Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un très, très grand choc ; un très, très grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Transfuge
par François Bégaudeau
Qui ne voit, qui ne persiste à ne pas voir que la tenace froideur du cinéma de Franco procède d'une tendresse supérieure, accomplie ?
20 Minutes
par Caroline Vié
Jeune femme atteinte du sida, vieille dame souffrant d’un cancer ou aïeul ressentant ses derniers émois devant des films X émeuvent tout autant que le héros qui tente de les aider.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
"Chronic" traite d’un sujet difficile et le fait avec beaucoup de retenue. La virtuosité du scénario n’est pas étrangère à la réussite de ce drame.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Dans ce film dépouillé et lent, mais aussi plein de tact, Michel Franco aborde frontalement un thème sur lequel il est tentant de détourner le regard. Tim Burton est incroyablement crédible dans son rôle d'infirmier.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film, franc, direct, en longs plans-séquence, sans musique, au rythme lent, tourné au plus près de ce personnage, cerne la solitude de ces soignants de l’extrême, exposé à des émotions et des souffrances qui peuvent les conduire eux-mêmes à la dépression.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Sujet tabou porté à bout de bras par Tim Roth, mutique, ultrasensible, hyperprécis dans sa gestuelle et ce jusqu’à la tétanisante image finale.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On s’attache au héros compatissant, interprété tout en nuances par Tim Roth.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est un film très fort, violent, bouleversant. Jusque dans sa terrible fin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sylvestre Picard
Livrant une perf d’infirmier vampirique (c’est le twist un poil attendu du film) mais d’une surprenante tendresse dans la simplicité de ses gestes (...) Roth est d’une justesse frappante qui redonne foi en sa filmo un peu basse façon DTV ces derniers temps (Grace de Monaco, United Passions…).
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Alliance d'une mise en scène viscérale et d'un script raisonné, "Chronic" ne frappe pas aussi fort que "Daniel y Ana" et "Despues de Lucia", les deux précédents longs métrages de Michel Franco, mais il n'en reste pas moins éprouvant, témoignant une vraie compassion pour les solitudes, les handicapés de la vie, les opprimés de la société et les beautés ruinées.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Voici
par La Rédaction
D'une sobréiété radicale, ce drame qui repose sur les épaules - voûtées - de Tim Roth, est beau, poignant, douloureux... et déprimant (quand même).
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le film traite sur un ton sec et sans concessions un sujet dérangeant. Michel Franco évite les pièges du film à thèse pour brosser le beau portrait d’un être fragilisé, interprété avec justesse par Tim Roth.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Après “Después de Lucía”, Michel Franco marque de nouveau les esprits avec un drame qui, malgré ses maladresses, accorde une juste place à l'humanité de son personnage.
Paris Match
par Yannick Vely
Le programme d'un petit-génie-de-festival s'achève toujours par une scène choc. Michel Franco les aligne dans les vingt dernières minutes quasi-insoutenables sur fond de chimiothérapie et d'euthanasie. Vous voilà prévenus.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
VSD
par Bernard Achour
Façon Michael Haneke, un drame glaçant sur l'amour de son prochain.
L'Obs
par La Rédaction
Certes, le film est noble, intéressant, et possède une vraie dimension humaine. Mais pourquoi s'infligerait-on le spectacle de ces corps squelettiques, de ces sous-vêtements souillés, de ces souffrances affreuses ? Courage, fuyons.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Didier Péron
(...) "Chronic", en dépit de son apparente modestie et peut-être aussi parce qu’il se retrouve en compétition, donc posé sur un piédestal taillé trop grand, semble au contraire l’exemple même du projet préfabriqué et moyennement sincère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
Il est permis d'être exaspéré par cette virtuosité du dépouillement, cette métaphysique programmée, au service secret d'une intrigue de mélodrame familial : il y a même une avalanche (au ralenti) de coups de théâtre !
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Un film à la fois doux, mécanique et, malheureusement, trop sûr de lui.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
"Chronic", cristallise en effet bien des tares du cinéma auteurisant – la pseudo-radicalité de petit caïd, l’application ultraconformiste de recettes sous couvert d’originalité, la fausse distanciation émotionnelle – à tel point qu’il se dissout complètement en elles. Une coquille vide, donc, en plus d’être un sale film.
Critikat.com
par Théo Ribeton
On peine à savoir où l’auteur veut nous amener : certainement pas le long d’un chemin, mais plutôt, et très bêtement, à l’intérieur d’un territoire, celui du cinéma de l’humiliation perverse et du radical chic.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une façon volontairement provocante de filmer la déchéance physique qui n’attire guère la sympathie ni l’empathie.
Le Monde
par Jean-François Rauger
L'évidence fatale que veut illustrer la mise en scène est ici au service d'une misanthropie nettement surjouée.
Metro
par Marilyne Letertre
L’encéphalogramme du personnage, grossièrement campé par l'apathique Tim Roth, reste invariablement plat. Le nôtre en revanche connaît d’incessantes variations, agité par le sentiment insupportable d’être manipulé, écoeuré par tant de voyeurisme (...).
La critique complète est disponible sur le site Metro
Le Parisien
Un très, très grand choc ; un très, très grand film.
