Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
(...) seules deux ou trois scènes (...) renouent avec la transgression franche, paisible, plus soucieuse du plaisir qu'elle apporte que de scandale (...) qui faisaient la réussite de Belle-Maman.
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
Gabriel Aghion (...) a pris le soin de faire une mise en scène à la mesure du libertinage dont il traite tout en se laissant hélas aller un peu trop vers le simple badinage. Un second degré un peu plus profond n'aurait fait de mal à personne.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Evénement
par Elizabeth Gouslan
En dépit d'une grivoiserie et d'un clinquant inadaptés au propos, Josiane Balasko goûte les nouveautés épicées du temps avec gourmandise (...)
L'Obs
par François Forestier
On voit ce que le réalisateur a voulu faire : c'est bancal. On voit ce que le film est devenu : une comédie à la « Saturday Night Live ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Le Libertin n'est (...) qu'une suite graveleuse de gags minables et de mots d'auteur (le scénario est tout de même adapté d'une pièce d'Eric-Emmanuel Schmitt) étouffés par le cabotinage des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Gwen Douguet
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
par Schtroumpf "Bianco" Grognon
La pièce fonctionnait mais ici la platitude de la mise en scène anéantit des dialogues déjà assez prétentieux. Du coup, le discours sur la morale et le couplet sur l'avortement tombent complètement à plat.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Fluctuat.net
par Hélène Raymond
Le libertin envisage la naissance de la modernité en France du point de vue de la recherche et de la consommation du plaisir. Mais, malgré sa défense de l'excès, le film manque d'intensité, de frénésie et d'enthousiasme.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Eric Leguèbe
On se demande bien ce qui a pu pousser tous ces acteurs à se lancer dans une telle aventure, dans laquelle ils ne semblent pas du tout croire. Leurs cabotinages sur des dialogues très vulgaires sont affligeants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe Guérand
(...) un défilé de caricatures pathétiques et grossières où il ne manque qu'un pétomane. (...) une comédie ringarde et franchouillarde. Dommage pour les acteurs.
Première
par Christophe Carrière
Gabriel Aghion, qui a cette qualité de griffer un spectacle par un humour de caserne et une vulgarité qui lui sont propres, passait auparavant à travers les mailles du filet grâce à un semblant de savoir-faire technique. Ici, il se démasque sans vergogne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
(...) ce qui se dit vole encore plus bas que ce que la caméra dévoile, de manière bâclée et souvent répétitive. La présence de Josiane Balasko, de Fanny Ardant et de Michel Serrault dans une telle galère relève de la prise d'otage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
(...) seules deux ou trois scènes (...) renouent avec la transgression franche, paisible, plus soucieuse du plaisir qu'elle apporte que de scandale (...) qui faisaient la réussite de Belle-Maman.
Cinopsis.com
Gabriel Aghion (...) a pris le soin de faire une mise en scène à la mesure du libertinage dont il traite tout en se laissant hélas aller un peu trop vers le simple badinage. Un second degré un peu plus profond n'aurait fait de mal à personne.
L'Evénement
En dépit d'une grivoiserie et d'un clinquant inadaptés au propos, Josiane Balasko goûte les nouveautés épicées du temps avec gourmandise (...)
L'Obs
On voit ce que le réalisateur a voulu faire : c'est bancal. On voit ce que le film est devenu : une comédie à la « Saturday Night Live ».
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Chronic'art.com
Le Libertin n'est (...) qu'une suite graveleuse de gags minables et de mots d'auteur (le scénario est tout de même adapté d'une pièce d'Eric-Emmanuel Schmitt) étouffés par le cabotinage des acteurs.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
La pièce fonctionnait mais ici la platitude de la mise en scène anéantit des dialogues déjà assez prétentieux. Du coup, le discours sur la morale et le couplet sur l'avortement tombent complètement à plat.
Fluctuat.net
Le libertin envisage la naissance de la modernité en France du point de vue de la recherche et de la consommation du plaisir. Mais, malgré sa défense de l'excès, le film manque d'intensité, de frénésie et d'enthousiasme.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
On se demande bien ce qui a pu pousser tous ces acteurs à se lancer dans une telle aventure, dans laquelle ils ne semblent pas du tout croire. Leurs cabotinages sur des dialogues très vulgaires sont affligeants.
Lenouveaucinema.com
(...) un défilé de caricatures pathétiques et grossières où il ne manque qu'un pétomane. (...) une comédie ringarde et franchouillarde. Dommage pour les acteurs.
Première
Gabriel Aghion, qui a cette qualité de griffer un spectacle par un humour de caserne et une vulgarité qui lui sont propres, passait auparavant à travers les mailles du filet grâce à un semblant de savoir-faire technique. Ici, il se démasque sans vergogne.
Télérama
(...) ce qui se dit vole encore plus bas que ce que la caméra dévoile, de manière bâclée et souvent répétitive. La présence de Josiane Balasko, de Fanny Ardant et de Michel Serrault dans une telle galère relève de la prise d'otage.