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11 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une reconstitution forte de 14-18, avec des acteurs non professionnels convaincants (dont le Grenoblois, et cuisinier, Pierre Martial Gaillard).
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
À la fois didactique et sensible, tenue avec une troupe de jeunes acteurs méconnus mais bien résolus, la mise en scène a le bon goût de rester vivante, engagée au plus près de ses petits soldats de chair et de sang.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Hubert Lizé
Grâce à une mise en scène très vivante et à de jeunes acteurs convaincants, malgré la théâtralité de certains dialogues, on plonge avec eux dans ce bain de folie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Clément Ghys
Odoul voit dans la Peur, film éprouvant à faire, «la fin d’un cycle, une crise de foi envers le cinéma». Mais c’est dans cette remise en question (...) qu’il parvient à mettre en scène, en cavalier solitaire, une peur qui, par sursauts, nous contamine littéralement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Sa mise en scène plonge le spectateur dans le conflit, l’immerge dans les tranchées montrées comme des viscères suintants où les hommes tuent et meurent, s’autorise des visions fantastiques, hallucinatoires. (...) Les comédiens ânonnent péniblement leurs belles répliques.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Damien Odoul tente, avec audace et souvent avec brio, d'imaginer l'expérience des combattants de la première guerre mondiale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Pierre Fornerod
Le regard particulier de Damien Odoul sur la Grande Guerre. Avec tout de même parfois un excès de formalisme.
Télérama
par Jacques Morice
Faute d'un véritable matériau narratif, le film s'enlise et se répète. N'empêche : des images, des "gueules" (le cinéaste n'a fait appel qu'à des acteurs jamais vus), des délires resteront. Comme après un électrochoc.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Visuellement factice mais parfois verbalement habité, "La Peur" reste donc un film non réconcilié entre sa bande-image et sa bande-parlée.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mise en scène convaincante. Reconstitution remuante. Le hic, c’est le conformisme de la vision. L’horreur de la guerre dite et redite en voix off par les héros, soulignée par la musique. Aujourd’hui on présente les poilus comme des victimes. N’ont-ils pas aussi, volontairement ou non, fait la moitié du sale boulot ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Eithne O'Neill
Travail honorable, et pour le spectateur vaillant. Mais le vrai problème est que la peur (...) ne constitue pas le fil narratif escompté et est à peine exploitée dramatiquement ou psychologiquement.
Le Dauphiné Libéré
Une reconstitution forte de 14-18, avec des acteurs non professionnels convaincants (dont le Grenoblois, et cuisinier, Pierre Martial Gaillard).
Le Journal du Dimanche
À la fois didactique et sensible, tenue avec une troupe de jeunes acteurs méconnus mais bien résolus, la mise en scène a le bon goût de rester vivante, engagée au plus près de ses petits soldats de chair et de sang.
Le Parisien
Grâce à une mise en scène très vivante et à de jeunes acteurs convaincants, malgré la théâtralité de certains dialogues, on plonge avec eux dans ce bain de folie.
Libération
Odoul voit dans la Peur, film éprouvant à faire, «la fin d’un cycle, une crise de foi envers le cinéma». Mais c’est dans cette remise en question (...) qu’il parvient à mettre en scène, en cavalier solitaire, une peur qui, par sursauts, nous contamine littéralement.
La Croix
Sa mise en scène plonge le spectateur dans le conflit, l’immerge dans les tranchées montrées comme des viscères suintants où les hommes tuent et meurent, s’autorise des visions fantastiques, hallucinatoires. (...) Les comédiens ânonnent péniblement leurs belles répliques.
Le Monde
Damien Odoul tente, avec audace et souvent avec brio, d'imaginer l'expérience des combattants de la première guerre mondiale.
Ouest France
Le regard particulier de Damien Odoul sur la Grande Guerre. Avec tout de même parfois un excès de formalisme.
Télérama
Faute d'un véritable matériau narratif, le film s'enlise et se répète. N'empêche : des images, des "gueules" (le cinéaste n'a fait appel qu'à des acteurs jamais vus), des délires resteront. Comme après un électrochoc.
Cahiers du Cinéma
Visuellement factice mais parfois verbalement habité, "La Peur" reste donc un film non réconcilié entre sa bande-image et sa bande-parlée.
L'Humanité
Mise en scène convaincante. Reconstitution remuante. Le hic, c’est le conformisme de la vision. L’horreur de la guerre dite et redite en voix off par les héros, soulignée par la musique. Aujourd’hui on présente les poilus comme des victimes. N’ont-ils pas aussi, volontairement ou non, fait la moitié du sale boulot ?
Positif
Travail honorable, et pour le spectateur vaillant. Mais le vrai problème est que la peur (...) ne constitue pas le fil narratif escompté et est à peine exploitée dramatiquement ou psychologiquement.