Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
CNews
par La rédaction
David Gordon Green montre une subtilité certaine à décrire la bascule entre la facile tentation d’abandonner la lutte, et l’acceptation d’un combat injuste pour continuer à vivre.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ce que dessine plus largement le film, mais en creux, c’est le portrait d’une Amérique ordinaire minée par l’autodépréciation, voire la dépression. (…) Voilà en quoi, Stronger est un film plus retors et personnel que son apparat balisé ne le laissait craindre.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un film poignant sur la reconstruction d'un homme, incarné par Jake Gyllenhaal, bluffant.
Paris Match
par Yannick Vely
Respectueux. C'est le premier mot qui vient à l'esprit après la projection du beau et fort «Stronger».
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par François Rieux
Une œuvre inspirée de faits réels avec un Jake Gyllenhaal impressionnant de sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Avec "Stronger", David Gordon Green livre un mélodrame biographique sans panache, heureusement sauvé par son formidable duo Gyllenhaal-Maslany.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
L'intention est inattaquable. La démonstration gagnerait en efficacité si elle était moins... démonstrative.
Le Parisien
par Catherine Balle
C'est une histoire comme le cinéma américain les adore : celle d'un homme ordinaire devenu un héros. Pendant sa première partie, "Stronger" est pourtant un film un peu plus subtil que cela. (...) On regrette la fin, plus patriotique et convenue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Fabien Baumann
Malgré la réalisation passe-partout de David Gordon Green (...) "Stronger" vous offre cette plongée dans l’immonde de la violence, ce moment atroce, incroyablement choquant, terriblement puissant.
Voici
par Lola Sciamma
L'histoire vraie d'un garçon qui perd ses jambes dans les attentats de Boston en 2013, mais gagne le coeur de celle qu'il veut reconquérir. Héros malgré lui d'une Amérique qui en a fait un symbole.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
D’abord pudique et mesuré, David Gordon Green filme la solitude autodestructrice du héros (Jake Gyllenhaal, impeccable dans la douleur silencieuse). Mais ce prometteur point de vue, hélas, disparaît au profit, dans la dernière ligne droite, d’une reconstitution frontale et inutile de l’explosion, avec gros plans sur les moignons sanglants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La leçon de courage et de dépassement de soi dérape un peu dans les bons sentiments et le patriotisme.
Libération
par Julien Gester
A partir de prémices posées avec un trait sensible, entre les différentes pistes qui s’offrent à lui, "Stronger" refuse de choisir, traitant ainsi de front (et mal) à la fois l’histoire d’amour d’un corps mutilé, l’initiation qui en découle |...] et l’étrangeté de cette condition de héros malgré lui et supplicié, désigné par tous comme tel seulement parce qu’il se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Samuel Douhaire
Le récit de la rééducation, puis de la résilience de cet homme ordinaire devenu héros américain laissait craindre une déferlante de pathos. David Gordon Green, cinéaste talentueux (Prince of Texas), quoique inégal (Manglehorn, avec Al Pacino), a bien tenté de la contenir. Mais la mission était quasi impossible face au numéro doloriste de Jake Gyllenhaal, cabotin au-delà du pénible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Choury
Incapable de tenir sa note initiale, "Stronger" se vautre, dans sa dernière partie, dans le pire de ce que l’académisme hollywoodien ait pu produire ces dernières années : performance actorale doloriste, chantage larmoyant et images choc et putassières.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Cette histoire vraie ne surprend pourtant pas une seconde. Elle est pétrie de faux bons sentiments, de mâchoires crispées à l'excès, de coups d'œil pleins de sous-entendus... trop attendus.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
"Stronger" déroule ainsi le récit d’une guérison physique et morale qui devient celle de l’Amérique tout entière. Pas la moindre attention pour les causes extérieures de drame, mais l’apologie édifiante d’un héros exemplaire.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Pâteux, gluant, niais, le film semble réalisé machinalement par un cinéaste soucieux d’ajouter sa pierre au genre “post-trauma” qui sévit actuellement à Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CNews
David Gordon Green montre une subtilité certaine à décrire la bascule entre la facile tentation d’abandonner la lutte, et l’acceptation d’un combat injuste pour continuer à vivre.