Transfuge
Qui ne voit, qui ne persiste à ne pas voir que la tenace froideur du cinéma de Franco procède d'une tendresse supérieure, accomplie ?
20 Minutes
Jeune femme atteinte du sida, vieille dame souffrant d’un cancer ou aïeul ressentant ses derniers émois devant des films X émeuvent tout autant que le héros qui tente de les aider.
CNews
"Chronic" traite d’un sujet difficile et le fait avec beaucoup de retenue. La virtuosité du scénario n’est pas étrangère à la réussite de ce drame.
Franceinfo Culture
Dans ce film dépouillé et lent, mais aussi plein de tact, Michel Franco aborde frontalement un thème sur lequel il est tentant de détourner le regard. Tim Burton est incroyablement crédible dans son rôle d'infirmier.
La Croix
Ce film, franc, direct, en longs plans-séquence, sans musique, au rythme lent, tourné au plus près de ce personnage, cerne la solitude de ces soignants de l’extrême, exposé à des émotions et des souffrances qui peuvent les conduire eux-mêmes à la dépression.
La Voix du Nord
Sujet tabou porté à bout de bras par Tim Roth, mutique, ultrasensible, hyperprécis dans sa gestuelle et ce jusqu’à la tétanisante image finale.
Le Journal du Dimanche
On s’attache au héros compatissant, interprété tout en nuances par Tim Roth.
Les Inrockuptibles
C’est un film très fort, violent, bouleversant. Jusque dans sa terrible fin.
Première
Livrant une perf d’infirmier vampirique (c’est le twist un poil attendu du film) mais d’une surprenante tendresse dans la simplicité de ses gestes (...) Roth est d’une justesse frappante qui redonne foi en sa filmo un peu basse façon DTV ces derniers temps (Grace de Monaco, United Passions…).
TF1 News
Alliance d'une mise en scène viscérale et d'un script raisonné, "Chronic" ne frappe pas aussi fort que "Daniel y Ana" et "Despues de Lucia", les deux précédents longs métrages de Michel Franco, mais il n'en reste pas moins éprouvant, témoignant une vraie compassion pour les solitudes, les handicapés de la vie, les opprimés de la société et les beautés ruinées.
Voici
D'une sobréiété radicale, ce drame qui repose sur les épaules - voûtées - de Tim Roth, est beau, poignant, douloureux... et déprimant (quand même).
aVoir-aLire.com
Le film traite sur un ton sec et sans concessions un sujet dérangeant. Michel Franco évite les pièges du film à thèse pour brosser le beau portrait d’un être fragilisé, interprété avec justesse par Tim Roth.
Les Fiches du Cinéma
Après “Después de Lucía”, Michel Franco marque de nouveau les esprits avec un drame qui, malgré ses maladresses, accorde une juste place à l'humanité de son personnage.
Paris Match
Le programme d'un petit-génie-de-festival s'achève toujours par une scène choc. Michel Franco les aligne dans les vingt dernières minutes quasi-insoutenables sur fond de chimiothérapie et d'euthanasie. Vous voilà prévenus.
VSD
Façon Michael Haneke, un drame glaçant sur l'amour de son prochain.
L'Obs
Certes, le film est noble, intéressant, et possède une vraie dimension humaine. Mais pourquoi s'infligerait-on le spectacle de ces corps squelettiques, de ces sous-vêtements souillés, de ces souffrances affreuses ? Courage, fuyons.
Libération
(...) "Chronic", en dépit de son apparente modestie et peut-être aussi parce qu’il se retrouve en compétition, donc posé sur un piédestal taillé trop grand, semble au contraire l’exemple même du projet préfabriqué et moyennement sincère.
Positif
Il est permis d'être exaspéré par cette virtuosité du dépouillement, cette métaphysique programmée, au service secret d'une intrigue de mélodrame familial : il y a même une avalanche (au ralenti) de coups de théâtre !
Studio Ciné Live
Un film à la fois doux, mécanique et, malheureusement, trop sûr de lui.
Cahiers du Cinéma
"Chronic", cristallise en effet bien des tares du cinéma auteurisant – la pseudo-radicalité de petit caïd, l’application ultraconformiste de recettes sous couvert d’originalité, la fausse distanciation émotionnelle – à tel point qu’il se dissout complètement en elles. Une coquille vide, donc, en plus d’être un sale film.
Critikat.com
On peine à savoir où l’auteur veut nous amener : certainement pas le long d’un chemin, mais plutôt, et très bêtement, à l’intérieur d’un territoire, celui du cinéma de l’humiliation perverse et du radical chic.
Le Dauphiné Libéré
Une façon volontairement provocante de filmer la déchéance physique qui n’attire guère la sympathie ni l’empathie.
Le Monde
L'évidence fatale que veut illustrer la mise en scène est ici au service d'une misanthropie nettement surjouée.
Metro
L’encéphalogramme du personnage, grossièrement campé par l'apathique Tim Roth, reste invariablement plat. Le nôtre en revanche connaît d’incessantes variations, agité par le sentiment insupportable d’être manipulé, écoeuré par tant de voyeurisme (...).