Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Le Monde
par Thomas Sotinel
Dans les rôles de Marine et Aurore, marsouins de retour d’Afghanistan, Soko et Ariane Labed font vibrer "Voir du pays" d’émotions douloureuses et vitales qui donnent à cette réflexion sur la violence militaire la texture d’une tragédie familière.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Bande à part
par Isabelle Danel
S’attaquer à la « grande muette » n’est pas chose facile et les deux réalisatrices s’y emploient avec beaucoup d’intelligence.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Une mise en scène sensorielle qui nous plonge dans un malaise diffus et latent, qui nous hantera longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Prix du meilleur scénario de la sélection Un certain regard à Cannes, ce film dresse un portrait fort de deux femmes dans un monde d'hommes.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Express
par Christophe Carrière
Une plongée étonnante dans la vie de militaires de retour d'Afghanistan qui doivent faire face à leurs traumatismes.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Adapté de son propre roman, le film que Delphine Coulin cosigne avec sa sœur Muriel flirte, et c’est sa force, avec le documentaire. Sans jamais appuyer, il montre très bien, jusqu’à l’absurde, l’obsession psychotrope de l’époque moderne (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
(...) adaptation aussi instructive que séduisante du roman éponyme de Delphine Coulin par l’auteur et sa sœur Muriel.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film choc, empreint d’une sourde gravité, a reçu le prix du meilleur scénario dans la section Un certain regard au dernier Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un sujet rarement traité – les traumatismes du retour de guerre – que la présence de femmes dans un environnement quasi masculin rend plus dramatique encore.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Captivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Impeccablement interprété, le film capte une forme d’ironie troublante, sublime le réel dans l’art de la fiction sans perdre ni son tact ni une certaine distance
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Par sa façon pudique d'analyser le désastre, "Voir du pays" est un film remarquable, un "blast" - cette déflagration intérieure - aux multiples retombées.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
En interrogeant les bienfaits de la « récompense » chypriote, les réalisatrices abordent aussi, entre autres traumatismes, les violences collatérales – le viol, les humiliations, la trahison. Et font enfin parler la grande muette.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La Rédaction
Sa réussite - et son prix du scénario cannois, justifié -, "Voir du pays" la doit aussi à la neutralité de son regard sur l'institution concernée et sur les différents écarts de conduite exposés. On ne sort pas indemne de ce terrain militaire miné et minant...
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Éric Derobert
Pour cerner cette humanité instable, le cinéma des soeurs Coulin repose sur une esthétique basée sur l'opposition entre les visages, souvent filmés en gros voire très gros plans, et un certain flou de la réalité environnante.
Première
par Sophie Benamon
Un sujet original tenu par deux formidables actrices.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La grande qualité de "Voir du pays" est d'éviter toute théorisation, filmant des choses très concrètes, à commencer par les corps de ces jeunes acteurs (Soko et Ariane Labed, mais aussi les comédiens plus secondaires, tous à la hauteur).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Porté par deux comédiennes habitées, aux tonalités différentes mais parfaitement harmonieuses, ce film se transforme en émouvant récit sur la nécessité de rompre avec ses amitiés d'enfance.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
On pourrait balayer le film d’un revers de main, mais il a ce quelque chose d’assez fascinant…
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Delphine et Muriel Coulin s’en tirent par le haut, avec un sujet atypique, surtout appréhendé par un œil féminin, tant du point de vue des auteurs que des personnages. Mais "Voir du pays" rate totalement sa fin.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Deux films en un. (...) Le premier compose avec une matière scénaristique et documentaire tendue et inédite et des actrices de caractère. (...) Le second, moins convaincant, rebondit sur des ressorts psychologiques et sentimentaux plus conventionnels et repose sur des dialogues dictatoriaux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Un propos documenté et efficace, mais dont le message féministe est terni par des clichés sexistes éculés.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Leur vrai sujet, leur vrai champ de bataille, c'est l'institution de l'armée : une micro-société masculine hyper excluante dans laquelle les deux héroïnes tentent de survivre malgré les humiliations. (...) Une émancipation féminine têtue et musclée, que les soeurs Coulin filment avec un certain lyrisme.
Libération
par Gilles Renault
Partant d’une approche quasi documentaire - avec cinq anciens soldats infiltrés parmi la troupe de jeunes comédiens -, "Voir du pays" prend ensuite une orientation plus résolument fictive, qui n’atténue pas pour autant son inclination psychodramatique. Au contraire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Victimes des circonstances, rattrapées par leur conscience, Aurore et Marine incarnent lse incertitudes du moment que les éralisatrices synthétisent de façon à la fois scolaire et édifiante.
Metro
par Mehdi Omaïs
Hélas, en dépit des interprétations, toutes louables, et de la démarche testimoniale empruntée, on regrettera que la mise en scène des soeurs Coulin manque à ce point d’ampleur, échouant à instaurer la tension et la puissance qu’on était en droit d’attendre.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
On sent rapidement que l’on a affaire à une sorte de cahier des charges opportuniste (…) D’où l’impression d’assister à l’exécution d’un film en pilote automatique, très (et mal) écrit, dont la mise en scène se limite à l’exaltation des corps guerriers et de leurs sensations, censée être la représentation ultime du contemporain.
Télérama
par Jacques Morice
Le film, documenté, précis, sait faire monter la tension. Mais de manière appuyée, hélas, au détriment de la fiction et des personnages, auxquels on a du mal s'attacher. Avant de s'éparpiller et de se perdre carrément dans la noirceur d'une guerre des sexes, mal venue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Dans les rôles de Marine et Aurore, marsouins de retour d’Afghanistan, Soko et Ariane Labed font vibrer "Voir du pays" d’émotions douloureuses et vitales qui donnent à cette réflexion sur la violence militaire la texture d’une tragédie familière.
