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Avec toute une belle bande d’acteurs (Eva Green en trapéziste, Michaël Keaton en directeur de parc d’attractions, Danny DeVito en directeur de cirque), Tim Burton redonne vie à un Dumbo plein de conséquences et d’insouciance. Dumbo est un récit d’apprentissage qui nous fait grandir. Tous.
Ce n'est pas seulement un vieux dessin animé au charme irrésistible que Tim Burton remet sur pattes : c'est son cinéma, avec ses pas de côté, dans des mondes imaginaires puissants.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ce film à grand spectacle séduira aussi bien les enfants par sa poésie «burtonesque» et sa charge émotionnelle que les parents nostalgiques de la scène des éléphants roses.
S'il faut une longue demi-heure à Tim Burton pour s'extraire des rails du film original et trouver son rythme, le réalisateur semble ressusciter au fur et à mesure cette fable étonnante, véritable déclaration d'amour au spectacle vivant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Beau, émouvant et subversif, "Dumbo" est à l’image du message qu’il transporte sur ses ailes du désir : celui d’être soi au sein du grand Barnum d’Hollywood.
En résulte un divertissement haut de gamme, porté par un casting quatre étoiles mené par Colin Farrell, impeccable en soldat cowboy qui a perdu un bras et ses illusions sur le front.
"Dumbo", avec ses yeux d'épagneul et ses oreilles de palétuvier, est un animal magique : non seulement il vole, mais nous volons, le cœur content, avec lui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Oui, on plonge sans retenue dans cette formidable histoire remise au goût du jour mais qui parle toujours de la famille, de la différence et, bien sûr, de cette poudre de perlimpinpin qu’on appelle confiance en soi.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Ce conte, visuellement splendide, alterne poésie et nostalgie, humour et cruauté, afin d’ériger l’art comme rempart ultime contre les ravages du capitalisme.
Avant "Le Roi lion" cet été, c'est "Dumbo" qui a les honneurs d'une adaptation en images réelles. Tim Burton y a trouvé un formidable sujet pour parler de la différence et renouveler sa déclaration d'amour au monde du cirque. Son film est un enchantement.
[...] "Dumbo", en même temps qu'un conte pour enfants, donc pour adultes restés lucides, est une fable politique. Burton y poursuit sa réflexion sur le prix et l'émerveillement des foules.
Tim Burton aurait-il entendu les critiques ? Sa version 2019 des aventures de l’éléphant volant n’a jamais été aussi burtonienne, visuellement, émotionnellement et symphoniquement.
La critique complète est disponible sur le site Première
L’auteur d’ "Edouard aux mains d’argent" et de "Big Fish" a sans doute fait des concessions aux studios mais il n’y a pas perdu son âme, et d’ailleurs, si Dumbo est conforme à ce qu’on attend de lui, il n’en est pas moins celui grâce à qui le parc d’attraction du vénal Vandever (Michael Keaton) finit en fumée.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Qui dit cirque dit bêtes de foire, freaks, manchots, femmes à barbe et autres personnages de la famille Burton ; qui dit fin du XIXe dit naissance du cinéma, cette nouvelle forme de spectacle bientôt si populaire qu'elle mettra en scène les mythologies universelles. De l'un et de l'autre Tim Burton ne fait pas grand-chose : les circassiens ne servent qu'à la mécanique de l'intrigue, et le très joli clin d'oeil au cinéma est relégué en pirouette finale.
Avec cette adaptation en prises de vue réelles du classique de Disney, Tim Burton continue d’exploiter le thème de l’enfance désabusée, dans une mise en scène colorée bien qu’un peu trop sage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dumbo reste lui-même un protagoniste discret dans un monde faussement animé, peinant à prendre vie. Baigné de grisaille éléphantesque, ce monde ne sait que faire de cet être merveilleux.
Aucune surprise à ce que le cinéaste américain, alchimiste de débauches visuelles nacrées, nous présente là un autre monde aseptisé. C’est un peu son meilleur atout, du pur spectacle, artificiel et léger. Mais de cette libre adaptation basée sur le livre pour enfants de la romancière Helen Aberson paru en 1939, il ne semble ne donner ni de corps ni d’ailes à personne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
On cherchera donc en vain la poésie dans cette mécanique trop bien huilée où l'émotion reste chevillée au sol, pas aidée par des acteurs qui se bornent à ressortir leurs tics de jeu et par le score fonctionnel d'un Danny Elfman qui ne se réveille que le temps du générique et d'un numéro de cirque.
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Avec toute une belle bande d’acteurs (Eva Green en trapéziste, Michaël Keaton en directeur de parc d’attractions, Danny DeVito en directeur de cirque), Tim Burton redonne vie à un Dumbo plein de conséquences et d’insouciance. Dumbo est un récit d’apprentissage qui nous fait grandir. Tous.
Femme Actuelle
Drôle, mignon, touchant, subtil... L’alliance entre Tim Burton et l’univers Disney fonctionne à merveille.
Télé 7 Jours
Un grand Burton, servi par un casting cinq étoiles et un éléphanteau craquant, qui partage l’ADN bouleversant d’"Edward aux mains d’argent".
20 Minutes
Tim Burton signe un « Dumbo » à la fois fidèle à l'esprit de l'original et extrêmement personnel, une vraie réussite.
Bande à part
Ce n'est pas seulement un vieux dessin animé au charme irrésistible que Tim Burton remet sur pattes : c'est son cinéma, avec ses pas de côté, dans des mondes imaginaires puissants.
CNews
Ce film à grand spectacle séduira aussi bien les enfants par sa poésie «burtonesque» et sa charge émotionnelle que les parents nostalgiques de la scène des éléphants roses.
Closer
Tim Burton rend hommage à l'oeuvre de Disney, mais son film perd un poil de magie en passant en prises de vue réelles.
