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    J'accuse
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    3,8
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    817 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 14 novembre 2019
    rien d'exceptionnel, on nous fait croire que le film est époustouflant mais il n'en est rien, effet de la presse
    Fabienne L
    Fabienne L

    15 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 décembre 2019
    L’Affaire Dreyfus, ce « drame inouï d’humanité » selon Clemenceau, cette « crise religieuse » selon Péguy, cette « orgie de métaphysiciens » selon Barrès, ébranle profondément la conscience du pays. Considérée par Barrès comme une question « de vie ou de mort pour la nation », l’Affaire constitue dans la vie politique française une coupure. En mettant chacun dans l’obligation de se définir par rapport à un certain nombre de principes, elle accentue les clivages politiques et provoque une clarification….L’Affaire provoque l’affrontement de deux visions du monde, de deux conceptions de la société, de deux échelles de valeurs morales.
    L’équipée boulangiste est ramenée à de plus justes proportions par une crise qui remue les consciences et façonne le comportement politique des Français pour plusieurs dizaines d’années.
    Bien que les problèmes qu’elle a soulevés n’ ont pas été résolus, l’Affaire, pour autant, n’a pas sombré dans l’oubli. Non seulement parce que les forces battues en 1902 ont continué de jouer un rôle de premier plan jusqu’au lendemain de la seconde guerre mondiale, mais surtout, peut-être, parce qu’elle a posé d’une manière concrète, et en lien direct avec la vie de tous les jours, quelques-unes des questions fondamentales de la politique…
    (Zeev Sternhell, Maurice Barrès et le nationalisme français (1972), pages 246 à 281)
    L’Affaire s’invite à nouveau, en force, en 2019, à un moment où le retour de l’antisémitisme se ramifie, se développe sur le tronc des vieilles branches mais se nourrit également de jeunes branches inventant un racisme new school et vingt et unième siècle. Repenser les racismes n’est pas sans intérêt philosophique, historique et social. Le repenser en lien avec la mondialisation et en terme de fléau universel est certainement un exercice utile. Mais devait-on revenir sur cette affaire de façon cinématographique ?
    Lire une thèse sur Dreyfus et décortiquer l’affaire d’un point de vue scientifique au regard de nouveaux documents fera toujours progresser nos connaissances. L’illustrer par un film est une autre affaire.
    Un film n’est pas un livre. Ni un article. J’accuse ne montre que des militaires à moustaches, moches et ridiculisés. Le Film est vilain… même ce beau gosse de Dujardin est enlaidi. Dans sa maigreur hautaine. Pour ceux qui ne trouvent pas les histoires d’Armées très folichones, le film est fatiguant. Il grince comme ces vieux parquets. Le niveau sonore cherche à nous ramener aux ambiances du 19éme et au générique on s’aperçoit qu’il y a un directeur des « Ambiances ». Quel a été le prix de ce film ? Le nombre de décorateurs et d’experts en tout genre est ahurissant. La lumière est également savamment étudiée. Mais tout est moche et marron. Ce film est un cauchemar. J’ai passé deux mauvaises heures dans des ambiances sombres avec des personnages désagréables avec d’immenses moustaches, faux, racistes et méchants. Le dernier film de Polanski est vilain. Tout juste vilain.
    Francis S.
    Francis S.

    25 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 novembre 2019
    Chacun connaît à sa façon l'affaire Dreyfus. Chacun en tire les leçons qu'il veut.

    Roman Polanski, du haut de plus de 50 années de carrière de cinéaste et de sa vie d'homme, avec ses lumières et ses ombres, en tire une magistrale leçon sur ce que peuvent les hommes dans le combat du bien et du mal.

    Les hommes du mal sont légion dans cette fresque intense et captivante. On les connaît, militaires, magistrats, journalistes, affairistes, fils de famille et vendus. La foule aussi - malheureusement univoque dans le film.

    Face à eux, quelques hommes de bien, politiciens, avocats, tribuns... et Picquard.
    Picquard, tel De Gaulle en 1940, seul pour tenir debout l'honneur de l'armée et de la France.
    Picquard, qui fait son devoir et qui en paie le prix.
    Picquard, fort et humain, déterminé et indigné, discipliné mais lucide...
    Picquard, en passe d'être broyé mais qui tient Le Cap de la vérité...

    Toute cette complexité est rassemblée dans le jeu limpide,sobre et puissant de Jean Dujardin, admirable de bout en bout.

    A ses côtés, une flopée de grands seconds rôles, dont plusieurs ténors de la Comédie française, qui lui font une suite impeccable. Polanski aime la France, on le sent dans ce casting richissime et subtil.

