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Votre avis sur Robin des bois, la véritable histoire ?
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au secours!!
à fuir absolument!!
une distribution alléchante, une histoire bien décevante. ce fut un loooong moment, où je n'ai fait qu'attendre... la fin!
à fuir absolument!!
une distribution alléchante, une histoire bien décevante. ce fut un loooong moment, où je n'ai fait qu'attendre... la fin!
NammJones
Robin des bois est un film très mauvais, avec des dialogues, un casting, des décors et une musique absolument sans intérêts, ridicules, arriérés et débiles.
Le résultat est énervant car il donne l'impression d'être pris pour des abrutis de téléspectateurs qui peuvent se contenter d'une chose pareille.
C'est à se demander qui peut se satisfaire d'un film aussi inintéressant, c'en est vexant !
Le résultat est énervant car il donne l'impression d'être pris pour des abrutis de téléspectateurs qui peuvent se contenter d'une chose pareille.
C'est à se demander qui peut se satisfaire d'un film aussi inintéressant, c'en est vexant !
Pour ceux qui ne connaissent pas Max Boublil , autant dire qu'il est un ovni sur le web. Clip et chansons potaches, parodie grotesque, l'homme est doué, c'est vrai. Cet artiste en devenir joue dans un premier film à son image, c'est à dire non pas le 2e mais le 3e degrés. Celui qui est venu revivre les aventures de Robin des Bois avec Kevin Costner, a tout faux. Ici , on a pas honte du ridicule, même Patrick Timsit et Gérard Darmond l'ont compris. L'histoire est original (un Robin des Bois fourbe qui vole les pauvres) et il faut pas en attendre plus, cependant si on laisse son cerveau sur le porte-mentaux , on passe une excellente soirée !!
Robin des bois connait déjà de gros succès (dernier en date, celui réalisé par Ridley Scott). Alors se reposé seulement sur le casting, cela ne suffit pas. Car malgré 2 / 3 scènes marrantes, beaucoup tournent au ridicule : la pause pipi notamment. Et les dialogues n'arrangent rien : le vocabulaire familier est omniprésent, aucune finesse, aucune recherche... on a même droit à des grognements d'un Shérif cannibale (au passage, Gérard Darmon est très décevant dans ce film). Seul le scénario tient la route. Pour se démarquer des productions américaines, il aurait fallu se focaliser sur la comédie, avec des textes travaillés. La véritable histoire, on l'attend encore...
Cinéphiles 44
Une parodie de Robin des bois, on aurait pu trouver ça drôle. En fait, les gags d’un niveau très faible sont affligeants. Ce serait un mensonge de dire que Max Boublil et Géraldine Nakache sont mauvais, mais leurs rôles nous attristent. Anthony Marciano ne joue même pas avec les nombreuses références et clins d’œil, il déforme complètement l’histoire. Il résume son film à dire qu’untelle est laide et qu’untel sent mauvais de la bouche. Franchement… Robin des bois, la véritable histoire ne gagne des points qu’au niveau de ses costumes.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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L'histoire de Robin des bois revisitée sur le ton de la comédie. D'autres s'y sont essayé avec succès mais celui ci pêche par un humour sale, des personnages pas charismatiques pour un sou (un comble pour Robin des Bois quand même) et malgré quelques invités de marque (Géraldine Nakache, Patrick Timsit) le film peine vraiment à arracher ne serait ce qu'un sourire
Fêtons le cinéma
Il fallait certainement une bande de potes pour incarner à l’écran la bande de Sherwood : le sens de la camaraderie s’en trouve renforcé. Mais fallait-il à ce point déserter l’écriture en construisant le film sur une succession de blagues tirées, on peut le supposer, des concours de blagues auquel se livre le petit groupe une fois réuni ? Comme Alad’2 quelques années plus tard, cette mouture parodique de Robin des Bois n’a rien à dire de la légende qu’elle investit, si bien qu’on se demande si c’est l’argent qui a servi de motivation principale ou alors la propension d’artistes issus, pour l’essentiel, de la confession judaïque à tourner en dérision le cliché monétaire, ce qui laisse l’argent au cœur des préoccupations. On ne cesse de brader l’héroïsme, d’évaluer les pertes et les profits, de courir après les trésors, de payer une chambre d’hôtel, de racketter des enfants, de voler une femme sur le point de se faire violer. Or, cette obsession de l’argent ne propose aucune relecture un tant soit peu pertinente de la légende, hormis le fait que ladite légende repose sur une bonté propre à la fiction et ici démasquée. C’est parodique, nous dira-t-on. Sauf que toute parodie est d’essence politique. Pensons au Jabberwocky de Terry Gilliam qui, sous la reconstitution burlesque et extravagante d’un Moyen Âge sombre, sale et cruel, incarne dans son anti-héros la propension du fou à révéler le mal d’une société contrainte de vivre dans la peur. Rien de tel ici, pas une once de réflexion. Alors quelques dialogues fonctionnent, quelques blagues font rire. Mais ce que l’on retient en sortant de cette Véritable Histoire, c’est la gratuité de ce triste spectacle aussi vulgaire qu’inerte et fort mal mis en scène : il suffit de voir les séquences voulues épiques pour manquer de rendre son déjeuner, tant la caméra et le montage échouent à traduire cinématographiquement la confusion et l’enchaînement des actions à l’œuvre. Tout gesticule, on n’y voit goutte. Surtout, le plus grand défaut du long-métrage est son absence de progression dramatique : là où Alad’2 saute d’un lieu à un autre, passe d’un temps ancestral à notre époque contemporaine en stationnant sur la plage où Christophe Colomb et ses hommes débarquèrent jadis, là où Alad’2 cache sa médiocrité derrière le mouvement de sa structure, Robin des Bois version Marciano erre dans la forêt, va et vient sans but ni motivation, nous assomme de plans répétitifs et peu inspirés. Autrement dit, le détournement parodique ne s’ouvre jamais au spectateur, mais semble circulaire voire autarcique : il s’engendre et s’alimente lui-même. Laissons donc ce petit monde répéter inlassablement la laideur de Marianne ou les stratifications identitaires de Frère Tuck, au risque de nous faire détrousser de notre temps et de notre énergie.