Bande à part
S’attaquer à la « grande muette » n’est pas chose facile et les deux réalisatrices s’y emploient avec beaucoup d’intelligence.
Culturopoing.com
Une mise en scène sensorielle qui nous plonge dans un malaise diffus et latent, qui nous hantera longtemps.
Femme Actuelle
Prix du meilleur scénario de la sélection Un certain regard à Cannes, ce film dresse un portrait fort de deux femmes dans un monde d'hommes.
L'Express
Une plongée étonnante dans la vie de militaires de retour d'Afghanistan qui doivent faire face à leurs traumatismes.
L'Obs
Adapté de son propre roman, le film que Delphine Coulin cosigne avec sa sœur Muriel flirte, et c’est sa force, avec le documentaire. Sans jamais appuyer, il montre très bien, jusqu’à l’absurde, l’obsession psychotrope de l’époque moderne (...).
LCI
(...) adaptation aussi instructive que séduisante du roman éponyme de Delphine Coulin par l’auteur et sa sœur Muriel.
La Croix
Ce film choc, empreint d’une sourde gravité, a reçu le prix du meilleur scénario dans la section Un certain regard au dernier Festival de Cannes.
Le Dauphiné Libéré
Un sujet rarement traité – les traumatismes du retour de guerre – que la présence de femmes dans un environnement quasi masculin rend plus dramatique encore.
Le Figaro
Captivant.
Le Journal du Dimanche
Impeccablement interprété, le film capte une forme d’ironie troublante, sublime le réel dans l’art de la fiction sans perdre ni son tact ni une certaine distance
Le Parisien
Par sa façon pudique d'analyser le désastre, "Voir du pays" est un film remarquable, un "blast" - cette déflagration intérieure - aux multiples retombées.
Le Point
En interrogeant les bienfaits de la « récompense » chypriote, les réalisatrices abordent aussi, entre autres traumatismes, les violences collatérales – le viol, les humiliations, la trahison. Et font enfin parler la grande muette.
Ouest France
Sa réussite - et son prix du scénario cannois, justifié -, "Voir du pays" la doit aussi à la neutralité de son regard sur l'institution concernée et sur les différents écarts de conduite exposés. On ne sort pas indemne de ce terrain militaire miné et minant...
Positif
Pour cerner cette humanité instable, le cinéma des soeurs Coulin repose sur une esthétique basée sur l'opposition entre les visages, souvent filmés en gros voire très gros plans, et un certain flou de la réalité environnante.
Première
Un sujet original tenu par deux formidables actrices.
Sud Ouest
La grande qualité de "Voir du pays" est d'éviter toute théorisation, filmant des choses très concrètes, à commencer par les corps de ces jeunes acteurs (Soko et Ariane Labed, mais aussi les comédiens plus secondaires, tous à la hauteur).
Transfuge
Porté par deux comédiennes habitées, aux tonalités différentes mais parfaitement harmonieuses, ce film se transforme en émouvant récit sur la nécessité de rompre avec ses amitiés d'enfance.
CinemaTeaser
On pourrait balayer le film d’un revers de main, mais il a ce quelque chose d’assez fascinant…
Franceinfo Culture
Delphine et Muriel Coulin s’en tirent par le haut, avec un sujet atypique, surtout appréhendé par un œil féminin, tant du point de vue des auteurs que des personnages. Mais "Voir du pays" rate totalement sa fin.
La Voix du Nord
Deux films en un. (...) Le premier compose avec une matière scénaristique et documentaire tendue et inédite et des actrices de caractère. (...) Le second, moins convaincant, rebondit sur des ressorts psychologiques et sentimentaux plus conventionnels et repose sur des dialogues dictatoriaux.
Les Fiches du Cinéma
Un propos documenté et efficace, mais dont le message féministe est terni par des clichés sexistes éculés.
Les Inrockuptibles
Leur vrai sujet, leur vrai champ de bataille, c'est l'institution de l'armée : une micro-société masculine hyper excluante dans laquelle les deux héroïnes tentent de survivre malgré les humiliations. (...) Une émancipation féminine têtue et musclée, que les soeurs Coulin filment avec un certain lyrisme.
Libération
Partant d’une approche quasi documentaire - avec cinq anciens soldats infiltrés parmi la troupe de jeunes comédiens -, "Voir du pays" prend ensuite une orientation plus résolument fictive, qui n’atténue pas pour autant son inclination psychodramatique. Au contraire.
Première
Victimes des circonstances, rattrapées par leur conscience, Aurore et Marine incarnent lse incertitudes du moment que les éralisatrices synthétisent de façon à la fois scolaire et édifiante.
Metro
Hélas, en dépit des interprétations, toutes louables, et de la démarche testimoniale empruntée, on regrettera que la mise en scène des soeurs Coulin manque à ce point d’ampleur, échouant à instaurer la tension et la puissance qu’on était en droit d’attendre.
Cahiers du Cinéma
On sent rapidement que l’on a affaire à une sorte de cahier des charges opportuniste (…) D’où l’impression d’assister à l’exécution d’un film en pilote automatique, très (et mal) écrit, dont la mise en scène se limite à l’exaltation des corps guerriers et de leurs sensations, censée être la représentation ultime du contemporain.
Télérama
Le film, documenté, précis, sait faire monter la tension. Mais de manière appuyée, hélas, au détriment de la fiction et des personnages, auxquels on a du mal s'attacher. Avant de s'éparpiller et de se perdre carrément dans la noirceur d'une guerre des sexes, mal venue.