    Et puis il y a les décors, les costumes, la ville de 1895, la lumière, le cadrage, les dialogues, les mouvements de la caméra, en plein champ ou très serrée, toujours juste. Du grand art, du grand spectacle.

    La dramaturgie inouïe de cette affaire impensable aujourd'hui - n'en déplaise aux matamores et aux imposteurs qui enfourchent les faux combats d'aujourd'hui - devient une légende dans le prisme genial du Maître. L'intensité des sentiments rappelle la catalepsie des sens dans laquelle nous avait placés "Le Pianiste".

    Peu importe l'homme Polanski. Peu importe qu'il ait "oublié" de montrer que tout une partie des Français soutenait le combat de Dreyfus, Picquard, Zola... Peu importe son "agenda"...

    Je ne retiens que la magistrale leçon de cinéma, que la fresque grandiose d'une injustice odieuse, que l'ode à l'espérance, malgré tout, en l'humanité.
    EMMANUEL G.
    EMMANUEL G.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 novembre 2019
    Un film magistral. Décors et costumes superbes, mise en scène irréprochable, Dujardin excellent, magnifique distribution faisant la part belle aux meilleurs de la Comédie Française (le parle bien de la vénérable institution) : un film indispensable, très proche de la vérité historique, pour comprendre la grande affaire qui divisa la France à l'aube du XXème siècle. Traité comme un (excellent) thriller, on est tenu en haleine de bout en bout. A la fin de la séance, tous les spectateurs étaient scotchés à leur siège, incapables de quitter la salle avant la fin du générique. Du très grand cinéma, à ne louper sous aucun prétexte.
    rogerwaters
    rogerwaters

    142 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2019
    Reconstitution scrupuleuse de l’affaire Dreyfus, J’accuse a le mérite de revenir sur les grandes phases de cette histoire, tout en prenant soin de divertir le public. Il est intéressant de suivre l’enquête menée par Picquart au lieu de se concentrer sur Dreyfus lui-même. Toutefois, cela oblige le cinéaste à choisir certains angles, à privilégier une période (le début de l’affaire), plutôt qu’une autre (la réhabilitation). De même, on peut regretter de ne pas avoir le point de vue de la famille et finalement peu de renseignements sur Dreyfus lui-même qui nous reste étranger. Bref, Polanski signe un bon film factuel, souvent intéressant, parfois trépidant, mais qui manque parfois de profondeur historique, notamment en ce qui concerne le contexte. On ne saisit jamais à travers le film le bouleversement qu’a pu être une telle affaire pour la France de l’époque, véritablement coupée en deux.
    garnierix
    garnierix

    231 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2019
    Magnifique fresque d’époque, sur la réalisation de laquelle il n’y a rien à dire, sinon conseiller aux jeunes réalisateurs de s’en inspirer. L'auteur ayant 86 ans, c’est admirable. Synopsis : le film relate l'affaire Dreyfus qui a fracturé la société française pendant plus de dix années autour de l’an 1900. Mais c’est finalement l’histoire d’un homme qui n’est pas Dreyfus, c'est celle de l’un de ses ex-accusateurs (un certain Picquart, joué par Dujardin), menacé dans son honneur et dans sa vie, car il est coupable de s’intéresser à la vérité. Le film est donc en même temps un thriller, où se mêle espionnage et conspiration. Et un thriller original, parce que nous avons oublié les méthodes des services secrets d’antan, saturés que nous sommes par les histoires d’espionnage (notamment américaines) d’aujourd’hui, qui sont saturées de technologies de pointe. Quoi qu’il en soit, c’est un film qui nous parle aussi du monde fracturé d’aujourd’hui, en nous plongeant dans le monde de cette pauvre Troisième République française (à l’époque la fracture était entre dreyfusards et anti-dreyfusards). Côté acteurs, Jean Dujardin est excellent, Vincent Grass aussi ; les autres, c’est correct, mais sans plus ; Melvil Poupaud surjoue, et Louis Garrel qui joue Dreyfus aussi. A.G.
    Francois M
    Francois M

