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Votre avis sur Deepsea Challenge 3D, l'aventure d'une vie ?
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Nous vous y trompez pas, Deepsea est avant tout un doc sur James Cameron, qui parle surtout de James Cameron, et met en scène James Cameron dans un "exploit" réalisé il y plus de 50 ans par Jacques Piccard et Don Walsh, dans des conditions qu'on devine autrement plus difficiles qu'avec la technologie actuelle. Certes, l'aventure de James Cameron n'en demeure pas moins impressionnante, mais il s'agit là plus de la réalisation du rêve d'un enfant que d'un véritable exploit scientifique (même si l'engin construit est une jolie prouesse technologique). Il faut d'ailleurs le voir comme tel, un grand gamin qui assouvit son rêve/caprice d'enfance. On apprendra par conséquent pas grand chose avec ce doc (si ce n'est sur la vie de JAmes Cameron) qui pour meubler se retrouve en plus agrémenté de reconstitution assez lourdes pour donner à l'ensemble un aspect "storytelling" apprécié par les chaines de télé (il s'agit d'un doc National Geographic) mais dont le manque d’intérêt est flagrant. Bref, si vous êtes fan du monsieur plongez, sinon restez sur la plage.
Que l'on aime ou pas James Cameron, que ce soient l'homme ou le cinéaste, il faut tout de même admettre que ce qu'il a réalisé lors de cette aventure force le respect et l'admiration. Plongé seul à plus 10 000 mètres de profondeur dans la fosse la plus profonde de la planète, moi je dis bravo. Et c'est ce que retrace Deepsea Challenge, de la conception de l'appareil jusqu'à l'exploit tant attendu de l'exploration de la fosse des Mariannes. Une aventure à haut risque mais ô combien importante pour James Cameron et pour le monde scientifique. Lors de ce documentaire, nous avons droit à des images absolument géniales des profondeurs, à une 3-D superbes et à une immersion totale dans ce monde du silence qui nous est encore inconnu. Deepsea Challenge est un documentaire de qualité qui mérite le coup d'œil. Chapeau bas monsieur Cameron.
Ce film documentaire raconte la descente d'un sous-marin vertical dans la fosse des Mariannes à une profondeur quasiment opposée à l'altitude de vol des longs-courriers. Il transparaît une réelle sensation de satisfaction technologique dans cette aventure humaine privée qui ne serait que l'accomplissement de la passion de la vie de James Cameron. Mais au bout d'un moment, on comprend que c'est une ode à James Cameron. Il n'explique pas grand chose de sa technologie, pas grand chose de la faune marine environnante, rien de l'exploit de Don Walsh (pourtant interview) et de Jacques Piccard, et enfin rien du bathyscaphe Trieste. Du coup, faute de références techniques et de comparatifs objectifs, on est obligé de croire "bêtement" aux affirmations du cinéaste. Par ailleurs, la mise en scène des images n'est pas expliquée clairement puisqu'à toute profondeur, le sous-marin est filmé. Ceci nuit à l'authenticité de certaines images qui restent néanmoins très intéressantes à observer. Du point de vue des retombées scientifiques, le résumé est un peu court.
Le film démarre très lentement. Je me suis ennuyé pendant le début de 45min... Concrètement ce n'est pas le film d'exploit scientifique que j'attendais. Le déroulement de leurs missions avance plutôt favorablement. Pas de problème catastrophique. Il y a des belles scènes impressionnantes mais quand même limitées. Je suis déçu de ce film...
Le sujet était excitant le traitement un peu moindre. Les commentaires sont niais et la découverte des fonds un peu décevante.
L’exploit est peut être grand; je ne connais pas toutes les avancées en la matière, néanmoins le film est ennuyant. De toute façon c'est un documentaire produit avec National Geographic donc rien d'étonnant.Ensuite il passe cinq minutes sur les morts de deux de ses amis et se complaît dans un numéro de pleurniche indécent tout à fait dans la droite lignée de ce qui se fait de pire dans le possible du comportement américain. Le simple "In Memory of" à la fin du film aurait suffit. Puis on nous emmène dans les profondeurs ou ... il n'y a rien, à part du sédiment. Comme le dit Telerama dans sa critiques, les retombées scientifiques sont floues. Et d'ailleurs Cameron a tendance à avoir un discours post Newton, Darwin et Descartes du type "La science est la voie royale pour tout comprendre" alors qu'il assiste à une cérémonie du feu en Nouvelle Guinée. Un bon américain qui croit dans le progrès et ses bienfaits. Il se gargarise tout seul pendant le film en filmant sa cour et spécialement son épouse, avec son faciès tout droit sortie d'Avatar, pour des moments d'émotions tellement forcés, qu'ils semblent avoir étaient (re)joués pour le film (qui est un documentaire !). Enfin les images ne sont pas réellement intéressantes. On voit trois méduses et bonjour chez vous. Et l'intelligence de Cameron est à leur hauteur. Intérieure ou extérieure, comme vous voudrez.
