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38 critiques presse
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou et Olivier Rossignot
"J’accuse", par sa maîtrise du suspense, égale les chefs-d’œuvre des débuts du réalisateur (...) Avec Robert Harris, Polanski s’empare du potentiel fictionnel de l'épisode historique à travers les codes du film d’espionnage. Si l’affaire Dreyfus contient en elle-même un noyau dramaturgique puissant, une matière narrative riche, Polanski en tire une lecture hitchcockienne sur le thème de la contre-enquête et du faux-coupable, dans un climat paranoïaque.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Roman Polanski fait son grand retour avec un sujet magistralement traité.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film qui décrypte à travers l’affaire Dreyfus une société, celle du XIXe siècle, dont les soubresauts antisémites résonnent malheureusement encore aujourd’hui. Indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Qu'importe les costumes et l'apparat fin XIXe-début XXe, "J'accuse" est d'une modernité saisissante et d'une actualité brûlante. C'est un grand spectacle aussi, filmé de main de maître et servi par la crème du landernau cinématographique, Jean Dujardin (Georges Picquart), en tête, bien parti pour le césar du meilleur acteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une fiction historique magistrale et une oeuvre farouchement personnelle.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un récit passionnant, une mise en scène impressionnante, une interprétation saisissante de Jean Dujardin...
Positif
par Alain Masson
"J'accuse" n'est pas seulement un récit neuf, exact et puissant de l'Affaire ; c'est aussi une oeuvre personnelle qui en dégage le sens le plus durable : il existe une complicité hideuse entre un mal constitutif de l'état des choses et certains hommes dotés de pouvoirs, "Rosemary's Baby" le montrait déjà en 1968.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Polanski est un cinéaste de 85 ans qui a le sens du rythme et l’art du suspense. Il traverse martialement cette affaire où transpire l’antisémitisme de l’époque en cette IIIe République naissante. Mais surtout, il offre à Jean Dujardin un rôle en or dont l’acteur se tire par une sobriété de ton qui accompagne la plasticité de son verbe.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Serge Kaganski
Le film est trop bien joué, trop dense et trop bien rythmé pour qu’on s’endorme devant tel comédien ou tel décor Belle Époque.
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Un classique instantané.
Bande à part
par Michel Cieutat
Avec "J'accuse", Roman Polanski renoue avec l'Histoire douloureuse, celle qu'il avait déjà abordée dans son mémorable "Le Pianiste" (2002) et qu'il retraite ici avec le même souci de dénoncer les égarements trop concertés, les hypocrisies les mieux dissimulées et les aveuglements très volontaires d'époques qui ne sont point vraiment révolues. Et cela avec le même talent hautement cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Un thriller mené tambour battant.
Closer
par La Rédaction
Dujardin est un Picquart très juste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Roman Polanski a décidé d’être du côté de la légende : dans l’affaire Dreyfus, il y a un héros et ce héros s’appelle Picquart, incarné par un Jean Dujardin magistral et déterminé.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par François Forestier
A 86 ans, le cinéaste signe ici un film dont la violence est souterraine, et dont le sujet, l’antisémitisme, est plus actuel que jamais. Le plus intéressant, c’est que le héros de cette histoire, Picquart, était lui-même antisémite, caractéristique partagée par une grande partie de l’opinion, alors.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le soin apporté aux cadrages, aux décors, aux costumes, à la lumière, confèrent au film, Lion d’argent au festival de Venise, une puissance étourdissante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Choisissant le point de vue dreyfusard, Polanski évite avec brio les pièges du film à thèse, dans un film fort, à la clarté pédagogique et de facture très classique.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Une belle leçon d’histoire et de cinéma.
Le Monde
par Mathieu Macheret
(...) une plongée saisissante dans les arcanes troubles et tortueux de l’Affaire, retracée ici avec un parti pris de froideur et de distanciation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Jean-Claude Raspiengeas
Un thriller historique et moral de haute volée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Le film le plus fort de Polanski depuis Le Pianiste.
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Le rythme et l’élégance du découpage, dont Polanski demeure un maître, sont pour beaucoup dans l’impression de fraîcheur que dégage le film. Le cinéaste parvient même à donner une dimension ludique à ce récit pourtant lesté de significations historiques fondamentales et finalement très actuelles.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas et Luc Chessel
"J’accuse" est du côté du cinéma, du côté de l’art, un camp dans lequel nous avons quelque mal à nous ranger par les temps qui courent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Roman Polanski met en scène avec un sens de l’absurde indiscutable et une précision d’horloger le simulacre de procès, le corporatisme imbécile et l’antisémitisme de salon qui entraînèrent la persécution d’un homme.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Roman Polanski retrace l'affaire Dreyfus dans un film ambigu et puissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Belkacem Bahlouli
La réalisation virtuose sert ici un propos et un engagement tout en dépeignant une galerie de personnages véreux de façon remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Jacques Morice
On croyait connaître l’affaire Dreyfus. Mais pas avec un tel souffle, un tel luxe de détails et de rebondissements. Palpitant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Une mise en scène précise et subtile, dépassionnée, habitée par une distribution exceptionnelle.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Polanski revient avec un grand film où il démontre une nouvelle fois la puissance de la mise en scène et de la conduite d’acteurs au service de la réhabilitation légitime d’Alfred Dreyfus. Prenant et porté par des comédiens exceptionnels.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Il ne s’agit bien sûr pas de transformer l’affaire Dreyfus en farce mais de rendre encore plus manifeste sa dimension monstrueuse, pour en faire découler un tragique grinçant.
