Votre avis sur Moonwalkers ?
3,5
Publiée le 26 octobre 2016
Un très bon moment de comédie un brin déjantée et psychédélique avec un excellent Ron Perlman.......
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 10 avril 2016
Genre : le grand n'importe quoi 70's un peu trash mais bien
Les : Les acteurs qui s'éclatent dans tout les sens du terme, un scénario qui va au bout de ses délires, du sang , c'est trahs et drôle à la fois, bonne série B
Les - : On aime Mr Grint mais il faut qu'il oublie parfois Ron Weasley, les dernières minutes à la gloire de la NASA
A voir si : Vous êtes fan de série B, de Grint et Perlman.
A ne pas voir si : vous n'aimez les film sous lsd et trashouilles
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 16 mars 2016
Drôle, bien rythmé, bonne B.O. sujet original. Ron Perlman toujours un plaisir, avec Rupert Grint qui a bien grandi
3,5
Publiée le 9 septembre 2017
Une très bonne comédie bien foutue. il est seulement dommage que le film pèche au niveau des dialogues qui tournent souvent à la parlote car le reste est assez génial, c'est bien réalisé, bien interprété (Perlman est énorme), l'ambiance seventies est bien recrée. Du vaudeville, diront d'aucun ? Et alors pourquoi s'en priverait-on puisque ça fonctionne. Et qu'on se régale. PS : on remarquera que le réalisateur ne ménage ni Kubrick ni l'Odyssée de l'espace", il fallait oser le faire, tant mieux, le cinéma n'a. besoin ni de "saint" ni d'œuvres sacrées
3,5
Publiée le 17 mars 2017
Psychédélique. Et hilarant. Et trash. Mais comment définir cet OVNI du cinéma qu'est Moonwalkers ? Un scénario déjà bien barré : un agent secret défense doit payer Stanley Kubrick pour tourner l'alunissage des astronautes américains (tout ici reprend la célèbre théorie selon laquelle les américains n'auraient jamais attend la Lune et la vidéo serait un montage truqué). Mais il tombe sur Rupert Grint, ici menteur sans le sou qui se fait passer pour l'agent de Kubrick. Et l'agent secret doit collaborer avec le faux agent de Kubrick pour monter le film... Tout ceci sur fond de drogue (les séquences sous hallucinations sont absolument ahurissantes), de références à peine masquées à Orange Mécanique (regardez simplement la police du titre sur l'affiche... le ton est donné !), d'action parfois bien sanglantes et d'humour faisant mouche (très) souvent ! Seuls petits bémols : des dialogues en trop et séquences un peu longues pour ne pas penser à autre chose parfois... Le final est ouvert et chacun comprend ce qu'il veut (la toute dernière phrase est un doute qui est très drôle s'il est vrai !). Tout n'est certes pas parfait, mais l'originalité fait oublier tout cela et on passe un réel bon moment, inédit, devant ce film complètement taré !
3,0
Publiée le 2 novembre 2021
Kubrick a-t-il été réellement été approché par la CIA en vue de réaliser un faux alunissage ?
La question mérite d’être posée, d’autant plus qu’il est de notoriété publique que la NASA s’était inspirée en partie de "2001 l’odyssée de l’espace" pour mettre au point les tenues des astronautes de la mission Apollo 11.
Partant de ce postulat, le réalisateur nous entraîne dans une aventure psychédélique et déjantée, ou se mêle, espionnage, théorie du complot, sex drug & rock’n’roll dans une ambiance que ne désapprouverait pas Tarantino lui-même.
Si il est agréable de retrouver Rupert Grint enfin débarrassé de son alter-égo Harrypotteresque, que dire de Ron Perlman, si ce n’est qu’il endosse à la perfection son costume d’agent secret bourru et désabusé (et quelque peu névrosé) tout en restant malgré tout attachant.
En bref, un petit film discret et imparfait (hommage à peine voilé au génie de Kubrick) mais bourré de bonnes intentions, à voir.
3,0
Publiée le 13 octobre 2016
Une assez bonne comédie où un agent de la CIA a pour mission d'assurer le tournage d'un faux alunissage, au cas où Buzz et Neil ne poseraient pas le pied sur la lune. Un retour dans le passé et l'histoire de l'homme et la conquête de l'astre. J'ai surtout aimé la BO et dois reconnaître que l'action est bien faite. Nous avons droit à quelques images d'archives de l'Amérique glorieuse. Mais le film traite tout de même d'une belle grosse arnaque orgueilleuse ! Pas mal mais on s'en passe.
3,5
Publiée le 26 juillet 2019
Moonwalkers est un film... français, aussi étonnant que cela puisse paraître, alors que son style est calibré sur le cinéma américain, qu'il traite d'un sujet avant tout américain, avec des acteurs pour la plupart britanniques, possédant dans ses rangs deux noms connus du cinéma (car oui, depuis Harry Potter, Rupert Grint est connu, même si c'est la première fois que je le revois depuis, et Ron Perlman est finalement parfait pour son rôle, malgré le petit doute que j'avais avant de le voir jouer son personnage).
Et ? Je dirais que, quelques passages comiques pas toujours réussis mis à part, il est majoritairement drôle (vraiment, au point de rire, ce qui est très bon signe, puisqu'une comédie réussie est celle où l'on ne se contente pas simplement de sourire) et l'univers anglais hippie fin des années 60 est parfait comme toile de fond.
Pas de doute pour moi, Moonwalkers est une bonne surprise au scénario à la fois simple et malgré tout original car peu exploité par le cinéma.