Cameron se pose la question dans le documentaire s'il est plus un explorateur qui réalise des films ou l'inverse. Ni l'un ni l'autre. Il a de l'argent. Mais vu qu'il a réalisé Titanic et Avatar, à choisir je préfère qu'il fasse des documentaires.
Cameron se pose la question dans le documentaire s'il est plus un explorateur qui réalise des films ou l'inverse. Ni l'un ni l'autre. Il a de l'argent. Mais vu qu'il a réalisé Titanic et Avatar, à choisir je préfère qu'il fasse des documentaires.
Yetcha
Bon, James Cameron aime bien se filmer c'est certain. Mais au-delà de ça, il n'en reste pas moins un réalisateur extraordinaire qui a apporté beaucoup au cinéma et qui est fasciné depuis bien longtemps pour les fonds marins. Un documentaire intéressant sur une exploration unique. A découvrir...
Ciné2909
Le fait que James Cameron soit le protagoniste principal de ce documentaire lui offre évidemment une formidable visibilité. Il serait toutefois injuste de le résumer simplement à cela puisque Deepsea Challenge 3D, l'aventure d'une vie est surtout l’aventure de toute une équipe unie vers un objectif commun. De la conception du sous-marin aux premiers essais en passant par les déconvenues toute cette équipe partage avec le spectateur leur passion pour laquelle on plonge littéralement. Découvrir les derniers vestiges du Titanic, du Bismarck ou découvrir ce monde totalement vierge est une expérience unique rehaussée au cinéma par une 3D parfaite.
Encore une prouesse de James Cameron. Je comprends pas pourquoi la notre moyenne de la presse n'est qu'à 3. Une sacrée aventure qui nous plnge (c'est le cas de le dire) dans la passion de la recherche et de la découverte
ferdinand75
Un documentaire intéressant mais un peu long. On ne découvre pas grand chose de vraiment nouveau. Des paysages , vidés de vie, l'impression d'être sur une autre planète, le silence de ces fonds marins.James Cameron qui se met en avant , et on suppose qu'il était passioné par le sujet. Une belle réalisation très professionnelle.
Publiée le 20 septembre 2014 ( par Michel Crotti )
Sacrée Odyssée ! Curieux la similitude de l'exploration lunaire par exemple et cette "descente" peut être pas aux enfers quoique :::: à près de 11 000 m
C'est assez fantastique :: Les images sont superbes et force est de reconnaître cet exploit à James Cameron !! Documentaire certes, mais chapeau !!**
Sacrée Odyssée ! Curieux la similitude de l'exploration lunaire par exemple et cette "descente" peut être pas aux enfers quoique :::: à près de 11 000 m
C'est assez fantastique :: Les images sont superbes et force est de reconnaître cet exploit à James Cameron !! Documentaire certes, mais chapeau !!**
stallonefan62
Un bon documentaire sur une aventure humaine incroyable !! On se prend compte qu'on est tout petit à l'échelle de ce que peut nous réserver la vie !! Une descente à 11km parait tellement surréaliste
Le documentaire raconte l’expédition de James Cameron dans la fosse des Mariannes, la plus profonde du monde. En effet, il est passionné par l’exploration des fonds marins : ses films « Abyss » (« The abyss ») (1989), « Titanic » (1997) et ses documentaires « Les fantômes du Titanic » (« Ghosts of the Titanic ») (2003) et « Aliens of the deep » (2005) en témoignent. Le film (en 3 D mais qui n’apporte pas grand-chose), produit pour National Geographic, décrit d’abord la préparation du matériel en Afrique du Sud [création du mini sous-marin (8 m de long) Deepsea challenger, appelé ainsi car la fosse des Mariannes (à proximité de l’île de Guam, rattachée aux Etats-Unis) a été découverte en 1875 à partir du navire H.M.S. Challenger d’où le nom de Challenger Deep donné au point le plus bas] pouvant résister à la pression de 10 km d’eau (soit 1 000 fois la pression atmosphérique !) et des accessoires tels que batteries, ballasts, etc.). Vu le coût de location du navire (35 000 $ la journée), il a fallu quitter rapidement Le Cap, via l’Australie pour la Nouvelle-Guinée (au large de l’île de Nouvelle-Bretagne plus précisément et dont la ville de Rabaul a été presque entièrement détruite en 1994 par le volcan du même nom) pour effectuer les essais et tester le matériel avant de rejoindre la fosse des Mariannes où James Cameron, à 57 ans, atteint le 25 mars 2012 la profondeur de 10 898 m. Il renouvelle ainsi, mais en solo, l’exploit du suisse Jacques Piccard et de l’américain Don Walsh (qui a fait partie de l’expédition de Cameron) qui avaient atteint à bord du bathyscaphe Trieste le fond de la fosse (10 916 m) le 23 janvier 1960. Cameron mit 2h36 mn pour descendre et 70 mn pour remonter. .
