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28 critiques presse
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Une réalisation bluffante, des comédiens superbes et une belle ode à la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Obs
par La Rédaction
Alors bien sûr, les raisonneurs, les culs-pincés, les curistes, les sédentaires, les fans de cinéma congelé et les abonnés des salles en velours rouge trouveront ces ogres trop exubérants, trop rabelaisiens, trop felliniens, trop hurleurs, trop partageurs, trop généreux. Mais on les plaint. Ils sont déjà morts, et Léa Fehner est vivante. Applaudissements.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par Daniel Morvan
Léa Fehner raconte à merveille cet univers de saltimbanques, leur appétit de vivre plus fort, leurs égos écrasants et leur générosité.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Un des films français les plus exubérants et surtout les plus puissants vus depuis très longtemps.
Télérama
par Pierre Murat
Extrêmement précis sous son apparente décontraction, le film (...) repose sur des angoisses, des peurs et des ressentiments qui progressent, enflent, explosent, puis s'évanouissent sans laisser de traces, laissant place au seul sentiment que l'être humain mérite : l'indulgence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
En nous immergeant dans son Niagara choral de rapports humains qui embrassent la totalité du spectre des sentiments, la réalisatrice témoigne d’une énergie inépuisable tout en arrachant à ses comédiens des accents d’une vérité inouïe. D’ores et déjà, une de nos palmes de l’année.
Elle
par Amandine Seguin
Si certains moments sont très durs, le film réussit à dégager une énergie joyeuse communicative.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Léa Fehner réussit son coup en nous embarquant dans sa bande de grandes gueules. Ce film étonnant, bourré de vie et d'énergie, mérite vraiment qu'on lui donne sa chance.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Une bonne claque aux petites mauvaises odeurs d'un cinéma d'auteur rabougri qui se méfie du romanesque et de l'extravagance, alors qu'il meurt à petit feu de penser que la vie ne sort pas d'une salle de bains, que les mots se chuchotent à l'ombre, que filmer un mur est d'une audace folle.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dans ce tableau collectif d’une remarquable fluidité percent des destins intenses, avec, en contrepoint à la chorale, des moments d’une bouleversante intimité (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Ça vit, ça bouge : c’est ce milieu du théâtre ambulant, qui tient du cirque et du spectacle forain, dans lequel a grandi la réalisatrice et qu’elle restitue avec une sincérité qui fait passer le trop-plein dont elle le charge.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
D’emblée, on est happé par l’énergie de celle qui la relate. Devant l’objectif et les lumières crues, les membres de cette famille haute en couleur se révèlent dans toute leur vérité. Ils jouent, s’aiment et se déchirent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un voyage plein d’allure et d’allant, mené tambour battant au fil d’une narration maîtrisée, habitée par de beaux acteurs tous au taquet.
Les Fiches du Cinéma
par Opale Muckensturm
Léa Fehner nous invite à rejoindre l'univers de son enfance : celui du théâtre itinérant. Un film bouillonnant de vie, qui nous entraîne parmi ses personnages dans un tourbillon d'émotions.
Marianne
par Danièle Heymann
(Un) splendide hommage aux saltimbanques (...).
Metro
par Mehdi Omaïs
Etourdi et pantelant par cette énergie contagieuse, le spectateur ne peut alors qu’embarquer pour cette fuite vers l’avant collective, cathartique et nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Vincent Thabourey
"Les Ogres" est un défi permanent, une très bonne surprise dans le paysage cinématographique français.
Première
par Christophe Narbonne
Avec sa caméra indiscrète, sans cesse en mouvement, Léa Fehner crée un drôle de bouillonnement méta où la fiction et le documentaire jouent des coudes pour aboutir à un résultat spectaculairement « vrai ».
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Leur façon de surmonter la douleur, de dire merde à la mort en plongeant dans l'excès et la musique ne peut que bouleverser.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Deux heures et demi à fond de train, sur les routes de France : il faut bien du talent à Léa Fehner pour garder le cap, tenir les rênes de sa chevauchée, ériger puis affaisser son chapiteau en chansons. Du talent, une foi à toute épreuve et de la démesure. « Open your mind ».
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Ces ogres de Léa Fehner sont comme les monstres : terrifiants et fascinants.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Un deuxième long-métrage qui se distingue par son brio narratif et son jeu tout en finesse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Noémie Luciani
Ce mouvement perpétuel entretenu et subi qu'embrasse passionnément le film est aussi vibrant, beau, grand même dans la démesure que tragique dans le vertige de sa tristesse.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Porté par une hystérie épuisante, avec de vrais moments de grâce, "Les Ogres" est peut-être aussi un film qui se mange lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un peu Renoir, un peu Pialat, un peu Cassavetes, un peu Kechiche, un peu Fellini et surtout très Fehner, "Les Ogres" déplaira peut-être aux tenants de l’épure, de la pudeur, de la ligne claire, aux amoureux d’un cinéma de la ténuité, des pointillés, dont un Mikhaël Hers serait l’incarnation du moment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
C’est au fond l’antienne du réalisme social le plus mièvre qui remonte de cette indigeste marmite compassionnelle – soit le peuple vu comme une troupe de sans-dents mal éduqués offrant sa ration de «vérité vraie» à ce bon bourgeois de public.
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) le film cadenasse [les acteurs] dans une série de scènes du quotidien trop écrites, comme autant de passages obligés pour mieux appréhender les rapports au sein de la troupe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Léa Fehner manque parfois de distance avec son sujet, trop obnubilée par ces gloutons rabelaisiens.
Femme Actuelle
Une réalisation bluffante, des comédiens superbes et une belle ode à la liberté.
