Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La double personnalité explosive du héros et une mise en scène brillante font de ce polar original un joyau aussi sombre que brillant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Avec élégance et sensibilité, Jang Jin court-circuite le genre le plus commercial de Corée du Sud pour l’emmener vers des thématiques de cinéma indépendant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sous l’efficacité violente du polar à la coréenne, une ambiguïté qui distille une discrète mélancolie.
Le Figaro
par Etienne Sorin
À la frontière du mélodrame, le polar sud-coréen de Jang Jin est une réussite.
Le Parisien
par Alain Grasset
Un récit bien ficelé sur des personnages incroyables que tout oppose. Du suspens et un bel humour corrosif.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
La croisade sanglante d'un flic à la virilité brutale rêvant secrètement de devenir une femme. Un thriller coréen saisissant. La mélancolie et la nostalgie se marient à une violence aux accès presque sadiques
Metro
par Mehdi Omaïs
En jonglant inventivement avec les codes du polar, cette dinguerie LGBT un brin bordélique dépeint, entre furie et poésie, la recherche identitaire d’un héros attachant dont le bruit des talons aiguilles finira par atteindre les oreilles de tous les cinéphiles.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un polar surprenant et racé.
Paris Match
par Alain Spira
Inattendu et surprenant, (un) film d'action flamboyant et sentimental (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Caroline Veunac
Comme simple polar, c'est fun et la greffe trans n'est pas là que pour l'effet de mode.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Ce film assume son côté mélo romanesque, où délicatesse et brutalité réussissent à ne faire qu'un, dans une flamboyance visuelle et scénaristique qui s'achève dans un twist malin.
Voici
par La Rédaction
Un polar qui mêle les codes du genre (violence) à l'originalité et la mélancolie.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Il y a deux films dans Man on High Heels. Le premier est un classique thriller d’action (…) Le second est plus intrigant et intimiste. (…) De ces deux films qui s’opposent, on regrettera que ce soit finalement le thriller, bien plus conventionnel, qui l’emporte sur la fiction transgenre.
L'Obs
par Guillaume Loison
Cette alliance donne au film un charme bizarre, une fragilité aussi. Aux scènes de kung-fu gore succèdent des plans très calmes, spleenétiques, superbement éclairés. Mais le réalisateur manque un peu de doigté pour réussir pleinement son entreprise, et le film tangue trop souvent d’un extrême à l’autre, comme s’il trouvait son bel équilibre un peu par hasard.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Même s’il part dans tous les sens et n’est pas exempt de maladresses, cet ovni se démarque par son originalité.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Troussé avec habileté, le film peut se voir comme une tentative de sortir du placard le cinéma d’action et ses figures viriles à l’homo-érotisme refoulé. Mais il ne bouscule guère les repères du genre.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Ce thriller coréen, dont la seule originalité est de mettre en scène un enquêteur transsexuel, ne convainc pas vraiment malgré le brio de sa réalisation et le charisme certain de son interprète principal.
Positif
par Eithne O'Neill
En multipliant les épisodes, Jang Jin nuit au tempo de son thriller duquel l'humour s'éteint au fil des minutes. Restent la thématique audacieuse, délicatement abordée, et la belle qualité plastique et iconique de l'ensemble.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le mélange des genres est la grande spécialité du cinéma coréen. Dans Man on high heels, la trame plutôt conventionnelle du film de gangsters est pimentée par un humour très noir, volontiers trash et, surtout, par le recours au mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Avec tout le décorum esthétique des productions sud-coréennes, tantôt chichiteuses, extrêmes ou virtuoses, le réalisateur captive en délivrant un message de liberté absolue qui éconduit les aigreurs psychopathes des grandes productions locales.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Didier Péron
L’héroïsation combative est quand même bien du côté du masculin et à la fin, rentré dans le rang et même un peu barbu, il est suggéré que son ancien désir d’être une femme persiste par le détail croustillant du petit doigt en l’air. Hum…
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Benoît Smith
"Man on High Heels" arbore de grands airs et un lourd sujet de société, mais en s’efforçant de briller à chaque scène, il survole l’alliance étrange de dureté et d’émotion qu’il promet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
La double personnalité explosive du héros et une mise en scène brillante font de ce polar original un joyau aussi sombre que brillant.
