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Dans un grand foutoir débraillé, les genres (polar, fantastique, film d’horreur, comédie, mélo) s’entremêlent et se parasitent, autant pour mettre l’intrigue sur ressort que pour ausculter dans tous les sens une Corée malade.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Extrêmes et enragés : tels sont souvent les films sud-coréens, qui n’aiment rien tant qu’étudier la violence et la déliquescence morale. Avec "Sea Fog", Shim Sung-bo perpétue cette tradition d’un cinéma populaire et accessible qui refuse de s’embourgeoiser.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Bien plus qu’un thriller haletant au suspense bien entretenu, le film est aussi l’occasion de découvrir un milieu social sombre, touché de plein fouet par la crise et la pauvreté.
La critique complète est disponible sur le site Gala
La mise en scène, qui fait passer la vérité humaine avant le spectaculaire, sait exploiter la tension et la claustrophobie liées à l’espace limité du navire, lequel est reconstitué pour les scènes d’intérieur avec un hyperréalisme immersif.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'irruption du lyrisme et de la romance dans ce huis clos maritime (inspiré d'une histoire vraie) pourrait paraître artificiel. Il lui donne au contraire des airs d'opéra funèbre.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Avec sa production soignée, ses acteurs aux performances intenses et sa richesse scénaristique remarquable, "Sea Fog" confirme sans aucun doute Shim Sung-bo en tant que figure marquante du cinéma coréen d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Un cran en dessous des films de Bong Joon-ho, "Sea Fog" (Les Clandestins) prend la forme d'un huis clos maritime qui, en dépit de quelques longueurs et de personnages un peu expédiés, trouve le juste équilibre entre cette candeur propre au cinéma coréen et la noiceur de ce qu'il décrit.
Shim Sung-bo, le scénariste de Memories of Murder, passe à la réalisation avec ce premier long métrage qui mélange les genres: le drame social sur l’immigration bascule pour devenir un survival en haute mer, auquel se greffe une histoire d’amour naïve.
La grande qualité de tous les postes artistiques et techniques reflète bien la compétence de l'industrie du cinéma coréen. (...) Mais il donne l'impression de n'avoir fait que les trois quart du chemin et de pas avoir su aller au-delà des éléments mis en place par le scénario.
Personnages taillés à très gros traits, invasion d'un brouillard sorti d'un film fantastique, passage au Grang-Gignol arty, noces d'Eros et de Thanatos... Shim invente le gothique marin coréen.
Le film glisse vers une hystérie générale censée exprimer bruyamment les pulsions agressives, et qui laisse le spectateur observer un peu en surplomb ce spectacle gesticulant entre bouffonnerie et gravité, entre dérisoire et tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"Sea Fog" navigue entre une reproduction honnête de motifs bien connus (...) et des scènes décevantes, disloquées par une absence criante de génie et parfois même de savoir-faire.
"Sea Fog" croise des scènes de film catastrophe et de comédie, sans jamais décoller réellement (...) Sung-bo Shim passe trop vite sur les scènes de vie à bord avant que le drame n’arrive, où, entre les discussions sur les filles et l’argent, se dessine pourtant une galerie de portraits amusants et drôlement interprétés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
Dans un grand foutoir débraillé, les genres (polar, fantastique, film d’horreur, comédie, mélo) s’entremêlent et se parasitent, autant pour mettre l’intrigue sur ressort que pour ausculter dans tous les sens une Corée malade.
CinemaTeaser
Extrêmes et enragés : tels sont souvent les films sud-coréens, qui n’aiment rien tant qu’étudier la violence et la déliquescence morale. Avec "Sea Fog", Shim Sung-bo perpétue cette tradition d’un cinéma populaire et accessible qui refuse de s’embourgeoiser.
Gala
Bien plus qu’un thriller haletant au suspense bien entretenu, le film est aussi l’occasion de découvrir un milieu social sombre, touché de plein fouet par la crise et la pauvreté.
Le Dauphiné Libéré
Un film où le réalisme social fait vite place au film d’horreur.
Mad Movies
Ruptures de ton, maelstrom d'émotions et caractérisation en béton: l'école Bong Joon-Ho tient là son premier diplômé.
Première
La mise en scène, qui fait passer la vérité humaine avant le spectaculaire, sait exploiter la tension et la claustrophobie liées à l’espace limité du navire, lequel est reconstitué pour les scènes d’intérieur avec un hyperréalisme immersif.
Télérama
L'irruption du lyrisme et de la romance dans ce huis clos maritime (inspiré d'une histoire vraie) pourrait paraître artificiel. Il lui donne au contraire des airs d'opéra funèbre.
aVoir-aLire.com
Avec sa production soignée, ses acteurs aux performances intenses et sa richesse scénaristique remarquable, "Sea Fog" confirme sans aucun doute Shim Sung-bo en tant que figure marquante du cinéma coréen d’aujourd’hui.
Charlie Hebdo
Un cran en dessous des films de Bong Joon-ho, "Sea Fog" (Les Clandestins) prend la forme d'un huis clos maritime qui, en dépit de quelques longueurs et de personnages un peu expédiés, trouve le juste équilibre entre cette candeur propre au cinéma coréen et la noiceur de ce qu'il décrit.
Le Journal du Dimanche
Shim Sung-bo, le scénariste de Memories of Murder, passe à la réalisation avec ce premier long métrage qui mélange les genres: le drame social sur l’immigration bascule pour devenir un survival en haute mer, auquel se greffe une histoire d’amour naïve.
Le Point
Les images sont très belles, les plans subtils et les acteurs excellents. (...) Mais dommage que ce film sur la pêche se termine en queue de poisson.
Les Fiches du Cinéma
Produit et coécrit par Bong Joon-ho, ce premier long métrage dérive du constat sociétal au Grand Guignol.
Les Inrockuptibles
Malgré son programme de survival en plein naufrage, "Sea Fog" ne se laisse jamais totalement déboussoler.
Positif
La grande qualité de tous les postes artistiques et techniques reflète bien la compétence de l'industrie du cinéma coréen. (...) Mais il donne l'impression de n'avoir fait que les trois quart du chemin et de pas avoir su aller au-delà des éléments mis en place par le scénario.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Transfuge
Personnages taillés à très gros traits, invasion d'un brouillard sorti d'un film fantastique, passage au Grang-Gignol arty, noces d'Eros et de Thanatos... Shim invente le gothique marin coréen.
Critikat.com
Le film glisse vers une hystérie générale censée exprimer bruyamment les pulsions agressives, et qui laisse le spectateur observer un peu en surplomb ce spectacle gesticulant entre bouffonnerie et gravité, entre dérisoire et tragédie.
L'Obs
"Sea Fog" navigue entre une reproduction honnête de motifs bien connus (...) et des scènes décevantes, disloquées par une absence criante de génie et parfois même de savoir-faire.
Libération
"Sea Fog" croise des scènes de film catastrophe et de comédie, sans jamais décoller réellement (...) Sung-bo Shim passe trop vite sur les scènes de vie à bord avant que le drame n’arrive, où, entre les discussions sur les filles et l’argent, se dessine pourtant une galerie de portraits amusants et drôlement interprétés.