3,5
Publiée le 1 décembre 2016
Le français Antoine Bardou-Jacquet pour son premier long métrage s'appuie sur la théorie du complot visant à dire que l'Homme n'a jamais mis les pieds sur la lune et allant même jusqu'à avancer que la CIA aurait demandé au maître Kubrick de réaliser un faux alunissage ... Aussi improbable que délirant, ce scénario voit Rupert Grint et Ron Perlman embarquer dans une aventure aussi kitsch que sanglante, un peu à l'image de "Kingsman", dans un univers 60's psychédélique et totalement décalé. C'est bien mené, drôle et après une mise en place quelque peu en dessous c'est le grand décollage pour le n'importe quoi ! A noter, quelques clins d'oeil sous forme d'hommage au grand Kubrick et une bande originale qui envoie pas mal ainsi qu'un certain doute que l'on laisse planer ... Une bonne surprise en tout cas !
3,0
Publiée le 22 avril 2017
Mais, c’est quoi ce film ! En juillet 1969, quelques jours avant que Neil Amstrong n’entre dans l’Histoire, la CIA envoie à Londres l’un de ses agents afin de solliciter de Stanley Kubrick la réalisation de l’alunissage d’un module lunaire au cas où la mission d’Apollo 11 serait un fiasco. Ecrit comme ça, le sujet du film semble sérieux alors que son traitement, comme pour contrebalancer le ridicule de cette théorie, est quant à lui un énorme délire complétement barré, drôle et qui part en cacahuète sur la fin (attention, ça tache). Le casting est du même acabit, emmené par les très bons Ron Perlman et Rupert Grint ainsi que l’halluciné Robert Sheehan. Je suis resté à plusieurs reprises bouche bée devant mon écran par le décalage total de cet OVNI psychédélique sous LSD. Avis aux partisants du seul premier degré, passez votre chemin.
3,0
Publiée le 25 mars 2016
Un divertissement plutot sympa dans l ensemble qui n est pas sans rappeler l univers de QuentinTarantino ou le style de Matthew Vaughn
3,5
Publiée le 9 septembre 2020
La profonde sympathie que procure Moonwalkers tient certainement à la liberté avec laquelle il investit plusieurs genres, de la comédie au polar en passant par le trip psychédélique, mêlés avec justesse et efficacité, pour un scénario qui cultive l’excentricité sans jamais se prendre au sérieux. Le film est un corps composite et instable mais dont les membres se meuvent comme par enchantement : rien ne devrait tenir ensemble, mais ça tient quand même, à l’image de l’alliance entre le Ron d’Harry Potter et un Ron Perlman délicieux en gros bras ultraviolent qui trouve dans la consommation d’acides un exutoire à ses hallucinations – le traumatisme du Vietnam ne cesse de contaminer sa perception diurne. Lorsqu’il pénètre dans le vagin de l’hôtesse d’accueil (comprenons, la porte d’entrée de l’immeuble) et fait la connaissance d’artistes azimutés, Perlman renaît en modèle que la caméra examine, sculpte, révèle dans sa beauté brute ; l’acteur trouve là son rôle le plus érotique, un érotisme qui mêle pulsion de vie et de mort, qui revient aux origines de la création. Antoine Bardou-Jacquet fait feu de tout bois, fonce tête baissée dans le n’importe quoi pour un résultat hors de toute subtilité, mais diablement efficace et jouissif ; son entreprise s’apparente à une démolition du symbole, renvoyé à son artificialité congénitale puisque simple construction et orientation du sens en fonction des attentes d’une puissance supérieure. Un long métrage imparfait, truffé de petits défauts et de lourdeurs, mais qui tire de ses imperfections une énergie folle.
3,5
Publiée le 17 octobre 2016
Dans ce grand n’importe quoi où règne les psychotropes, Ron Perlman et Rupert Grint s’en donnent à cœur joie. Mention spéciale au premier, aussi crédible en tueur fou qu’en pleine hallucination. C’est violent, c’est drôle, c’est lunaire. Tellement que le long-métrage peut, dans son délire, laisser certains spectateurs de côté. Ceux qui ne retiendront une réalisation pas toujours soignée, un scénario trop précipité… Moonwalkers est un bonheur sous ecsta, un calvaire sous aspirine.
3,5
Publiée le 16 mai 2016
Complètement délirant et décalé ! Chaque personnage est une caricature jubilatoire, et les situations sont tellement absurdes que cela provoque nécessairement le fou rire. L'univers vintage est un mixte complètement dingue entre une ambiance hippie artistique, et une atmosphère très complotiste avec des agents de la CIA (entre autres) armés jusqu'aux dents. Le scénario est très malin, même s'il manque un peu de surprises, après la première demi-heure. Une comédie, ou une parodie, ou un film d'action, ou tout simplement un grand n'importe-quoi, très plaisant.
3,5
Publiée le 8 avril 2018
Une comédie déjantée aussi surprenante par son mélange des genres que par son mélange des intervenants : réalisateur français, acteurs états-uniens, financiers européens...
Un film original à la foi espionnage, psychédélique, avec des touches de gore, dont le scénario fait se rencontrer des musiciens et producteurs ratés, un réalisateur de cinéma délirant et mégalomane, des hippies béats et libidineux, un ancien du Vietnam avec des troubles psy, le tout pour se moquer par allusion à une théorie complotiste sur le supposé faux alunissage de 1969.
Ça prend ou ça ne prend pas mais il y a de quoi se payer une bonne tranche de rire.
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