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dominique P.
834 abonnés
2 027 critiques
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5,0
Publiée le 28 mars 2019
J'adore les films de Tim Burton, j'aime son univers, son ambiance. Et j'adore également les dessins animés de Disney. Là on a un excellent mélange des deux. Ce n'est pas complètement fidèle, c'est une adaptation certes mais c'est très réussi. C'est magique, féerique, d'une grande beauté émotionnelle et visuelle.
La magie de l'oncle WALT, mélangée à l'imaginaire de Monsieur TIM BURTON, deux univers féériques différents qui s'unissent et donnent naissance en 2019 à ce long métrage nommé DUMBO. Très loin du film d'animation de 1941,cet adaptation nous ouvre les portes d'une aventure drôle, haletante, et spectaculaire. Avec les couleurs de CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE, le cinéaste peint ce long-métrage en nous invitant à retrouver notre âme d'enfant. Le petit train à l'image du dessin animé, nous fait voyager en compagnie d'un modeste petit cirque, sur les voies de l'Amérique du sud. Dans le film original, la souris TIMOTHEE est le guide de DUMBO, en 2019 une retraite s'impose pour celle-ci, si bien qu'elle ne figure que dans une simple cage aménagée, laissant sa place à deux charmants enfants accompagnés de leur père. Une réalisation aux idées pleines de créativités, qui provoque de l'empathie et insuffle de la poésie. Que dire de cette musique si merveilleuse du compositeur DANNY ELFMA? Tout simplement quelle fait partie des composants qui constituent cette signature si particulière de Monsieur TIM BURTON. Nous retrouvons avec joie DANNY DE VITO face à MICHAEL KEATON (que ce réalisateur avait réunis en 1992 dans BATMAN LE DEFI), et un première collaboration de l'acteur COLLIN FARELL. Le coté glamour de l'actrice EVA GREEN n'échappe pas à la caméra, la nouvelle muse de ce metteur en scène, déjà présente dans DARK SHADOWS et MISS PEREGRINE ET LES ENFANTS PARTICULIERS. Le rendu de DUMBO symbolise à lui seul le tour de force des effets spéciaux. Ce film dont toute chorégraphies confondues (scènes d'actions, numéros de cirque, prises de vue, montage) devant la baguette de ce chef d'orchestre, donnent une énergie dynamique pour cette histoire palpitante, pleine de sentiments. Magnifique, magique, spectaculaire, féérique, poétique. Un bon film familial.
Du Tim Burton sans aucun doute avec ces acteurs fétiches et une histoire fidèle à celle de Disney. Mais un poil trop long qui fait qu'on s'ennuie au bout d'un moment. L'ambiance Tim Burton est hyper présente. Pour les fans !
Un enchantement, un éblouissement, une merveille, un bijou, une prouesse technologique. Quelle bonne idée d'avoir confié à Tim Burton l'adaptation du célèbre éléphant Dumbo ! Ca c'est du cinéma pour tout le monde, pour tous les âges spoiler: (enfin pour ceux qui ne sont pas encore blasés évidemment).
1- J'aime Tim Burton 2- j'ai dû perdre mon âme d'enfant ... Tout ça fait que je me suis moyennement éclatée mais moyennement ennuyée, le film est inégal, certains moments burtoniens excellents, on reconnait son style c'est sûr, mais certains moments un peu insipides, on se sent floué. De façon anecdotique retenons le meilleur moment drôle quand Mickael Keaton ahuri a sa perruque de traviole au milieu du crâne, et ensuite la présence dingue de la petite Nico Parker qui est juste le sosie parfait, que dis-je, le clône de sa mère Thandie Newton. Excellent film pour la jeunesse, décevant film pour les "Burtonistes".
Alors certes, il faut le reconnaître, le petit Dumbo volant est craquant, l'univers de Tim Burton plein de couleurs est bien présent, les prises de vues réelles sont sublimes, le casting est excellent et le monde du cirque du siècle dernier très bien dépeint. Malheureusement, je ne sais pas si c'est la patte Disney coproduisant ce film, mais je suis un peu resté sur ma faim malgré des tas de choses positives dans cette oeuvre pourtant assez bien ficelée. J'ai passé un moment sympathique, mais il manque un je-ne-sais-quoi d'un peu fou, d'un peu "Tim Burton" justement, pour vraiment vibrer et éviter de tomber, comme c'est le cas ici, dans un conte un peu gentillet pour enfants de 10 ans. Plaisant mais pas exceptionnel. Site www.cinemadourg.free.fr
C’est bien sûr extrêmement bien fait mais c’est tout de même un peu mièvre, et on a quand du mal à être tenu en haleine par cette histoire. Déjà que je n’aimais pas trop de dessin-animé...
Un Disney qui a marqué mon enfance, un réalisateur qui en a fait tout autant, des trailers enthousiasmants, tout était réunis pour me donner envie de foncer voir la version live du célèbre éléphanteau volant. En bref, pas le grand retour de Burton mais loin d'être une honte. Visuellement très beau si l'on excepte les quelques plans de début de film dans les champs, tournés en numériques et donnant un aspect très "factice" à l'ensemble . Dumbo en revanche est adorable et je n'ai pu m’empêcher de laisser s'échapper une larmichette lorsque je vit pour la première fois ce souvenir lointain prendre vie sous mes yeux. J'ai également apprécier retrouver la fameuse séquence de la danse des éléphants même si re pensée pour l'occasion. Petit coup de coeur également pour "l'antre des monstres" très réussie, la prestation (et le look) de Michael Keaton ainsi que d'une Eva Green finalement bien meilleure sans 1 tonne de maquillage et avec un jeu plus soft ! A voir pour petits et grand rêveurs !
