Derniers Avis : Le Retour de Chucky - Page 3

Voila donc la suite des suites et re-suites qui finalement flingue un joujou pourtant flippant à ses origines... donc du réchauffage. L'idée de l'asile psy était la bonne idée du jour, sinon l'introduction du fameux "Brave Gars" qui va bien-sûr... devinez-quoi? C'était un excellent film dans les années 80 car l'effet de surprise donnait de la bonne frousse sur un scénar assez original sur le font, le Chucky-killer en plastoc grimaçant bien saignant sur fond de pétoche avancée: Extra! L'exploitation du personnage à la longue du temps donne le retour de Chucky, sans aucunes surprises, prévisible, sur un scénar de 4 secondes étiré sur 1h30. Au moins, la seule chose positive est qu'il va sûrement faire plaisir aux fans inconditionnels du personnage qui vont pas se plaindre de voir débarquer un 8ème volet dans le future (rigolez pas, ça pourrais venir!), après tout, faut bien faire plaisir à tout le monde! :)

Perso chucky à la base je parle des premiers est un film culte et qui est de notre enfance des années 80. Ensuite ils ont fait plusieurs suite et perso je les kiffent tous. Chaque chucky est tout autant génial. Et que ça soit les premiers comme les derniers, il est tjrs assoiffés de vengeance tjrs aussi gore et avec tjrs la voix de Brad Dourif. Chucky est le même donc tjrs aussi exellent les uns aux autres pas déçu

La saga Chucky est de celles qui à l ' instar de " Halloween " et Vendredi 13 refusent de se voir mourir.
Grosse saga fantastique des années 90 et 2000 , Chucky est devenue au fil des films , une de mes sagas fétiches , avec un boogeyman qui me terrifiait étant gosse.
Âpres un virage parodico-comique dans le 4 éme et (surtout ) le 5 éme volet ( très mauvais sois dit en passant) , Don Mancini le créateur et scénariste de la saga depuis l ' original , avait la bonne intention de refaire de Chuchy , un personnage effrayant.
Le sixième volet , bien que imparfait et avec de sérieux problèmes de rythmes , arrivait à redonner un souffle à la saga , et à revenir à l ' ambiance morbide et sombre du premier opus. Ce dernier se terminer , sur un twist final faisant revenir un des personnages phares de la saga , mais j ' y reviendrai plus bas...
La suite , se passe donc quelques années après les événements du sixième ; où on retrouve Nica , en hôpital psychiatrique persuadée d ' avoir commis elle même les meurtres de Chucky.
Refaire revenir le personnage , avec un ton plus sombre à l ' image de Jeu d ' enfant , était une intention plus que louable , seulement comme pour le précédent , Cult of Chucky n ' est finalement qu ' un retour en demi teinte aussi bordélique qu ' il n ' est jouissif.
Et c ' est bien la le soucis , c ' est qu ' au niveau du scénario plus rien ne tient debout. Le métrage accumule les idées stupides qui plombent le résultat final , en lançant des sous intrigues et des rebondissements foireux même pas dignes d ' un soap opéra.
Le fait de vouloir faire revenir des personnages des anciens opus est une sacrée bonne idée soit , ( quoique je me demande bien ce que Jennifer Tilly vient faire ici ) , mais ils ne sont jamais bien exploités , voir pire , ils alourdissent une histoire déjà assez foutraque.
Alex Vincent , lui s en sort plutôt bien et son personnage est bien traitée. Au moins une bonne surprise du film.
Meme le personnage de Nica, personnage central à l ' intrigue est très nuancée , est remarquablement bien joué par Fiona Dourif .
La où le métrage m ' a agréablement surpris , c' est dans la réalisation de Don Mancini , qui il faut l ' avouer , à su construire quelques plans vraiment bien choisis. Le réalisateur arrive à rendre son film beau par instant , faisant oublier le manque de budget ( décors quasiment unique donc) , et les horribles SFX du sixième opus.
Les meurtres , ne sont pas en reste , parmi les plus gores de la saga .Avec des trucages et maquillages pour le coup très réussi . Le sang gicle , immaculant les décors blanc de l ' hopital , et offrant des séquences absolument jouissives spoiler: ( comme le meurtre atroce avec la glace au plafond , un des meilleurs de la saga !)

Là encore le premier tiers du film fonctionne bien , on se laisse prendre par l ' histoire de Nica , seule survivante du massacre perpétré par Chucky , totalement déboussolée par ce qui est la réalité ou le fruit de son imagination.
Seulement la suite est bien plus laborieuse. On ne comprend pas vraiment où l ' histoire veut nous mener , en tentant tant bien que mal de nous introduire ce " culte " de Chucky , avec multiplications des poupées possédés par l ame de Charles Lee Ray. Chucky nous revient en forme cepandant , avec quelques répliques mortelles dont il à le secret.