Critikat.com
par Josué Morel
Face à la complexité du dossier Dreyfus, le cinéma de Polanski retrouve une certaine vigueur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Avec "J’accuse", Polanski offre plus un thriller d'espionnage qu'un film historique pur et dur. Une idée narrative solide qui s'enlise finalement au bout d'une heure dans un rythme neurasthénique et une absence d'émotion. Une apathie causée en partie par le choix de Polanski de faire un parallèle inconvenant entre son oeuvre et sa propre histoire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Alexandre Lazerges
Il est quand même regrettable que le film "J’accuse" passe trop rapidement sur le débat de fond virulent qui agite la société française entre dreyfusard et anti-dreyfusard, parfois au sein même des familles, pour ne se concentrer que sur le déroulé minutieux du combat de Marie-Georges Piquart.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Vincent Ostria
Certes, Polanski n’occulte pas l’antisémitisme ambiant dans la société française, qui mena à l’accusation de Dreyfus, mais les racines de ce racisme conventionnel ne sont pas explorées. Bref, si l’on met de côté son instrumentalisation douteuse de l’affaire Dreyfus, la réhabilitation technique et artistique du cinéaste (et seulement elle) est accomplie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Chez Polanski, la politique reste une affaire de morale : "J’accuse" ne fait que reprendre le vieux précepte hitchcockien confrontant un innocent à un monde coupable.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Dans une reconstitution très soignée, le réalisateur dresse le portrait du défenseur de Dreyfus qui se sauve de son antisémitisme à travers son combat pour la vérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Mettant en scène avec maestria les conséquences de “l’affaire”, Polanski livre une œuvre instructive mais un peu sage.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Toutefois, mieux vaut connaître cet épisode historique, tant le film n'en donne qu'une version elliptique. D'où une impression d'inachevé.
Culturopoing.com
"J’accuse", par sa maîtrise du suspense, égale les chefs-d’œuvre des débuts du réalisateur (...) Avec Robert Harris, Polanski s’empare du potentiel fictionnel de l'épisode historique à travers les codes du film d’espionnage. Si l’affaire Dreyfus contient en elle-même un noyau dramaturgique puissant, une matière narrative riche, Polanski en tire une lecture hitchcockienne sur le thème de la contre-enquête et du faux-coupable, dans un climat paranoïaque.
Femme Actuelle
Roman Polanski fait son grand retour avec un sujet magistralement traité.
Franceinfo Culture
Un film qui décrypte à travers l’affaire Dreyfus une société, celle du XIXe siècle, dont les soubresauts antisémites résonnent malheureusement encore aujourd’hui. Indispensable.
L'Express
Qu'importe les costumes et l'apparat fin XIXe-début XXe, "J'accuse" est d'une modernité saisissante et d'une actualité brûlante. C'est un grand spectacle aussi, filmé de main de maître et servi par la crème du landernau cinématographique, Jean Dujardin (Georges Picquart), en tête, bien parti pour le césar du meilleur acteur.
Marianne
Une fiction historique magistrale et une oeuvre farouchement personnelle.
Ouest France
Un récit passionnant, une mise en scène impressionnante, une interprétation saisissante de Jean Dujardin...
Positif
"J'accuse" n'est pas seulement un récit neuf, exact et puissant de l'Affaire ; c'est aussi une oeuvre personnelle qui en dégage le sens le plus durable : il existe une complicité hideuse entre un mal constitutif de l'état des choses et certains hommes dotés de pouvoirs, "Rosemary's Baby" le montrait déjà en 1968.
Sud Ouest
Polanski est un cinéaste de 85 ans qui a le sens du rythme et l’art du suspense. Il traverse martialement cette affaire où transpire l’antisémitisme de l’époque en cette IIIe République naissante. Mais surtout, il offre à Jean Dujardin un rôle en or dont l’acteur se tire par une sobriété de ton qui accompagne la plasticité de son verbe.
Transfuge
Le film est trop bien joué, trop dense et trop bien rythmé pour qu’on s’endorme devant tel comédien ou tel décor Belle Époque.
Télé Loisirs
Un classique instantané.
Bande à part
Avec "J'accuse", Roman Polanski renoue avec l'Histoire douloureuse, celle qu'il avait déjà abordée dans son mémorable "Le Pianiste" (2002) et qu'il retraite ici avec le même souci de dénoncer les égarements trop concertés, les hypocrisies les mieux dissimulées et les aveuglements très volontaires d'époques qui ne sont point vraiment révolues. Et cela avec le même talent hautement cinématographique.