Dommage, il y avait un énorme potentiel et c'était pas compliqué de faire mieux que l'original. Le Dumbo de Tim Burton (un de mes réalisateurs préférés) n'est pas un mauvais film mais c'est sympa pour plein de raisons : les musiques de l'original ne sont pas présentes, on les entends juste au début deux secondes. Le scénario manque de surprises, la majorité des éléments sont prévisibles. Le début est un peu bâclé, il ne prend pas le temps d'installer correctement les personnages pour qu'on s'y attache directement alors que l'original l'avait très bien fait. Grosse déception pour le rôle d'Evan Green, on l'a voit pas beaucoup. Dernier défaut, le film manque d'émotions fortes. Par exemple, la scène culte de l'original (Dumbo retrouve sa mère en prison) est complètement expédiée dans ce film, donc on ne ressent pas les mêmes émotions du film de 1947. En qualités, la réalisation est excellente, Dumbo est très crédible donc on y croit. Les acteurs sont très biens, aucun ne surjoue. Les personnages sont attachants, la BO de Danny Elfman est pas mal mais elle aurait pu être mieux. L'histoire est sympathique mais il manque de rebondissements. Pour finir, c'est un film sympathique, il est autant bien que le long-métrage de 1947 et il corrige certains défauts de celui-ci mais certaines qualités de l'original sont devenus des défauts dans la version de 2019.
Dumbo est un film somme toute sympathique, avec un message fort bienvenu et un univers plutôt riche, mais qui ne parvient pas à nous embarquer pleinement. La faute à des personnages majoritairement inintéressants et à une histoire qui tire parfois trop sur la corde. Dommage.
Démarrant sur une mélodie connue de toute et tous, Burton signe un remake très loin des éléments de base. Un éléphanteau comme étant le plus connu de la planète qui ne s'offre néanmoins pas l'intégralité des pures émotions du classique animer. Énormément de plans hommage mais trop peu de morceaux musicaux comme présent dans l'autre film, à part et ça aurait du être la larme déclencheurs, la chanson entre notre peluche et sa mère emprisonnée. Et bien ce fut une scène incomplète car la chanson elle-même n'est pas interprétée de manière émotive et les caresses maternelles sont loin de durées autant que dans l'autre Disney. Mais j'avais remarqué à l'époque de la bande-annonce que cette nouvelle aventure était signée Erhen Kruger de la saga "Transformers", mon inquiétude fut immense puisque cet homme à largement favorisé la descente en enfer de cette saga avec des histoires tournant à l’incompréhension ainsi qu'un script parfois très alléger. Et bien ma surprise fut là et le déroulement fut au rendez-vous, à croire que Disney et Burton l'on bien ménager pour ne pas trop catastropher l'animal.
spoiler: Mais s'il on revient justement sur l'histoire en elle-même. On se souvient bien de cette fable de cirque dans laquelle les cigognes posent les nouveaux nés chez leurs parents et comment une gentil souris propulse le petit au sommet de son art ? Et bien pour cette nouvelle volée, c'est le monde infernal du business et des affaire friquées et des très puissants qui prennent le devant. A mon très grand regret puisque Dumbo se concentre sur le cirque et comment faire pour vivre de ce handicap monumentale. Là, le presque capitalisme prend le dessus sur la magie ancestrale Disney et n'est plus de ce ressort magique. Une version bien trop adulte qu'enfantine.
Par contre et c'est bien là ce que je retiendrais le plus de ce nouveau remake, les plans adorable sur la star grise, une bouille qu'on à juste envie de prendre dans ses bras et qu'on ne souhaite plus quitter afin qu'elle ne tombe en de très mauvaises mains. La séquence musicale avec les éléphants violets est très drôle puisque tournant sa tête dans tous les sens, Dumbo prend sa part de rêve et d'enfant à 200% et sa gesticule est juste touchante. Un nouveau remake signé des mains d'un illustre fantassin, mais ne signant guère le meilleur live Disney. Mon chef d'oeuvre incontesté des remake Disney restant encore à ce jour "La belle et la bête". Mais qui sais peut-être sera t-il détrôner dans quelques semaines par "Aladdin" si j'en crois le contenu de la bande-annonce. Affaire à suivre aux pays des milles et unes nuits du cirque volant.
Bien décevant pour un Tim Burton : en fait , n'importe qui aurait pu faire ce film pour enfants .... On cherche en vain une originalité de mise en scène , ou concernant la psychologie des personnages. Le film avance de manière linéaire , sans aucune surprise. Seul le sourire irrésistible de Eva Green m'a sorti de mon ennui ....!
Burton revisite en prises de vue réelles le classique animé de Disney, avec un sens indéniable du grand spectacle, à grand renfort d'artifices en tout genre. C'est gentil, ça se suit sans peine, mais ça laisse l'impression d'un gros gâteau coloré, trop sucré, pas très digeste. Dans cet univers très numérique, les acteurs en chair et en os semblent ou bien perdus, ou bien en surchauffe. On peut nettement préférer l'époque où Burton revisitait Batman...