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 novembre 2019
    Rien de neuf, personnages caricaturaux...Ce n'est pas ce film qui fera oublier les turpitudes du réalisateur !
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    269 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 novembre 2019
    Alors, bien sûr, ce n'est pas un mauvais film. Tout se tient : le scénario, la mise en scène, la photo, les décors, les costumes… Et l'intérêt de retracer cette histoire d'injustice, ce scandale d'État, tout en évoquant un antisémitisme qui trouve des résonances contemporaines dans toutes les formes de racisme ambiant, est réel. Mais on peut n'apprécier que moyennement la facture d'ensemble : ultra académique, avec un petit côté caricatural de film institutionnalisé, calibré "patrimoine français", estampillé "qualité française" (le film est produit notamment par France 2 et France 3). Le discours est politiquement correct, antidiscriminatoire, sans pour autant aller trop farfouiller dans la fange idéologique de l'époque, le tableau social n'étant finalement que la toile de fond d'une intrigue divertissante qui s'appuie sur une formule traditionnelle de nombreux polars, thrillers et autres films d'espionnage : un faux coupable + un héros justicier.
    Côté casting, on a rarement vu autant de sociétaires de la Comédie française rassemblés dans un film (voilà qui assoit encore plus la "qualité française" du film), aux côtés d'une pléiade d'acteurs connus qui investissent tous les rôles, même les plus petits (le tournage de ce film était manifestement "the place to be"). On sort ainsi souvent du récit pour se dire : "Oh tiens, c'est Machin dans le rôle de l'avocat ; oh tiens, c'est Machin dans le rôle du général." Il y a aussi du : "Oh tiens, ce serait pas Polanski en habit d'académicien ?" (Modeste, le réalisateur…) Bref, le côté "m'as-tu vu" mange parfois le traitement du sujet et c'est dommage. De son côté, Jean Dujardin, dans le rôle principal, prend son travail très au sérieux. On sent qu'il a conscience de "jouer au grand acteur". Il était plus naturel, touchant et convaincant dans son précédent film, Le Daim, sous la direction de Quentin Dupieux.
    Casting et reconstitution de luxe accouchent au final d'un drame théâtralisé, un peu lourd et prétentieux. Où l'on assène la "réplique qui tue" en gros plan, en laissant le temps au spectateur de mesurer à quel point c'est "une réplique qui tue". Et au cas où ledit spectateur n'aurait pas encore pleinement pris conscience du génie de l'instant, on nous sert une grosse louche du potage musical d'Alexandre Desplat (qu'on a connu plus fin). Il est donc bien difficile, dans un cadre aussi formaté et artificiel, de ressentir la moindre émotion…
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2019
    Auréolé du Grand Prix à la dernière Mostra de Venise, Roman Polanski, l'artiste ( ça c'est fait ), nous livre une très bonne adaptation, d'une affaire qui va faire grand bruit en cette fin du 19ème siècle, l'affaire Dreyfus !

    En 1894, Alfred Dreyfus, officier français de confession juive, est condamné à la déportation à vie pour avoir fourni des documents secrets à l'Allemagne. Le colonel Marie-Goerges Picquart, promu chef du bureau des renseignements, va vite découvrir la vérité sur cette affaire et va se battre pour prouver l’innocence de Dreyfus face à un gouvernement et une société antisémite.

    Ne vous laissé par avoir par mon titre. Bien que Dujardin joue les espions, Jaccuse reflète une véritable quête pour percer à jour un gouvernement qui veut cacher une vérité, le tout dans un film plutôt sombre.

    Les bases sont posées dés l'introduction et nous sommes immergés lors de la destitution de d'Alfred Dreyfus, face aux généraux et une foule apeurés face à ce supposé-traître. La météo nous imposent des couleurs maussades, et nous fait bien comprendre que l'on fait face à une des plus grandes injustices de notre histoire. Malgré la détermination de Dreyfus à prouver son innocence, son honneur est bafoué par cette mise à nue et ce lynchage public. L'engrenage vers sa déportation est inévitable face à une armée et un gouvernement profondément ancrée dans une haine antisémite.

    Et c'est parti ! Avec de nombreux longs flash-backs pour encore plus décrire l'histoire, Polanski nous immergent dans ce thriller d’espionnages, qui va révéler les vrais visages des ministres et commandants de l'époque. Je n'ai donc inévitablement rien à redire sur le scénario, celui-ci est assez rythmé sans presque pas de moment faible. Des remises en question de papier falsifiés et d'espionnage d'officier, jusqu’au procès finale, le film est une petite mine d'informations sur cette triste et injuste histoire. Je regrette quand même le manque d'importance concernant l'article de Zola et son fort impact sur l'opinion publique.