CNews
Un thriller mené tambour battant.
Closer
Dujardin est un Picquart très juste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Roman Polanski a décidé d’être du côté de la légende : dans l’affaire Dreyfus, il y a un héros et ce héros s’appelle Picquart, incarné par un Jean Dujardin magistral et déterminé.
L'Obs
A 86 ans, le cinéaste signe ici un film dont la violence est souterraine, et dont le sujet, l’antisémitisme, est plus actuel que jamais. Le plus intéressant, c’est que le héros de cette histoire, Picquart, était lui-même antisémite, caractéristique partagée par une grande partie de l’opinion, alors.
La Voix du Nord
Le soin apporté aux cadrages, aux décors, aux costumes, à la lumière, confèrent au film, Lion d’argent au festival de Venise, une puissance étourdissante.
Le Dauphiné Libéré
Choisissant le point de vue dreyfusard, Polanski évite avec brio les pièges du film à thèse, dans un film fort, à la clarté pédagogique et de facture très classique.
Le Journal du Dimanche
Une belle leçon d’histoire et de cinéma.
Le Monde
(...) une plongée saisissante dans les arcanes troubles et tortueux de l’Affaire, retracée ici avec un parti pris de froideur et de distanciation.
Le Parisien
Un thriller historique et moral de haute volée.
Le Point
Le film le plus fort de Polanski depuis Le Pianiste.
Les Inrockuptibles
Le rythme et l’élégance du découpage, dont Polanski demeure un maître, sont pour beaucoup dans l’impression de fraîcheur que dégage le film. Le cinéaste parvient même à donner une dimension ludique à ce récit pourtant lesté de significations historiques fondamentales et finalement très actuelles.
Libération
"J’accuse" est du côté du cinéma, du côté de l’art, un camp dans lequel nous avons quelque mal à nous ranger par les temps qui courent.
Paris Match
Roman Polanski met en scène avec un sens de l’absurde indiscutable et une précision d’horloger le simulacre de procès, le corporatisme imbécile et l’antisémitisme de salon qui entraînèrent la persécution d’un homme.
Première
Roman Polanski retrace l'affaire Dreyfus dans un film ambigu et puissant.
Rolling Stone
La réalisation virtuose sert ici un propos et un engagement tout en dépeignant une galerie de personnages véreux de façon remarquable.
Télérama
On croyait connaître l’affaire Dreyfus. Mais pas avec un tel souffle, un tel luxe de détails et de rebondissements. Palpitant.
Voici
Une mise en scène précise et subtile, dépassionnée, habitée par une distribution exceptionnelle.
aVoir-aLire.com
Polanski revient avec un grand film où il démontre une nouvelle fois la puissance de la mise en scène et de la conduite d’acteurs au service de la réhabilitation légitime d’Alfred Dreyfus. Prenant et porté par des comédiens exceptionnels.
Cahiers du Cinéma
Il ne s’agit bien sûr pas de transformer l’affaire Dreyfus en farce mais de rendre encore plus manifeste sa dimension monstrueuse, pour en faire découler un tragique grinçant.
Critikat.com
Face à la complexité du dossier Dreyfus, le cinéma de Polanski retrouve une certaine vigueur.
Ecran Large
Avec "J’accuse", Polanski offre plus un thriller d'espionnage qu'un film historique pur et dur. Une idée narrative solide qui s'enlise finalement au bout d'une heure dans un rythme neurasthénique et une absence d'émotion. Une apathie causée en partie par le choix de Polanski de faire un parallèle inconvenant entre son oeuvre et sa propre histoire.
GQ
Il est quand même regrettable que le film "J’accuse" passe trop rapidement sur le débat de fond virulent qui agite la société française entre dreyfusard et anti-dreyfusard, parfois au sein même des familles, pour ne se concentrer que sur le déroulé minutieux du combat de Marie-Georges Piquart.
L'Humanité
Certes, Polanski n’occulte pas l’antisémitisme ambiant dans la société française, qui mena à l’accusation de Dreyfus, mais les racines de ce racisme conventionnel ne sont pas explorées. Bref, si l’on met de côté son instrumentalisation douteuse de l’affaire Dreyfus, la réhabilitation technique et artistique du cinéaste (et seulement elle) est accomplie.
La Septième Obsession
Chez Polanski, la politique reste une affaire de morale : "J’accuse" ne fait que reprendre le vieux précepte hitchcockien confrontant un innocent à un monde coupable.
Le Figaro
Dans une reconstitution très soignée, le réalisateur dresse le portrait du défenseur de Dreyfus qui se sauve de son antisémitisme à travers son combat pour la vérité.
Les Fiches du Cinéma
Mettant en scène avec maestria les conséquences de “l’affaire”, Polanski livre une œuvre instructive mais un peu sage.
Télé 7 Jours
Toutefois, mieux vaut connaître cet épisode historique, tant le film n'en donne qu'une version elliptique. D'où une impression d'inachevé.