Ajouter à ça un final totalement absurdes , ou l ' accumulation des rebondissements m ' a fait perdre le fil de l' intrigue. A force de vouloir aller trop loin dans le délire , le film se perd dans des explications inintéressantes au possible.

Don Mancini à l ' air d ' avoir perdu le fil de sa saga . Le fait de jouer sur la carte de l ' originalité est une bonne chose , encore faut il éviter de s ' égarer dans de mauvais choix scénaristiques.
Dans la saga on à fait bien pire certes , mais dans ce cas présent , je ne peux pas dire que j ' ai était emballé par l ' histoire ou dans la direction que prend l ' intrigue.
Je n ' ai rien à reprocher au film visuellement , , meme certains meurtres sont vraiment jouissifs , mais là le film fait tentative désespérer à se raccrocher aux origines de la saga ( spoiler: avec caméo de Christine Elise en prime !
) , tout en dérivant sur une histoire inintéressante.
En tous cas , contrairement à l ' original , ce CULT of Chucky , n ' a rien pour lui pour devenir " culte " !

Ultime volet horrifique, le film est comme son prédécesseur, long à démarrer. spoiler: La photographie elle, est beaucoup accentuée surtout dans les scènes se déroulant dans les pièces blanches du centre.
Le jeu du psychiatre est impeccable et notre jeune héroïne elle, est pas mal mais est encore meilleure lorsqu'elle est enfin possédée par Charles. spoiler: Par contre, une franche inutilité d'avoir incruster 3 poupées sur 1h30, une seule suffisait et on fini par ne plus en comprendre le réel sens.
Enfin, une vrai déception pour Andy, son interprète n'est pas franchement à la hauteur de ce qu'à été le personnage au tout début, et réelle déception de ne plus avoir revu sa partenaire du 3ème volet. Une saga se terminant pratiquement comme je l'avais craint, c'est à dire bâclée et sans grande originalité, seul les premiers films m'auront saisi d'intérêt. spoiler: J'ai par contre, et c'est bien le seul point positif, adorer la prise suivant la mort d'une des filles sur la table d'opération, avec la neige tombant sur le corps, parfaite harmonie.
Une légende de l'horreur de plus découverte.

Chucky est un personnage attachant! Une icône à la rage fèroce qui a survècu trente ans! Soit vous le dètestez, soit il vous fait rire, soit il vous fiche la trouille! il ètait donc normal que cette sacrèe personnalitè enfermèe dans un petit corps signe son retour! Malheureusement, "Cult of Chucky" s'avère abracadabrantesque et finalement dècevant! On imagine le gros travail mental d'avoir plusieurs Chucky sur le plateau car on ne peut pas faire un film de marionnettes sans tout prèvoir plan par plan! Les fans s'attendent à voir plein de têtes connues dans ce septième volet! C'est amusant de faire revenir par exemple Tiffany car les aficionados du genre la connaissent comme une poupèe vengeresse avec cet esprit qui hantent Jennifer Tilly! Beaucoup moins quand Chucky passe par tous les corps avec un metteur en scène qui abuse de split screens et d'incohèrences! C'est vraiment regrettable car l'asile psychiatrique ètait le dècor parfait pour une nouvelle mouture de Chucky avec une esthètique moderne et minimaliste! Dèsaturer la couleur en faisant ressortir le sang ètait aussi une excellente idèe...

Don Mancini de retour derrière la caméra après avoir réalisé les 2 premiers épisodes dans les années 80, un retour aux sources donc et un vrai lien avec les épisodes originels a travers Andy, le petit garçon qui a bien grandi. C'est à peu près le seul intérêt de ce 7e opus très lent et qui manque cruellement de moyen !!! On a perdu l'humour mythique de l'excellent "la fiancée de chucky" au profit d'un espèce de duspebce schizophrénique pour savoir si oui ou non chucky existe... Une franchise qui a mal vieilli tout simplement.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)

Nous ne présentons plus la saga horrifique autour de la poupée Chucky crée par Don Mancini. Précédemment, je vous avais proposé en critique les 3 premiers films de la franchise qui, à défaut de me subjuguer, m’avait paru sympathique. Je ne reviens pas sur la qualité discutable. Le charme se relevait dans son côté artisanal voir familial. Ce dernier élément se retrouve dans ce nouvel opus. Une petite précision avant de détailler cette version 2017 ; volontairement ou non, j’ai fait l’impasse sur sa fiancée, le fils et toute la famille de Chucky finalement pour me cantonner à son retour. Premièrement, l’ensemble du casting original est de retour notamment le petit Andy Barclay qui a bien grandi maintenant (toujours par le même acteur Alex Vincent). On retrouve également la voix originale de Chucky (Brad Dourif) et Nica Pierce (la femme de Brad, Fiona) : quand je vous disais que c’était une tradition familiale ! Je ne reviens pas sur le scénario invraisemblable dont l’unité lieu se concentre sur un asile psychiatrique du pauvre (6 chambres, un couloir du pauvre et quelques membres du personnel). Restriction budgétaire oblige, l’ensemble du budget s’est corrélé aux nombreuses scènes gore autour de la poupée : le déferlement d’hémoglobine reste jouissif mais sombre très rapidement dans le ridicule comme les actions et les dialogues de nos protagonistes. Je suis incapable de vous décrire avec précision l’histoire tant le tout est emmitouflé dans des twists invraisemblables. Heureusement, la photographie relève le tout et s’inspire de tableaux assez épurés. On repassera sur l’originalité et la cohérence à tous les niveaux : Chucky – version 2017 – s’adresse aux aficionados de la saga. Pour les autres, à l’exception d’une curiosité cinématographique, ce film s’avère décevant pour une saga soporifique et kitsch. Laissons une bonne fois pour toute cette poupée tranquille !

