qu'Elodie Namer raconte plus les relations humaines qu'une "success story" que son "Tournoi" fédère. Qu'on connaisse ou non les règles du jeu.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Riche en atmosphère, en vertigineuses parties mentales, en superstitions et en pétages de plomb, ce film pousse aussi un pion non négligeable dans la partie : Michelangelo Passaniti, alias Cal, en fauve de cinéma et qui a été boxeur. Voilà un acteur qui n’est pas voué à l'échec.
Les Fiches du Cinéma
par La Rédaction
L'ensemble est émouvant, instructif, efficace.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Elodie Namer signe un premier film non exempt de clichés, mais original dans sa manière de mêler récit d'initiation, teen-movie et fable aux limites du fantastique, sur fond de musique électro. Avec, en prime, des comédiens ultra-séduisants.
CNews
par La Rédaction
Scénariste pour la télévision, Elodie Namer s'est immergée dans le monde des échecs pendant de longs mois. Elle tire de cette expérience un film à la véracité palpable, malgré une mise en scène qui pèche parfois à l'excès d'allégeance aux classiques du 7ème art.
Positif
par Nicolas Bauche
L'exploitation des décors jure un peu avec la réalisation ductile à souhait. C'est dommage (les acteurs Michelangelo Passaniti et Lou de Laäge ont de beaux jours devant eux), le travail intelligent et senti sur la narration laissent augurer le meilleur.
Première
par Hendy Bicaise
Élodie Namer décrit ses doutes (carrière, émois) et les affres du milieu (tricheries, machisme) avec application, faute de passion. (...) on réalise que le film aurait gagné à être plus viscéral et son héros plus bestial.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Leslie Guyomard
Un premier film sur la jeunesse et le passage à l’âge adulte plutôt habile, qui assume le regard épuré de sa réalisatrice...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une plongée dans le monde des échecs et de la compétition, où les affres du personnage donnent lieu à un film qui s’essaie à donner le tournis.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Ce premier film d'Elodie Namer s'avère sombre dans la forme, répétitif dans le fond.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un scénario théorique et une réalisation didactique anéantissent les bennes idées initiales.
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Pas très crédible.
Télérama
par Samuel Douhaire
L'univers de ce premier film est très original. Mais le récit est bien trop confus et la réalisation, qui oscille entre clip vulgaire et spot de pub, gâche tout.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On peut passer son tour.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Soucieuse de compenser le statisme de la discipline, la mise en scène se livre à toutes sortes d'effets vulgaires et clinquants, l'ensemble révélant vite sa nature de teen movie au rabais.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Quentin Descamps
Si l’hôtel de Budapest où se déroule "le Tournoi" n’est qu’opulence, tous les aspects de ce premier long métrage sont d’une indigence peu commune. Echecs et mat, victoire sans appel des banalités.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Une fable pop sur un génie des échecs ? Why not. Hélas, s'il est surprenant de suivre le héros, 22 ans, entre entraînements et beuveries, le film accumule les situations clichées. Ça s'appelle...un échec.
Elle
Le premier film d'Elodie Namer, hypnotique et vibrant, est une réussite.
Paris Match
"Le tournoi" bénéficie d'une mise en scène très réfléchie, d'une musique pertinente et d'une photographie léchée (...). Bravo, Elodie Namer, avec ce film, vous avez gagné votre pari et votre partie.
L'Express
C'est bien parce qu'Elodie Namer raconte plus les relations humaines qu'une "success story" que son "Tournoi" fédère. Qu'on connaisse ou non les règles du jeu.
Le Parisien
Riche en atmosphère, en vertigineuses parties mentales, en superstitions et en pétages de plomb, ce film pousse aussi un pion non négligeable dans la partie : Michelangelo Passaniti, alias Cal, en fauve de cinéma et qui a été boxeur. Voilà un acteur qui n’est pas voué à l'échec.
Les Fiches du Cinéma
L'ensemble est émouvant, instructif, efficace.
Télé 7 Jours
Elodie Namer signe un premier film non exempt de clichés, mais original dans sa manière de mêler récit d'initiation, teen-movie et fable aux limites du fantastique, sur fond de musique électro. Avec, en prime, des comédiens ultra-séduisants.
CNews
Scénariste pour la télévision, Elodie Namer s'est immergée dans le monde des échecs pendant de longs mois. Elle tire de cette expérience un film à la véracité palpable, malgré une mise en scène qui pèche parfois à l'excès d'allégeance aux classiques du 7ème art.
Positif
L'exploitation des décors jure un peu avec la réalisation ductile à souhait. C'est dommage (les acteurs Michelangelo Passaniti et Lou de Laäge ont de beaux jours devant eux), le travail intelligent et senti sur la narration laissent augurer le meilleur.
Première
Élodie Namer décrit ses doutes (carrière, émois) et les affres du milieu (tricheries, machisme) avec application, faute de passion. (...) on réalise que le film aurait gagné à être plus viscéral et son héros plus bestial.
aVoir-aLire.com
Un premier film sur la jeunesse et le passage à l’âge adulte plutôt habile, qui assume le regard épuré de sa réalisatrice...
Le Dauphiné Libéré
Une plongée dans le monde des échecs et de la compétition, où les affres du personnage donnent lieu à un film qui s’essaie à donner le tournis.
Ouest France
Ce premier film d'Elodie Namer s'avère sombre dans la forme, répétitif dans le fond.
Sud Ouest
Un scénario théorique et une réalisation didactique anéantissent les bennes idées initiales.
Télé 2 semaines
Pas très crédible.
Télérama
L'univers de ce premier film est très original. Mais le récit est bien trop confus et la réalisation, qui oscille entre clip vulgaire et spot de pub, gâche tout.
Le Journal du Dimanche
On peut passer son tour.
Le Monde
Soucieuse de compenser le statisme de la discipline, la mise en scène se livre à toutes sortes d'effets vulgaires et clinquants, l'ensemble révélant vite sa nature de teen movie au rabais.
Libération
Si l’hôtel de Budapest où se déroule "le Tournoi" n’est qu’opulence, tous les aspects de ce premier long métrage sont d’une indigence peu commune. Echecs et mat, victoire sans appel des banalités.
Studio Ciné Live
Une fable pop sur un génie des échecs ? Why not. Hélas, s'il est surprenant de suivre le héros, 22 ans, entre entraînements et beuveries, le film accumule les situations clichées. Ça s'appelle...un échec.