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lionelb30
435 abonnés
2 590 critiques
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2,5
Publiée le 23 septembre 2019
Frustrant car monte differement , cela aurait etait un tres bon film. Beaucoup trop long et les allers retours dans le temps gache l'ensemble. Un film plus court et dans l'ordre chronologique serait excellent.
Je n'ai pas lu livre mais cette adaptation cinématographique m'a beaucoup plu. C'est classique, académique et j'aime cela. Il faut découvrir cette jolie histoire dramatique. Pour ma part, aucun moment d'ennui car j'étais à fond dedans, sans décrocher, malgré la longueur.
Film d'un grand ennui avec énormément de longueur surtout dans la première partie. L'histoire n'est pas rendue très intéressante. On ne ressent pas grand chose alors qu'un film sur le relationnel s'y prête. Académique, lisse avec une réalisation anodine. On ne s'attache pas vraiment aux personnages et on les regarde d'un point de vue extérieur. Dommage.
Film remarquable et d'une grande puissance émotionnelle. Voilà du cinéma excellent que ce soit du point de vue psychologique que du point de vue de pur divertissement. Je suis sortie de la séance émue et bouleversée. Pour moi c'est le meilleur film dans les salles pour ce mois de septembre.
L'histoire intrigue dès le départ car elle repose sur un mystère. On ne découvre l'histoire complète et toute la vérité que par petites touches sur 2h30. J'ai trouvé le temps long. Je n'ai pas vraiment accroché avec l'histoire trop alambiquée ni avec les personnages, même si on peut dire que le jeune acteur joue très bien.
J'attendais beaucoup de cette adaptation du roman éponyme de Donna Tartt publié en 2013, surtout avec Ansel Elgort et Nicole Kidman en têtes d'affiche. A l'arrivée, je reste totalement sur ma faim, l'histoire possède pas mal de longueurs sans vraiment réussir à captiver, la durée totale de 2h30 dilue un peu trop à mon avis l'essence profonde de cette production. Tout n'est pas à jeter dans cette intrigue mêlant l'art à une forme de soutien psychologique, ce tableau de Carel Fabritius représentant un oiseau multicolore mangeur de chardons va véritablement être salvateur pour notre jeune héros ayant perdu sa mère dans un attentat lorsqu'il avait 13 ans. Pas génial, pas nul, ce film est juste moyen, et c'est bien dommage. Site www.cinemadourg.free.fr
Le réalisateur adapte ce roman avec beaucoup de sobriété et d'élégance pour raconter ce drame romanesque. Par ailleurs, c'est très riche et foisonnant j'ai trouvé. Aussi, la narration enchâsse différentes temporalités pour ménager le suspense. Un joli bijou dramatique je trouve.
Nous avons là un film intelligent, d'une immense sensibilité, très prenant et du coup j'ai beaucoup de mal avec ceux qui ont trouvé à chipoter. Enfin bref, moi je l'ai trouvé excellent et je pense même le revoir et lire le livre.
Ce film est adapté d'un roman. J"ai trouvé cette histoire un peu trop longue et confuse mais c'est vraiment très beau et très émouvant. Il faut être très attentif, bien suivre tout le film pour bien tout comprendre, notamment cette histoire de tableau. Bref, c'est un film de qualité, très intéressant et bouleversant.
l'histoire est un peu fouillis, 2 heures pour raconter la reconstruction d'un enfant marqué par la mort de sa mère... et 30 minutes pour l'histoire du tableau et son parcours.je me suis plus intéressé et sentie ému par l'enfance que la partie adulte .
Le roman dont ce film est une adaptation fait un millier de pages ! On se doute bien du défi que constitue une transposition à l’écran, même au prix d’une longueur inhabituelle (2h30). Les lecteurs de l’œuvre littéraire, surtout s’ils l’ont appréciée (comme ce fut un best-seller il est probable que le public est là), s’attarderont sans doute sur les réussites, manques, insuffisances voire trahison de l’écrit. Terrain sur lequel, je ne saurais personnellement venir n’ayant aucune connaissance du roman ni de son auteur et, peut-être à tort mais assurément à cause du film, n’ayant pas spécialement envie de cette découverte ! Cette critique se limitera donc à apprécier ce film pour ce qu’il est. Long ! Ce qui est de nature à mener à de l’ennui même si quelques moments raccrochent l’attention. D’autant que le procédé narratif est complexe : aucune chronologie stricte mais une superposition de deux périodes. Pendant le drame : une explosion dans un musée. Et la souffrance de l’enfant rescapé au fil des ans ensuite. Avec une petite intrigue sur ce qui s’est passé et s’est dit dans les décombres du musée, scène survolée au début et appelée à être développée ensuite pour les besoins du scénario. Un fil conducteur nous menant au monde de l’art, aux trafics, à la criminalité. Ça fait beaucoup de choses pour ce qui est classé dans le registre du drame (psychologique essentiellement) et non pas du thriller (qui aurait pu être psychologique aussi mais se situe davantage ici dans d’autres registres). Et puis le tableau, Le Chardonneret, qui dans la vraie vie a sa propre place dans l’Histoire de l’art avec un H majuscule, circonstances auquel le récit fait écho. Bref, beaucoup de thèmes mais traités (limite maltraités) de manière assez fouillis.
