Kheiron, connu pour son rôle dans “bref” et son spectacle qui à bien marché en tournée dans toute la France, sort ici un film narrant “le destin hors du commun de ses parents Hibat et Fereshteh, éternels optimistes, qui partirent d’un petit village d’Iran jusqu’au cités parisiennes. Une comédie aux airs de conte universel qui évoque l’amour familial, le don de soi et surtout l’idéal d’un vivre-ensemble”. Merci Allociné. Étant habitant de la petite ville de Stains (93), une ville où a grandi l’humoriste et où habite actuellement ses parents, je me suis rendu à la première avant première du film en France, où l’artiste, accompagné de Leila Bekhti, allaient être présents après la projection du film. J’ai été conquis. Et en disant cela, je jure que je parle uniquement de l’œuvre et non de l’ambiance folle qui a régné dans la salle communale durant le reste de la soirée, le temps d’un échange entre les comédiens et le public. D’ailleurs des vraies personnes du film (représenté à l’écran par des acteurs) était à l’avant première, dont les parents de Kheiron. C’est vous dire. Et d’ailleurs, j’ai même pu serrer la main de Kheiron et voir Kyan Khojandi et Navo (bref et bloqués), assis deux rangs derrière moi. Très de bavardage passons au vif du sujet. Et je jure d’être objectif (ou pas).
Dans “Nous trois ou rien”, l’humoriste nous dresse le portrait de personnages attachants, le tout servi par un casting … jugez en par vous même : Kheiron, Leïla Bekhti, Gérard Darmon, Zabou Breitman, Alexandre Astier, Kyan Khojandi… Il s’agit ici d’un message d’espoir, qui fait écho à la situation catastrophique des migrants, car derrière chaque immigré ou clandestins, il y a une histoire qui nous font nous apercevoir qu’il y a une raison du départ de ces gens, mais aussi que même si on se retrouve au plus bas, rien n’est perdu et on peut toujours gravir les échelons pour essayer de s’en sortir. En plus du message fort, il y a différentes thématiques de société que l’on montre sans appuyer dessus pour ne pas paraitre trop lourd comme l’immigration, la dictature et la résistance, les zones ou quartier sensible. LA SUITE DE LA CRITIQUE SUR FC BLOG (avec la note sur/20 et le comentaire en )