Ecran Large
S'il faut une longue demi-heure à Tim Burton pour s'extraire des rails du film original et trouver son rythme, le réalisateur semble ressusciter au fur et à mesure cette fable étonnante, véritable déclaration d'amour au spectacle vivant.
Franceinfo Culture
Beau, émouvant et subversif, "Dumbo" est à l’image du message qu’il transporte sur ses ailes du désir : celui d’être soi au sein du grand Barnum d’Hollywood.
L'Ecran Fantastique
En résulte un divertissement haut de gamme, porté par un casting quatre étoiles mené par Colin Farrell, impeccable en soldat cowboy qui a perdu un bras et ses illusions sur le front.
L'Obs
"Dumbo", avec ses yeux d'épagneul et ses oreilles de palétuvier, est un animal magique : non seulement il vole, mais nous volons, le cœur content, avec lui.
LCI
Avec "Dumbo", Tim Burton revisite le classique animé de Disney avec le mélange de grand spectacle et de poésie qui n’appartient qu’à lui.
La Croix
Le cinéaste américain réussit à livrer une version féerique et personnelle de ce classique.
La Voix du Nord
Oui, on plonge sans retenue dans cette formidable histoire remise au goût du jour mais qui parle toujours de la famille, de la différence et, bien sûr, de cette poudre de perlimpinpin qu’on appelle confiance en soi.
Le Figaro
Tim Burton signe une version en prises de vues réelles du classique de Disney, qui gagne en humanité sensible.
Le Journal du Dimanche
Ce conte, visuellement splendide, alterne poésie et nostalgie, humour et cruauté, afin d’ériger l’art comme rempart ultime contre les ravages du capitalisme.
Le Parisien
Surtout, Burton a su insuffler une belle part de merveilleux à tout son film : frissons garantis à chaque vol de Dumbo !
Les Fiches du Cinéma
Avant "Le Roi lion" cet été, c'est "Dumbo" qui a les honneurs d'une adaptation en images réelles. Tim Burton y a trouvé un formidable sujet pour parler de la différence et renouveler sa déclaration d'amour au monde du cirque. Son film est un enchantement.
Les Inrockuptibles
Le maître d’œuvre de blockbusters high-tech rêve encore de la place de l’artisan, et ce rêve donne au film ses plus belles colorations poétiques.
Marianne
Alors oui, moins délirant que les autres opus de Burton, plus sage peut-être, mais le défi est relevé.
Ouest France
Une revisite personnelle plutôt réussie.
Positif
[...] "Dumbo", en même temps qu'un conte pour enfants, donc pour adultes restés lucides, est une fable politique. Burton y poursuit sa réflexion sur le prix et l'émerveillement des foules.
Première
Tim Burton aurait-il entendu les critiques ? Sa version 2019 des aventures de l’éléphant volant n’a jamais été aussi burtonienne, visuellement, émotionnellement et symphoniquement.
Sud Ouest
L’auteur d’ "Edouard aux mains d’argent" et de "Big Fish" a sans doute fait des concessions aux studios mais il n’y a pas perdu son âme, et d’ailleurs, si Dumbo est conforme à ce qu’on attend de lui, il n’en est pas moins celui grâce à qui le parc d’attraction du vénal Vandever (Michael Keaton) finit en fumée.
Télérama
Enfin ! On retrouve le grand Tim Burton, poétique et ironique, avec un remake en prises de vues réelles du fameux dessin animé de Walt Disney.
Voici
Une aventure familiale aux images superbes.
L'Express
Qui dit cirque dit bêtes de foire, freaks, manchots, femmes à barbe et autres personnages de la famille Burton ; qui dit fin du XIXe dit naissance du cinéma, cette nouvelle forme de spectacle bientôt si populaire qu'elle mettra en scène les mythologies universelles. De l'un et de l'autre Tim Burton ne fait pas grand-chose : les circassiens ne servent qu'à la mécanique de l'intrigue, et le très joli clin d'oeil au cinéma est relégué en pirouette finale.
Le Monde
Michael Keaton, surmonté d’un toupet argenté, incarne l’arrogance du show-business avec une admirable onctuosité reptilienne.
Le Point
Rien à reprocher sur la forme. Mais le scénario est tellement bétonné !
Télé Loisirs
Le récit mêle drame et aventures et le cinéaste apporte un vrai souffle épique au classique de Disney. Parfois un peu au détriment de l'émotion.
aVoir-aLire.com
Avec cette adaptation en prises de vue réelles du classique de Disney, Tim Burton continue d’exploiter le thème de l’enfance désabusée, dans une mise en scène colorée bien qu’un peu trop sage.
Cahiers du Cinéma
Dumbo reste lui-même un protagoniste discret dans un monde faussement animé, peinant à prendre vie. Baigné de grisaille éléphantesque, ce monde ne sait que faire de cet être merveilleux.
Critikat.com
Malgré quelques beaux éclats, ce Dumbo témoigne malheureusement de l’imagerie figée dans laquelle s’enferme souvent le cinéaste.
Libération
Aucune surprise à ce que le cinéaste américain, alchimiste de débauches visuelles nacrées, nous présente là un autre monde aseptisé. C’est un peu son meilleur atout, du pur spectacle, artificiel et léger. Mais de cette libre adaptation basée sur le livre pour enfants de la romancière Helen Aberson paru en 1939, il ne semble ne donner ni de corps ni d’ailes à personne.
Mad Movies
On cherchera donc en vain la poésie dans cette mécanique trop bien huilée où l'émotion reste chevillée au sol, pas aidée par des acteurs qui se bornent à ressortir leurs tics de jeu et par le score fonctionnel d'un Danny Elfman qui ne se réveille que le temps du générique et d'un numéro de cirque.