Je n'ai pas lu le livre dont le film est tiré, il parait qu'il est formidable. Le bouche à oreille disait que c'était très mal adapté. Je veux bien le croire, j'ai trouvé cela raté. L’histoire aurait pu être attachante, voir captivante, mais elle est particulièrement mal traitée. Très vite on perd tout intérêt et on se fiche peu à peu de ce qui va bien pouvoir advenir du héros. Le tout est assez froid et sans émotion, le récit éclaté sur plusieurs époques. Peut être aussi la faute à l'acteur Ansel Elgort qui manque un peu d’épaisseur et de charisme pour le rôle. Il ne nous fait pas vraiment passer les sentiments de douleur et de culpabilité que ressent le personnage. Nicole Kidman est comme toujours impeccable, Jeffrey Wright très bien, et le jeune Oakes Fegley très prometteur. Quelques jolies scènes, notamment toutes celles à Las Vegas, mais aussi beaucoup de longueurs, le film dure 2h30. De plus, la mise en scène n'a rien de mirobolante. John Crowley (Boy A, Brooklyn) nous avait habitué à mieux. Par contre, la photo est sublime. Bref, on s'ennuie un peu devant ce film un peu trop lisse. Dans d'autres mains peut être...
J'ai beaucoup apprécié ce film que j'ai vu cet après-midi dans une grande salle où nous n'étions que deux spectateurs... l'idéal, selon mes critères perso !
J'ignorais qu'il était adapté d'un livre. Je m'en vais de ce pas voir ça de plus près.
Difficile de prime abord de comprendre pourquoi cette adaptation d’un récent prix Pulitzer (qui récompense un roman américain de qualité), ait été à ce point conspué lors du dernier festival international du film de Toronto. On se dit que cela doit venir pour la plupart de la déception, relativement courante, des lecteurs voyant leur œuvre littéraire adorée se voir trahir sur grand écran. Il n’est en effet pas toujours facile de transposer un récit de la page à l’image. Surtout un bouquin comme celui-ci, monstre littéraire complexe de près de mille pages. Renseignements littéraires pris, on comprend que de grandes ellipses ont été faites et qu’il est difficile de faire ressortir du film les thèmes centraux du roman tels que le destin, la pérennité de l’art face à la mortalité de l’homme ou les grands maux américains du XXIème siècle. Cela en dépit des deux heures et demie que dure le « Le Chardonneret » version cinéma.
Pourtant, en tant que spectateur neutre, cette adaptation est très loin d’être déshonorante. Elle est même plaisante et on ne trouve quasiment pas de longueurs tant le scénario est dense (même si pas autant que l’œuvre initiale). On pourra juste lui trouver un abus de coïncidences (excusables puisque présentes dans le livre) et une difficulté à trouver une ossature centrale bien définie dans les thèmes de fond abordés comme on le disait plus haut. Mais le défaut majeur dans « Le Chardonneret » version cinéma est son final à Amsterdam mal négocié et vite expédié. Tout comme la manière un peu sibylline dont se conclue le long-métrage. En revanche, on ne peut que saluer la distribution venue de tous bords, jeunes comme moins jeunes, appliquée et concernée et notamment les interprétations du héros enfant puis adulte (Oakes Fegley et Ansel Elgort irréprochables).
On prend plaisir à suivre les errements de cet enfant traumatisé devenu un adulte forcément perturbé sous forme d’un récit d’apprentissage haut de gamme et tumultueux. Si le montage alterné est accessoire, on suit l’évolution de ce garçon et ses turpitudes avec plaisir et presque passion. Il y a beaucoup de rebondissements, la narration est fluide et on navigue entre émotions et questionnements intérieurs sans trop de voix off et avec un intérêt soutenu. De plus, si la mise en scène de Cromwell est académique dans le bon sens du terme, les images du chef opérateur Roger Deakins la magnifient, que ce soit à New York, à Las Vegas ou à Amsterdam. Et il n’y a aucun mal à se retrouver face à une œuvre classique (ce mot a tendance à trop devenir synonyme de banalité et porteur de défauts dans le jargon cinématographique) lorsque le matériau de base l’est également. Et ici, c’est un classicisme propre et pertinent soutenu par une certaine poésie, indicible mais bien présente. « Le Chardonneret » demeure donc un film plaisant et de qualité n’en déplaise au public littéraire qui en fera une œuvre malaimée.
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Au bout de la première moitié, je me demandais où voulait en venir le réalisateur. Et ensuite, tout s'éclaire petit à petit, un peu comme dans le film "Cloud Atlas" ou "Puzzle". Très touchant par moments, le film devient intéressant dans sa globalité. À revoir, pour mettre les différents morceaux dans l'ordre et reapprecier l'ensemble.