Cahiers du Cinéma
Ce que dessine plus largement le film, mais en creux, c’est le portrait d’une Amérique ordinaire minée par l’autodépréciation, voire la dépression. (…) Voilà en quoi, Stronger est un film plus retors et personnel que son apparat balisé ne le laissait craindre.
Femme Actuelle
Un film poignant sur la reconstruction d'un homme, incarné par Jake Gyllenhaal, bluffant.
Paris Match
Respectueux. C'est le premier mot qui vient à l'esprit après la projection du beau et fort «Stronger».
Première
Une œuvre inspirée de faits réels avec un Jake Gyllenhaal impressionnant de sobriété.
Ecran Large
Avec "Stronger", David Gordon Green livre un mélodrame biographique sans panache, heureusement sauvé par son formidable duo Gyllenhaal-Maslany.
L'Express
L'intention est inattaquable. La démonstration gagnerait en efficacité si elle était moins... démonstrative.
Le Parisien
C'est une histoire comme le cinéma américain les adore : celle d'un homme ordinaire devenu un héros. Pendant sa première partie, "Stronger" est pourtant un film un peu plus subtil que cela. (...) On regrette la fin, plus patriotique et convenue.
Positif
Malgré la réalisation passe-partout de David Gordon Green (...) "Stronger" vous offre cette plongée dans l’immonde de la violence, ce moment atroce, incroyablement choquant, terriblement puissant.
Voici
L'histoire vraie d'un garçon qui perd ses jambes dans les attentats de Boston en 2013, mais gagne le coeur de celle qu'il veut reconquérir. Héros malgré lui d'une Amérique qui en a fait un symbole.
L'Obs
D’abord pudique et mesuré, David Gordon Green filme la solitude autodestructrice du héros (Jake Gyllenhaal, impeccable dans la douleur silencieuse). Mais ce prometteur point de vue, hélas, disparaît au profit, dans la dernière ligne droite, d’une reconstitution frontale et inutile de l’explosion, avec gros plans sur les moignons sanglants.
Le Journal du Dimanche
La leçon de courage et de dépassement de soi dérape un peu dans les bons sentiments et le patriotisme.
Libération
A partir de prémices posées avec un trait sensible, entre les différentes pistes qui s’offrent à lui, "Stronger" refuse de choisir, traitant ainsi de front (et mal) à la fois l’histoire d’amour d’un corps mutilé, l’initiation qui en découle |...] et l’étrangeté de cette condition de héros malgré lui et supplicié, désigné par tous comme tel seulement parce qu’il se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment.
Télérama
Le récit de la rééducation, puis de la résilience de cet homme ordinaire devenu héros américain laissait craindre une déferlante de pathos. David Gordon Green, cinéaste talentueux (Prince of Texas), quoique inégal (Manglehorn, avec Al Pacino), a bien tenté de la contenir. Mais la mission était quasi impossible face au numéro doloriste de Jake Gyllenhaal, cabotin au-delà du pénible.
Critikat.com
Incapable de tenir sa note initiale, "Stronger" se vautre, dans sa dernière partie, dans le pire de ce que l’académisme hollywoodien ait pu produire ces dernières années : performance actorale doloriste, chantage larmoyant et images choc et putassières.
Le Figaro
Cette histoire vraie ne surprend pourtant pas une seconde. Elle est pétrie de faux bons sentiments, de mâchoires crispées à l'excès, de coups d'œil pleins de sous-entendus... trop attendus.
Le Monde
"Stronger" déroule ainsi le récit d’une guérison physique et morale qui devient celle de l’Amérique tout entière. Pas la moindre attention pour les causes extérieures de drame, mais l’apologie édifiante d’un héros exemplaire.
Les Inrockuptibles
Pâteux, gluant, niais, le film semble réalisé machinalement par un cinéaste soucieux d’ajouter sa pierre au genre “post-trauma” qui sévit actuellement à Hollywood.