    J'accuse est magnifié par son intéressante utilisation des couleurs ( très souvent froides ), ses lumières très naturel, ses FORMIDABLES décors et sa photographie réussite. Roman Polanski fait appel d'ailleurs à une réalisation composé majoritairement de plans fixes et de steadicam au grand angle, pour suivre au plus prés les personnages à travers les nombreux bureaux.
    D'ailleurs les pièces, les bureaux ont une très grosse place dans le film. En effet, la question bureaucratique est primordiale dans cette affaire ( pour accentuer encore plus cette question du privé, du secret d'état ). Ce qui rend plus faible les plans sur la ville de Paris, bien que le peu de ceux-ci soit je trouve assez convaincant, mise à part quelques fond verts peu esthétiques.

    Coté distribution évidement, Jean Dujardin est très pertinent dans le rôle du commandant Picquart. Louis Garrel, bien plus discret, est lui aussi très bon dans le rôle d'Alfred Dreyfus. Le reste du casting, à noté majoritairement issus de la comédie française, est quant à lui aussi très bon. Petite réserve concernant Emmanuelle Seigner, que je trouve assez faible dans son jeu.

    Malgré sa forte controverse, J'accuse s'avoue être très intéressant ! Grâce à ces allures de thriller d’espionnage maîtrisé, le film ne nous laissent pas distant face à un événement qui peut paraître si lointain !
    clamarch
    clamarch

    12 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2019
    Quelle réussite ! Et comme c'est intéressant de voir le cheminement de ce militaire plutôt antisemite au départ mais dont l'intégrité morale prend le pas sur tout. Jeu excellent des acteurs (sauf Emmanuelle Seigner à mon avis, pas convaincante et fade). Le décor naturel est superbe, la photographie et l'éclairage en demi teinte nous plongent dans la réalité de l'époque. A ne pas rater.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 novembre 2019
    Des lenteurs interminables, un rythme incompréhensible (on passe en 4 secondes plusieurs années et on s'étend pendant des minutes entières sur quelques jours), on ne comprend plus rien à l'affaire tant c'est mal retranscrit (mes cours d'histoire sont loin derrière moi et je ne suis pas un spécialiste), Dujardin que je déteste au demeurant sauve un peu le film, les autres ne sont à aucun moment pertinent, ça surjoue dans tous les sens. Évitez la séance de 22h, ça fait cher le petit somme
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 novembre 2019
    Très lent pendant 1h30 puis rushé sur les 30 dernières minutes (sensées être le dénouement positif)
    Dommage
    Yan B.
    Yan B.

    4 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 novembre 2019
    Très bon film, bons acteurs...malgré cette campagne de presse négative.
    Je le recommande. Dujardin est excellent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 novembre 2019
    Formidable film qui nous tient en haleine du début à la fin sans une minute d ennui ! Merveilleusement réalisé et joué ! A voir impérativement particulièrement par les jeunes.
    tixou0
    tixou0

    701 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 décembre 2019
    "J'accuse"... le boboland de trouver ce xième film de Polanski le scandaleux, "quand même excellent" (et autres : "remarquable", "nécessaire" etc.). Par pur principe, et/ou habitude d'encenser un cinéaste maintenant à l'hiver de sa vie, et qui n'a plus rien à montrer d'intéressant sur le plan cinématographique.
    Et je défie quiconque, qui sort de ces 2 heures 12 de projection, d'avoir une idée précise et complète de la célébrissime "Affaire Dreyfus" ! Il s'agit d'ailleurs, nous apprend le générique, non d'une reconstitution documentariste et historiquement exhaustive des tenants et aboutissants de ladite, mais de l'adaptation d'un roman (par un Britannique). Même pas sûre que cela constitue, au moins, une introduction pertinente à une véritable étude en la matière.... On assiste à un interminable défilé de comédiens, français souvent (entendez, du Français) - ai compté 7 sociétaires ou pensionnaires, qui font un petit tour (que de militaires, il est vrai, à mettre en scène...), pour une dramaturgie peu fluide, voire obscure ou lacunaire. Plus la dame Seigner, moins décorative qu'il y a encore quelque temps, et toujours aussi mauvaise interprète (pour un rôle inutile), Louis Garrel, loin de sa posture habituelle de "beau ténébreux" (en Dreyfus - simplement taciturne) et Jean Dujardin, pas plus convaincant que cela dans le rôle principal, celui du lieutenant-colonel Picquart, d'enquêteur (avec mérite, puisque pas franchement judéophile) à réprouvé, mais devenu ministre de la Guerre (?), dans un épilogue - bâclé à tous points de vue.
    Académique sur la forme, par ailleurs - c'est-à-dire même pas digne de louanges à cet égard, ce très dispensable "J'Accuse !".
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