Alors là, je crois que l'on a atteint le fond avec ce retour de Chucky qui n'est d’ailleurs spas vraiment un retour mais une multiplication de Chucky! Le scénario aurait pu être bon avec ce lieu insolite mais malheureusement il n'est pas à la hauteur... quel dommage!

Une belle tentative de la part de ce réalisateur. Ce film tente de nous faire peur. Mais l'épouvante est mal maîtrisé. Chucky est moins captivant et surprenant.

Mine de rien, la plus célèbre poupée tueuse du 7ème art en est déjà à sa septième apparition à l’écran en un peu moins de trente ans d’existence : pas mal pour une petite série B qui ne nourrissait sans doute pas de pareilles ambitions au départ...et il ne s’agit même pas d’exploiter cyniquement un filon totalement à sec puisqu’en 2013, ‘La malédiction de Chucky’ s’était révélée être une excellente cuvée, hyper classique mais parfaitement ficelée. Ce nouvel épisode, qui bénéficie d’un parti pris inédit et (relativement) inattendu mais souffre d’une manque d’équilibre pathologique, devrait cependant susciter des avis plus contrastés. Refusant à la fois le recyclage routinier du schéma de Slasher classique de l’épisode fondateur et les délires crétins des épisodes avec Tiffany (la “fiancée�), ‘Le Retour de Chucky’ s’efforce de revenir à une approche au Premier Degré et d’ouvrir les possibilités dévolues à un psychopathe miniature qui, jusqu’ici, jouait surtout du scalpel et du ciseau. Le résultat s’efforce de la jouer sérieux : ainsi, la géométrie immaculée de l’asile psychiatrique confère un aspect presque expérimental à ce nouveau jeu de massacre. Le fait qu’il y ait plusieurs poupées Good Guy à l’oeuvre semblait ridicule au départ mais s’explique par un nouveau principe de possession, qui tire le meilleur parti de l’hôte visé : autant dire que dans un hôpital psychiatrique, il y a de quoi faire, entre le schizophrène en manque d’attention, la mère infanticide en plein déni et le psy aux pulsions inavouables. Ce souci d’approfondir les personnages et de rendre cet épisode moins bête et méchant que ses prédécesseurs s’accorde pourtant mal avec la facture fauchée, quasiment Z, du film : Chucky lâche des vannes minables, Jennifer Tilly est en roue libre (enfin, plus que d’habitude) et l’apparence de la poupée elle-même, plus numérique que jamais, n’a jamais été aussi ratée. Coincé entre de réelles qualités et un manque de moyens criant, ‘Le retour de Chucky’ laisse une appréciation finale plutôt mitigée, comme si pour survivre, la série était vouée à dupliquer son schéma d’origine sans chercher à sortir du rang.

C’est une daube, aucun sens réel je trouve. L’athmosphere et le suspens ne sont pas présent. J’ Perdu 40 min

Le précédent laissait présager un retour aux sources salvateur. Mais encore une fois, Don Mancini fait machine arrive et nous replonge dans le surréalisme sans cul ni tête d'une production horrifico-comique franchement mauvaise, à l’esthétique médiocre, tout juste digne d'un téléfilm du dimanche après-midi.

Pas forcément attendu, du moins par moi, revoila notre poupée asoiffée de sang.
Rien de neuf à l'horizon, des scénes qui s'enchainent sans queue ni tête, avec une histoire qui ne sert pas le propos et une franchise qui s'evertue à s'enchainer dans les années 80, où le genre était rare et prisé.
Je ne sais pas à qui cela s'adresse, les fans seront ecoeurés, les autres seront amusés par tant de kitch.

Attention ce film ne peut pas plaire ce qui ont deteste c'est 3 derniers chucky pour causes le film chucky est devenue n'importe quoi...Mais ce qui on aimer c'est 3 derniers chucky c'est pour eux

Bien, sans plus. Très déçu de ce 7ème opus.... Ça part trop loin. Beaucoup trop de chucky. Un humour noir toujours aussi décalé.