J'ai rarement vu aussi mauvais. Mal joué, prévisible, très mal filmé... mention spéciale pour le directeur photo qui a fait un boulot très médiocre.
Boublil mauvais. Abitan, Bentala et Nakach se tiennent au niveau du héros...
Je viens de voir un film de potes, qui se sont éclatés entre eux, sans avoir penser une seule seconde qu'il allait avoir un public qui subirait cette horreur.
scénario qui aurait pu être pas trop mal si les acteurs avaient pris le temps de travailler.
Bref, si vous ne l'avez pas encore vu, fuyez pauvres fous !
Boublil mauvais. Abitan, Bentala et Nakach se tiennent au niveau du héros...
Je viens de voir un film de potes, qui se sont éclatés entre eux, sans avoir penser une seule seconde qu'il allait avoir un public qui subirait cette horreur.
scénario qui aurait pu être pas trop mal si les acteurs avaient pris le temps de travailler.
Bref, si vous ne l'avez pas encore vu, fuyez pauvres fous !
LBDC
(...) Mais pour revenir à la bande-annonce, l’humour que vous y verrez est exactement celui du film… Mais vraiment exactement.
Car il s’agit d’un comique de répétition. Ainsi, chaque blague du trailer est déclinée tout au long du film, en s’appliquant à différentes situations et personnages qui, mises en comparaison avec les précédentes, façonnent un humour sur le long terme. C’est le principe du running-gag. Malheureusement, les situations se suivent et se ressemblent, et aucune ampleur ne viendra vraiment relancer l’intérêt. Ainsi, passée la 3 ou 4 ème itération… L’humour finit par lasser. Et ce n’est pas le revirement héroïque final qui viendra enlever cette désagréable impression d’excès (...
critique par GEORGESLECHAMEAU - l'intégralité, sur Le Blog du Cinéma
Car il s’agit d’un comique de répétition. Ainsi, chaque blague du trailer est déclinée tout au long du film, en s’appliquant à différentes situations et personnages qui, mises en comparaison avec les précédentes, façonnent un humour sur le long terme. C’est le principe du running-gag. Malheureusement, les situations se suivent et se ressemblent, et aucune ampleur ne viendra vraiment relancer l’intérêt. Ainsi, passée la 3 ou 4 ème itération… L’humour finit par lasser. Et ce n’est pas le revirement héroïque final qui viendra enlever cette désagréable impression d’excès (...
critique par GEORGESLECHAMEAU - l'intégralité, sur Le Blog du Cinéma
Au secours ! C'est lourd, c'est bête, c'est graveleux inutilement, c'est joué avec les pieds, on voit les gags arriver gros comme une maison. Et encore, quand je dis gag, c'est façon de parler, car ce n'est même pas drôle. À fuir !
90 minutes très longues, lourdingue, grossier souvent, vulgaire parfois, pathétique, bas de gamme, il n'a pas grand chose à retenir de cette production, dont le mélange des époques ne prend absolument pas! L’archétype du film (mauvais) français, dans toute sa splendeur!
Gardez précieusement votre bourse pour un autre usage...
Gardez précieusement votre bourse pour un autre usage...
ça que le cinéma français nous propose en ce moment, les blagues sont lourdes et pas drôles, et on va pas parler des acteurs car c'est totalement navrant. Je vais conclure car il y à tellement de défauts dans ce film qui faudrait que je rédige un roman. donc c'est mauvais et je le déconseille.
Deux étoiles pour le mérite d'essayer. A l'image des Gorilles sorti à la même période, on assiste à un bel échec français qui réuni beaucoup de talents français en nous les servant sur un plateau en carton pour picnic saucisse chips. Rien dans ce film n'en fera un incontournable. Les blagues font un peu sourire mais sont mal servies. Le tout manque de dynamisme. A éviter chaudement.
Une très bonne comédie avec Max Boublil qui porte le film à lui tout seul et qui réussi une bonne prestation.
toujours le même humour de Max, sans innovation, très primaire, dommage que la présence d'acteur plus ancien n'est pas pu relevé le niveau. sans intérêt.
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