Ca, c'est ce qu'on appelle un film bien laborieux réalisé par le metteur en scène Laurent Tuel qui ne maitrise peu son sujet et nous plonge dans un ennui fatiguant !! "Le combat ordinaire" commençait plutot bien avec la présentation des personnages, un trentenaire photographe qui souffre de tétamie, hipoglycémie prenant souvent des cachets en cas de crise, il tombe sous le charme d'une vétérinaire, fait connaissance avec un vieux voisin qui n'a pas fait de belles choses dans le passé en tant que soldat militaire, un père qui découvre qu'il est atteint de la maladie d'Alzheimer, le personnage central est assez complexe dans tout point de vue comment par exemple de batir une vie de famille. J'ai pas trop accroché à ce long métrage qui a des longueurs, qui se veut psychologique mais avec maladresse, je me suis dis dans tout ça vivement la fin que ça se termine. Pourtant, j'ai trouvé Nicolas Duvauchelle très bon dans la peau du personnage principal de mème que les acteurs secondaires. Ce film est méconnu, normal, il n'est pas bon.
"Le combat ordinaire" est un film qui n'est remarquable en rien. Hormis quelques moments qui sont un peu plus intéressants et quelques jolis plans de transitions, il manque un fil conducteur fort. Au lieu de cela, on aborde de façon très superficielle des thèmes qui mériteraient soit d'être creusés (le pourquoi des traumatismes du personnage principal, la guerre d'Algérie au travers du père et du voisin) soit abandonnés (la chronique sociale des dockers totalement vide de contenu). "Le combat ordinaire" est donc un film qui manque d'enjeux et d'audace.
un assez bon drame basé d'un sujet très délicat mais bel et bien réelle sur la dépression humaine à qui cela peut arriver à n'importe quel individu malheureusement. j'ai été plutôt contente de partager ce combat ordinaire avec l'acteur principal " nicolas duvauchelle " qui joue extrêmement bien son personnage d'homme désemparé stressé et déprimé, qui par la suite va lui apporter des bonnes choses toute même ( un travail, l'amour, l'amitié et la famille). les autres acteurs sont très bien aussi. donc la bonne ambiance, la bonne histoire les bons paysages images et acteurs font de ce film passer un agréable moment en salle obscure.
Si l'on se retrouve quelque peu dans le film (forcément, il brasse large), il ne m'a pas passionné pour autant. Il y a une esthétique certaine, une subtilité ça et là, appuyée par un jeu d'acteurs (principaux et secondaires) magnifique. Une histoire sur la quête de soi gentillette mais qui manque de force.
Un drame français pas mauvais. Nicolas duvauchelle est impeccable de sensibilité. Le sujet touchera une grande majorité des spectateurs, les prises de vue sont très jolies et la musique signée "cascadeur" est très belle. Le principale point faible, c'est la relative lenteur du film. Par moment c'est vraiment mou, mais c'est pour probablement mieux se concentrer sur le drame qui se joue tout au long du film.
Un film qui s'est fait très discret avec un acteur toujours juste dans ses interprétations. Un film qui n'a pas fait de bruit mais dont les sujets graves et douloureux résonnent : la dépression, la peur de la paternité, le chômage, la maladie d'Alzheimer, le suicide, la guerre d'Algérie ... Ce film est un combat ordinaire, un combat contre la vie tout simplement. Tous les acteurs et actrices sont très bons j'ai bien aimé ce film intimiste.
On ne peut pas dire qu'il se passe grand chose, mais "Le combat ordinaire" se laisse regarder, grâce à des acteurs inspirés. Nicolas Duvauchelle en tête, incarnant un type mal dans sa peau, torturé, en proie à ses démons. Sa lutte est celle d'un homme qui tente de vivre une vie normale, malgré quelques lourds à-côté. Quelques salves politiques sont lancées, trop anecdotiques pour être prises en compte.
Mouais.... Pas mauvais mais loin de marquer les esprits comme d autres petits films de ce genre ont réussi à faire... ("les châteaux de sable" ou "En équilibre"par exemple) comme quoi il ne suffit pas d une jolie photo des côtes bretonnes pour faire un film aboutit. Malgré un Magimel qui tient la marée dans son rôle de mec qui se cherche encore lui même et par rapport aux sentiments, le film ne décolle jamais et n atteint pas l émotion attendue. On peine d ailleurs à comprendre où le réalisateur veut nous amener. L impression principale est donc un film un peu brouillon, et laisse un goût d inachevé assez déplaisant. Dommage...
Peut-être un jour comprendra-t-on qu'il ne faut pas adapter les BD franco-belges (ou Taniguchi...) à l'écran... A chaque fois on retrouve les mêmes problèmes : manque de rythme (écueil principal), dialogues qui sonnent faux, tenants et aboutissants difficiles à discerner... La BD de Larcenet, excellente, réussit le tour de force d'aborder des thèmes très sombres tout en étant irradiée d'une force vitale démentielle. Ici, c'est tout le contraire : une suite de saynètes mornes et figées, à des années lumières de l'oeuvre originale. Et Nicolas Duvauchelle qui récite son texte sans aucune conviction n'aide pas franchement à tirer le film vers le haut... Une catastrophe, de laquelle on sauvera quelques jolis paysages du Sud-Ouest, ainsi que les interprétations d'André Wilms et d' Olivier Perrier.
Un drame tendre et mélancolique dans lequel l’éblouissant Duvauchelle incarne avec justesse un trentenaire à la recherche de réponses aux questions qui rythment sa vie. Juste et touchant.
Si nous mettons de côté ce bout de carrière jamais décrit de photographe de guerre qui nous titille tout le long du film, Le Combat ordinaire est une belle chronique. Essentiellement porté par le brillant Nicolas Duvauchelle, l’histoire raconte la vie d’un homme normal qui a un peu de mal à aimer et se faire aimer. Cet homme qui a besoin de confiance est pourtant attachant et ce, parce que justement sa vie n’est pas exceptionnelle. Malheureusement, le cinéaste ne cherche pas à aller plus loin dans ce parcours initiatique de soi. Il laisse l’acteur gérer, ce qu’il fait très bien, mais sans véritable objectif. Joliment mené, Le Combat ordinaire aurait gagné à être moins lisse et moins tracé. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Sans connaître la BD auquel il se réfère, ni même pouvoir juger à bon escient son travail d'adaptation, on survole ici pleinement les choses de la vie. Nicolas Duvauchelle s'en sort mieux qu'à l'accoutumée mais rien ne me convainc guère.
Ne vous y trompez pas, il n'y a que l'affiche de "colorée" dans ce film à la grisaille assumée où tout y est moche (même Duvauchelle plutôt beau mec d'habitude, là le mec est gris) Oui, il reste sa jolie copine, la seule naufragée à la grisaille ambiante, mais l'histoire de ce dépressif qui refuse le bonheur m'a ennuyé sec, avec en prime une image, un décor, des costumes où tout est gris et moche ! Alors un conseil : si vous n'êtes pas au top en ce moment : ne le regardez pas, si vous allez bien : allez faire un tour et regardez la nature, ou la mer, ou juste l'affiche de ce film, vous ferez des économies et épargnerez votre moral. spoiler: Entre nous, quand on gobe et croque comme lui autant d’antidépresseurs par jour : eh bien son comportement doit changer, non? Eh non, lui il croque à tout va et rien ne change, de sa diction à son comportement rien ne change, alors peut être est il passé pro du croquage et que cela ne lui fait rien, mais ça ne m'a pas aidé à croire en cette tristounette histoire