Sacrée Odyssée ! Curieux la similitude de l'exploration lunaire par exemple et cette "descente" peut être pas aux enfers quoique :::: à près de 11 000 m
C'est assez fantastique :: Les images sont superbes et force est de reconnaître cet exploit à James Cameron !! Documentaire certes, mais chapeau !!**
C'est assez fantastique :: Les images sont superbes et force est de reconnaître cet exploit à James Cameron !! Documentaire certes, mais chapeau !!**
James Cameron renoue avec un documentaire de bonne qualité après le très décevant Aliens of the deep.
Toutefois le rythme est mou et le film est surtout tourné vers la performance technique et collective plutôt que vers un objectif d’exploration concret. D’une certain façon Cameron succombe à la mode du développement personnel où l’aventure n’est qu’un prétexte pour mieux se connaître ou pour se faire plaisir, le chemin parcouru (lchallenge) étant perçu comme plus important que la destination (deepsea)
spoiler: Au fond, il ne filme pratiquement rien et la plupart des instruments d’exploration sont hs de sorte qu’il n’y a plus qu’à remonter ! Mais il s’en moque…au fond.
L’exploit ne sert à rien si ce n’est pour sa gloire personnel d’explorateur qui peut ajouter un trophée de plus à son tableau de chasse. Une forme de privatisation de l’exploit du Trieste de Picard 55 ans plus tôt mais sans apport scientifique/technique concret. Un bégaiement gênant. Il y a dans l’évolution de Cameron quelque chose de profondément désenchanté puisqu’il semble désormais incapable de filmer autre chose que lui même face à son vain exploit personnel, avec ses selfies le montrant engoncé avec son bonnet sur la tête, alors qu’il est l’une des rares personnes aujourd’hui qui est capable de remettre au premier plan l’aventure en générale , et l’exploration des océans, en particulier. L’aventure pour la découverte essentiellement.
Toutefois le rythme est mou et le film est surtout tourné vers la performance technique et collective plutôt que vers un objectif d’exploration concret. D’une certain façon Cameron succombe à la mode du développement personnel où l’aventure n’est qu’un prétexte pour mieux se connaître ou pour se faire plaisir, le chemin parcouru (lchallenge) étant perçu comme plus important que la destination (deepsea)
spoiler: Au fond, il ne filme pratiquement rien et la plupart des instruments d’exploration sont hs de sorte qu’il n’y a plus qu’à remonter ! Mais il s’en moque…au fond.
L’exploit ne sert à rien si ce n’est pour sa gloire personnel d’explorateur qui peut ajouter un trophée de plus à son tableau de chasse. Une forme de privatisation de l’exploit du Trieste de Picard 55 ans plus tôt mais sans apport scientifique/technique concret. Un bégaiement gênant. Il y a dans l’évolution de Cameron quelque chose de profondément désenchanté puisqu’il semble désormais incapable de filmer autre chose que lui même face à son vain exploit personnel, avec ses selfies le montrant engoncé avec son bonnet sur la tête, alors qu’il est l’une des rares personnes aujourd’hui qui est capable de remettre au premier plan l’aventure en générale , et l’exploration des océans, en particulier. L’aventure pour la découverte essentiellement.
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