L'Obs
Alors bien sûr, les raisonneurs, les culs-pincés, les curistes, les sédentaires, les fans de cinéma congelé et les abonnés des salles en velours rouge trouveront ces ogres trop exubérants, trop rabelaisiens, trop felliniens, trop hurleurs, trop partageurs, trop généreux. Mais on les plaint. Ils sont déjà morts, et Léa Fehner est vivante. Applaudissements.
Ouest France
Léa Fehner raconte à merveille cet univers de saltimbanques, leur appétit de vivre plus fort, leurs égos écrasants et leur générosité.
Transfuge
Un des films français les plus exubérants et surtout les plus puissants vus depuis très longtemps.
Télérama
Extrêmement précis sous son apparente décontraction, le film (...) repose sur des angoisses, des peurs et des ressentiments qui progressent, enflent, explosent, puis s'évanouissent sans laisser de traces, laissant place au seul sentiment que l'être humain mérite : l'indulgence.
VSD
En nous immergeant dans son Niagara choral de rapports humains qui embrassent la totalité du spectre des sentiments, la réalisatrice témoigne d’une énergie inépuisable tout en arrachant à ses comédiens des accents d’une vérité inouïe. D’ores et déjà, une de nos palmes de l’année.
Elle
Si certains moments sont très durs, le film réussit à dégager une énergie joyeuse communicative.
Franceinfo Culture
Léa Fehner réussit son coup en nous embarquant dans sa bande de grandes gueules. Ce film étonnant, bourré de vie et d'énergie, mérite vraiment qu'on lui donne sa chance.
L'Express
Une bonne claque aux petites mauvaises odeurs d'un cinéma d'auteur rabougri qui se méfie du romanesque et de l'extravagance, alors qu'il meurt à petit feu de penser que la vie ne sort pas d'une salle de bains, que les mots se chuchotent à l'ombre, que filmer un mur est d'une audace folle.
La Croix
Dans ce tableau collectif d’une remarquable fluidité percent des destins intenses, avec, en contrepoint à la chorale, des moments d’une bouleversante intimité (...).
Le Dauphiné Libéré
Ça vit, ça bouge : c’est ce milieu du théâtre ambulant, qui tient du cirque et du spectacle forain, dans lequel a grandi la réalisatrice et qu’elle restitue avec une sincérité qui fait passer le trop-plein dont elle le charge.
Le Figaroscope
D’emblée, on est happé par l’énergie de celle qui la relate. Devant l’objectif et les lumières crues, les membres de cette famille haute en couleur se révèlent dans toute leur vérité. Ils jouent, s’aiment et se déchirent.
Le Journal du Dimanche
Un voyage plein d’allure et d’allant, mené tambour battant au fil d’une narration maîtrisée, habitée par de beaux acteurs tous au taquet.
Les Fiches du Cinéma
Léa Fehner nous invite à rejoindre l'univers de son enfance : celui du théâtre itinérant. Un film bouillonnant de vie, qui nous entraîne parmi ses personnages dans un tourbillon d'émotions.
Marianne
(Un) splendide hommage aux saltimbanques (...).
Metro
Etourdi et pantelant par cette énergie contagieuse, le spectateur ne peut alors qu’embarquer pour cette fuite vers l’avant collective, cathartique et nécessaire.
Positif
"Les Ogres" est un défi permanent, une très bonne surprise dans le paysage cinématographique français.
Première
Avec sa caméra indiscrète, sans cesse en mouvement, Léa Fehner crée un drôle de bouillonnement méta où la fiction et le documentaire jouent des coudes pour aboutir à un résultat spectaculairement « vrai ».
Studio Ciné Live
Leur façon de surmonter la douleur, de dire merde à la mort en plongeant dans l'excès et la musique ne peut que bouleverser.
Sud Ouest
Deux heures et demi à fond de train, sur les routes de France : il faut bien du talent à Léa Fehner pour garder le cap, tenir les rênes de sa chevauchée, ériger puis affaisser son chapiteau en chansons. Du talent, une foi à toute épreuve et de la démesure. « Open your mind ».
Voici
Ces ogres de Léa Fehner sont comme les monstres : terrifiants et fascinants.
Ecran Large
Un deuxième long-métrage qui se distingue par son brio narratif et son jeu tout en finesse.
Le Monde
Ce mouvement perpétuel entretenu et subi qu'embrasse passionnément le film est aussi vibrant, beau, grand même dans la démesure que tragique dans le vertige de sa tristesse.
Le Parisien
Porté par une hystérie épuisante, avec de vrais moments de grâce, "Les Ogres" est peut-être aussi un film qui se mange lui-même.
Les Inrockuptibles
Un peu Renoir, un peu Pialat, un peu Cassavetes, un peu Kechiche, un peu Fellini et surtout très Fehner, "Les Ogres" déplaira peut-être aux tenants de l’épure, de la pudeur, de la ligne claire, aux amoureux d’un cinéma de la ténuité, des pointillés, dont un Mikhaël Hers serait l’incarnation du moment.
Cahiers du Cinéma
C’est au fond l’antienne du réalisme social le plus mièvre qui remonte de cette indigeste marmite compassionnelle – soit le peuple vu comme une troupe de sans-dents mal éduqués offrant sa ration de «vérité vraie» à ce bon bourgeois de public.
Critikat.com
(...) le film cadenasse [les acteurs] dans une série de scènes du quotidien trop écrites, comme autant de passages obligés pour mieux appréhender les rapports au sein de la troupe.
La Septième Obsession
Léa Fehner manque parfois de distance avec son sujet, trop obnubilée par ces gloutons rabelaisiens.