CinemaTeaser
Avec élégance et sensibilité, Jang Jin court-circuite le genre le plus commercial de Corée du Sud pour l’emmener vers des thématiques de cinéma indépendant.
Le Dauphiné Libéré
Sous l’efficacité violente du polar à la coréenne, une ambiguïté qui distille une discrète mélancolie.
Le Figaro
À la frontière du mélodrame, le polar sud-coréen de Jang Jin est une réussite.
Le Parisien
Un récit bien ficelé sur des personnages incroyables que tout oppose. Du suspens et un bel humour corrosif.
Les Inrockuptibles
La croisade sanglante d'un flic à la virilité brutale rêvant secrètement de devenir une femme. Un thriller coréen saisissant. La mélancolie et la nostalgie se marient à une violence aux accès presque sadiques
Metro
En jonglant inventivement avec les codes du polar, cette dinguerie LGBT un brin bordélique dépeint, entre furie et poésie, la recherche identitaire d’un héros attachant dont le bruit des talons aiguilles finira par atteindre les oreilles de tous les cinéphiles.
Ouest France
Un polar surprenant et racé.
Paris Match
Inattendu et surprenant, (un) film d'action flamboyant et sentimental (...).
Première
Comme simple polar, c'est fun et la greffe trans n'est pas là que pour l'effet de mode.
Studio Ciné Live
Ce film assume son côté mélo romanesque, où délicatesse et brutalité réussissent à ne faire qu'un, dans une flamboyance visuelle et scénaristique qui s'achève dans un twist malin.
Voici
Un polar qui mêle les codes du genre (violence) à l'originalité et la mélancolie.
Cahiers du Cinéma
Il y a deux films dans Man on High Heels. Le premier est un classique thriller d’action (…) Le second est plus intrigant et intimiste. (…) De ces deux films qui s’opposent, on regrettera que ce soit finalement le thriller, bien plus conventionnel, qui l’emporte sur la fiction transgenre.
L'Obs
Cette alliance donne au film un charme bizarre, une fragilité aussi. Aux scènes de kung-fu gore succèdent des plans très calmes, spleenétiques, superbement éclairés. Mais le réalisateur manque un peu de doigté pour réussir pleinement son entreprise, et le film tangue trop souvent d’un extrême à l’autre, comme s’il trouvait son bel équilibre un peu par hasard.
Le Journal du Dimanche
Même s’il part dans tous les sens et n’est pas exempt de maladresses, cet ovni se démarque par son originalité.
Le Monde
Troussé avec habileté, le film peut se voir comme une tentative de sortir du placard le cinéma d’action et ses figures viriles à l’homo-érotisme refoulé. Mais il ne bouscule guère les repères du genre.
Les Fiches du Cinéma
Ce thriller coréen, dont la seule originalité est de mettre en scène un enquêteur transsexuel, ne convainc pas vraiment malgré le brio de sa réalisation et le charisme certain de son interprète principal.
Positif
En multipliant les épisodes, Jang Jin nuit au tempo de son thriller duquel l'humour s'éteint au fil des minutes. Restent la thématique audacieuse, délicatement abordée, et la belle qualité plastique et iconique de l'ensemble.
Télérama
Le mélange des genres est la grande spécialité du cinéma coréen. Dans Man on high heels, la trame plutôt conventionnelle du film de gangsters est pimentée par un humour très noir, volontiers trash et, surtout, par le recours au mélodrame.
aVoir-aLire.com
Avec tout le décorum esthétique des productions sud-coréennes, tantôt chichiteuses, extrêmes ou virtuoses, le réalisateur captive en délivrant un message de liberté absolue qui éconduit les aigreurs psychopathes des grandes productions locales.
Libération
L’héroïsation combative est quand même bien du côté du masculin et à la fin, rentré dans le rang et même un peu barbu, il est suggéré que son ancien désir d’être une femme persiste par le détail croustillant du petit doigt en l’air. Hum…
Critikat.com
"Man on High Heels" arbore de grands airs et un lourd sujet de société, mais en s’efforçant de briller à chaque scène, il survole l’alliance étrange de dureté et d’émotion qu’il promet.